Publié sur Composition des vaccins : ni halal, ni casher ?!
La nocivité des vaccins et les risques encourus suite à leurs injections font de plus en plus écho en France.
Hélas, pas suffisamment pour faire plier le gouvernement sur l’élargissement abusive de l’obligation vaccinale de 3 à 11 solutions immunotoxiques et neurotoxiques, dès l’âge de 2 mois à peine.
“Inavouable”… C’est par ce qualificatif qu’est décrite une vidéo qui circule sur le net depuis quelques mois et qui donne une description très détaillée de la composition des vaccins.
Ce qui apporte d’autant plus de crédit et de poids à cette vidéo, c’est que les propos tenus proviennent d’un médecin, Marc Vercoutere, président de l’association ALIS (Association Liberté Information Santé), qui se base essentiellement sur les études scientifiques officielles pour appuyer ses dires.
Selon le docteur, les vaccins ne font “l’objet d’aucune étude pharmacocinétique, et d’aucune étude génotoxique”. En d’autres termes, “il n’y a pas de traçabilité de ce que devient le vaccin administré à la personne” (…) “on est dans l’inconnu dès le départ”.
La composition des vaccins peut changer à profusion avec des ajouts de substances incongrues, ou à “tête de mort” sans qu’il y ait des demandes d’autorisation de mise sur le marché (parfois ces substances sont interdites par l’OMS dans d’autres circonstances comme dans l’agriculture par exemple, ou encore interdites chez l’animal mais pas pour l’homme).
Outre le fait qu’il y ait dans les vaccins les micro-organismes (bactéries, virus…) destinés à nous immuniser contre certaines maladies, il y aurait également un centaine de composants (voir bien plus) contre nature destinés à nous “déshumaniser”. Voici un petit aperçu de ce qu’a énuméré le docteur :
- “Les vaccins sont préparés à partir de milieux de culture différents :
** cultures de sérum foetal humain” : que des composants provenant de cette solution soient ensuite injectés (pour ne pas dire “ingérés”) dans le corps humain, est-ce que ça ne s’apparenterait pas à une forme de cannibalisme ? La question est posée et elle est légitime.
** “cultures primaires à partir de cellules provenant d’animaux : cellules de reins de singe, cellules embryonnaires de poulet, etc…,”
** “cultures de cellules souches où les caractéristiques des chromosomes sont particulièrement perturbés, amputés de certains bruns ou avec des bruns surnuméraires : elles sont appelées “cellules CHO” (cellules ayant des caractéristiques de cancer, capables de se multiplier indéfiniment (..),”
- “Dérivés de cellules de hamsters de chine (Vaccin Genhevac contre l’hépatite B, …etc),
- Gélatine de porc et de boeuf,
- Portions de molécules d’ARN ou d’ADN non-humain (vaccin Infanrix, vaccin contre l’hépatite B, et contre le cancer du col de l’utérus),
- Cellules souches où les chromosomes sont particulièrement perturbés (amputés de certains bruns ou ajoutés)
- Le benzonase, enzyme qui attaque et dégrade toutes les formes d’ADN et
d’ARN, - Le Polysorbate 80” (Tween 80 ou Monooléate de polyoxyéthylène sorbitane) est l’additif alimentaire E433. Les polysorbates peuvent contenir des résidus dangereux et causer de sérieuses réactions allergiques. Il entraîne une diminution du col de l’utérus chez les animaux (stérilité), il est pourtant utilisé contre le cancer du col de l’utérus chez la femme.
- D’innombrables “nanoparticules de métaux lourds (Aluminium, mercure, zinc, fer, …).” Le Meningitec a donné suite à une plainte de 600 familles. Une expertise indépendante d’un laboratoire italien avait démontré l’an dernier la présence de nanoparticules de Fer-Silicium, Fer-Chrome-Nickel, débris de tungstène, débris contenant du plomb, du zinc, du titane, cérium et lanthane (terres rares), zirconium ou oxyde de zirconium («légèrement radioactif»). Autant de métaux «incompatibles avec la santé humaine», précise le laboratoire (http://ift.tt/2zzXfwr).
- “Adjuvants : hydroxyde d’aluminium”. Selon le docteur, par exemple, il y aurait dans le Meningitec “entre 350 et 570 microgrammes d’hydroxyde d’aluminium, or, à partir de 30 à 40 microgrammes, l’aluminium rentre dans le cerveau”.
Comment se fait-il que la population ne soit pas informée d’une telle composition ?
Le manque d’information auprès des institutions sanitaires et sociales, du personnel médical, des médecins de famille, … etc, est révélateur d’une schizophrénie institutionnelle. Il en est de même concernant les effets secondaires très graves que les vaccins peuvent causer. À quoi sert-il de mettre des composants qui, on le sait, peuvent entraîner à plus ou moins long terme la mort, une recrudescence des maladies auto-immunes (allergies, diabète, …), cancer, autisme, myofasciite à macrophages, sclérose en plaque, stérilité, fatigue chronique, troubles visuels, hyperactivité, troubles psychologiques, maladies neurodégénératives causés par la quantité invraisemblable de métaux lourds présents dans les vaccins, … etc.
Marc Vercoutere dénonce un “drame”, un “génocide” médicale, “une nouvelle forme de terrorisme créé par l’Etat”, car on risque délibérément de porter atteinte à la santé, à l’immunité de personnes en bonne santé en augmentant le risque que des maladies apparaissent au cours de la vie : une population malade, évidemment, c’est bon pour le profit !
Marc Vercoutere prend des risques en s’éloignant totalement du carcan intellectuel et “pseudo-scientifique” officiel, fer de lance des lobbies pharmaceutiques. Il dénonce les “liens d’intérêts” entre des membres du ministère de la Santé et le laboratoire Sanofi Pasteur, entre autres.
Ce médecin n’accomplit rien de moins que son devoir, mais c’est en ces circonstances un acte chevaleresque, tant les pressions et menaces doivent peser sur lui. D’ailleurs, il a été radié de “l’Ordre des médecins”. Défier la firme pharmaceutique expose aujourd’hui à avoir cette marque de noblesse :
être rejeté par un “Ordre” qui laisse délibérément le “Désordre” s’introduire en l’être humain. Cela a le mérite de révéler la supercherie de cette officine sous l’emprise de l’économie ultra libérale, une économie qui détruit la protection du citoyen.
Marc Vercoutere interpelle également les musulmans sur le caractère “non halal” des vaccins. On connaît la réticence des témoins de Jéhovah à faire vacciner leurs enfants. Or, toutes les instances religieuses devraient se sentir concernées et se positionner sur la question afin de faire pression sur le gouvernement et dénoncer ces abus, sortis de tout cadre éthique.
En attendant, la clause d’exemption n’est plus d’actualité, comme l’a indiqué récemment la ministre de la Santé. Il n’y a plus d’alternative pour s’opposer à la vaccination. Du moins, c’est ce que l’on nous fait croire, car si l’on se base sur la constitution et la loi Kouchner de 2002, insérée dans le code de la santé publique, les lois d’obligation vaccinale constituent une atteinte à l’intégrité physique et violent tous les textes qui garantissent les libertés fondamentales : on ne peut imposer un acte médical à un individu.
C’est donc une véritable incohérence, un recul des libertés que de faire croire qu’ils sont obligatoires, prétendument pour le bien collectif. En réalité, la vente des vaccins représente un marché fructueux, c’est une manne financière considérable pour les firmes pharmaceutiques, proches de notre ministre de la Santé.
Le Parti Anti Sioniste soutient le président de l’association ALIS, Marc Vercoutere, dans son combat qui vise à révéler les abus thérapeutiques en matière vaccinale. Il faut absolument fixer des limites et trouver de nouvelles perspectives qui, n’en doutons pas, existent.
Le PAS appelle tous les citoyens et toutes les instances religieuses (là, on dépasse le cadre de la mention “Halal, Casher” !) à exiger un débat public en toute transparence sur la composition des vaccins, car notre silence induirait une complicité. Il n’est pas acceptable que l’Homme puisse laisser libre cours à de telles dérives sans réagir.
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste
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