La tragédie d’Édouardo Agnelli

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C’est dans la lignée des destins tragiques de ces gens issues, où arrivés, au sein des élites de nos sociétés sionistes avec lesquels ils furent en totale contradiction, que s’inscrit la tragédie de deux amis de longue date.

Deux tragédies sur lesquels il conviendrait de se pencher, en cette période de perdition, afin de réaliser à quel point le plafond des aspirations matérialistes et occultes de certains ne peut être que le sous-sol de certains esprits éveillés.

Le premier, Éduardo Agnelli, était le fils de Gianni Agnelli, propriétaire et administrateur de FIAT et également actionnaire principal de la Juventus de Turin.

La famille Agnelli est donc très certainement l’une des dynasties industrielles européennes les plus prospères, ce qui signifie, un centre de pouvoir et d’influence très important en Italie.

Et pourtant, le jeune Édouardo ne montrera que rejet et mépris pour ces milieux matérialistement macabre. S’orientant très progressivement vers une véritable quête spirituelle, il rencontrera des personnalités telles que le Maître indien Sathya Sai Baba, l’Ayatollah Khomeiny, ainsi que son successeur, Son Excellence Sayed Ali Khaminei.

Des rencontres pour le moins inquiétantes pour qui verrait d’un mauvais oeil le rapprochement de l’une des fortunes les plus importantes d’Europe avec les représentants de cette idéologie révolutionnaire et antisioniste que l’on retrouve à la tête du clergé islamique iranien. Il sera retrouvé inerte, la tête commotionnée, le 15 novembre 2000 sous le pont « Général Franco Romano » près de Turin. Son corps fut inhumé sans la moindre autopsie, ce qui permettra de prétendre officiellement à un suicide.

«Nous pensons qu’Edouardo Agnelli représentait quelque chose de meilleur et de plus positif pour nous»; «Il avait une vision de la société moins dure que celle qui prévalait»; «Si Edouardo Agnelli avait survécu, il aurait ouvert un chapitre extrêmement intéressant de collaboration avec la république islamique d’Iran», avait déclaré le très charismatique Duccio Mallamaci, le 5 juillet 2015, devant la tombe d’Édouardo Agnelli.

Quant au second, Luca Gaetani, il n’était rien de moins que le fils du baron italien des boissons alcoolisées, propriétaire de Montalcino. Ce cinéaste de Rome qui partageait peut-être un peu trop d’affinités avec son ami Édouardo, qu’il avait par ailleurs accompagné en république islamique d’Iran, fut retrouvé à son tour mort et commotionné de coups multiples sous le pont Garibaldi du fleuve Trastevere le 2 avril 2007.

C’est donc en cette période commémorative de la tragédie d’Édouardo Hisham Aziz Agnelli, considéré comme étant un martyr du système impérialiste et maçonnique, que le Parti Anti Sioniste tient à rendre hommage à toutes ces âmes libres, affranchies, au point d’en être sacrifiées.

De Corinne Gouget à Lady D, en passant par notre Coluche national et bien d’autres personnalités non moins connues…

Combien sont-elles à avoir « officieusement » payé de leur vie leurs choix d’intégrités morales et le danger que représentait le fait d’en savoir probablement trop ?

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