Publié sur Du BLUE FLAG au FALSE FLAG, il n’y a qu’un pas…
Aucune information n’a filtré dans les médias mainstream de notre pays sur l’exercice militaire aérien Blue Flag 2017 (Drapeau bleu) qui a eu lieu en Israël au-dessus du désert du Néguev du 5 au 16 Novembre dernier.
Et pour cause…
Ce silence de plomb s’explique tout simplement par le fait que pour la première fois, cinq avions de chasse français de type Mirage 2000D, des chasseurs-bombardiers spécialisés dans les sorties Air-Sol, ont pris part aux manœuvres sous le commandement israélien. Le détachement français était composé de 105 aviateurs dont des pilotes, des navigateurs-officiers, des mécaniciens, des armuriers, etc.
Ces exercices, auxquels ont également pris part les États-Unis, la Grèce, la Pologne, l’Italie, l’Allemagne et l’Inde, portaient sur des scénarios traditionnels au cours desquels le 115ème Escadron de l’ Israel Air Force (Armée de l’air israélienne) jouait le rôle de l’agresseur (un hasard ?). Les scénarios comprenaient des batailles air-air, des attaques au sol et des missions de répression des défenses aériennes ennemies.
Nous sommes en droit de nous demander quelles sont les raisons du mutisme de nos médias sur cette information et pourquoi notre pays participe à des exercices d’une telle envergure.
Le général de brigade Richard Hinch, qui dirige le département des Affaires internationales au sein de l’armée de l’air israélienne, a expliqué la portée de cet événement : «La situation est extrêmement grave autour de nous. Les Russes se trouvent là. Et les forces de beaucoup de pays traversent le ciel de la région pour opérer en Syrie».
Par ailleurs, le lieutenant-colonel Nadav, commandant du 133ème escadron qui exploite des avions de combat F-15, répond à notre question :
«C’est une étape importante dans nos relations avec les forces aériennes internationales, dont certaines arrivent en Israël pour s’entraîner pour la première fois, ce qui nous permettra de continuer à coopérer avec ces forces à l’avenir».
La messe est dite ! Ces deux officiers nous confirment que la Russie est dans la ligne de mire et que notre pays fera partie des alliés de l’entité sioniste si une guerre venait à éclater.
Prendre part à ces entraînements n’augure rien de bon et s’entrainer militairement avec la nation qui détient le record de violations de résolutions de l’ONU revient à cautionner sa politique. Mais la majorité de nos concitoyens ne la cautionnent en aucun cas ! C’est la raison pour laquelle cette information n’a pas fait la Une des journaux français…
Une autre question reste sans réponse : le coût financier d’une telle opération pour le contribuable français, auquel, la Cour des comptes demande de « se serrer la ceinture » depuis plusieurs années.
Dans son rapport publié en février dernier, elle préconise d’ailleurs des coupes dans les dépenses publiques qui impactent directement les citoyens : le logement, la formation professionnelle ou la santé.
Du Blue Flag au False Flag il n’y a donc qu’un pas et le Parti Anti Sioniste estime être de son devoir d’informer les Français de ce qui se trame derrière leur dos…
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