“ Fake news ” : les médias libres toujours dans l’œil du cyclone !

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Selon l’adage populaire « la vérité n’est pas toujours bonne à dire », surtout quand elle ébranle un système de castes bien établi qui s’octroie tous les privilèges et dont le but ultime est de perdurer.

À l’évidence, les médias, qui représentent la plus grande puissance de notre société contemporaine, est en perte de vitesse car confrontés à un public plus critique et plus méfiant. Des médias qui ne savent plus à quel saint se vouer pour regagner les galons d’antan.

 

Depuis plusieurs mois, une véritable chasse aux sorcières a été lancée à l’encontre des médias libres. Alors, sous des prétextes fallacieux, en l’occurrence des « fakes news », des outils tels que le Décodex, censés répertoriés les sites non-conformes à la doxa officielle, ont vu le jour.

En effet, depuis le 1er février, la version web du journal Le Monde propose un kit de vérification de l’information sur la toile. Financé par un fonds Google, ce nouvel outil est censé lutter contre les fausses informations en classant plus de 600 sites d’information.

De plus, le 6 février 2017, Facebook a annoncé sa collaboration avec des médias français pour « réduire la présence de fausses informations sur le réseau social », selon Le Monde. Huit médias, et non des moindres, sont parties prenantes de cette censure. I

l s’agit de l’Agence France-Presse, Le Monde, BFM-TV, France Télévisions, France Médias Monde, L’Express, Libération et 20 Minutes.

 

Cette étroite collaboration entre des géants du net et ces grands médias est à l’œuvre pour empêcher toute propagation d’information pouvant mettre en péril le système oligarchique atlantisto-sioniste.

 

Une nouvelle étape va probablement être franchie. En effet, le mercredi 22 mars, la sénatrice UDI de l’Orne, Nathalie Goulet, a déposé une proposition de loi pour sanctionner les auteurs des « fakes news » :

 

“ Il s’agit de combler un vide juridique dans le droit français de la liberté de la presse. Une fausse nouvelle n’est pas forcément une diffamation et peut être difficilement sanctionnée ”, a constaté la sénatrice.

 

Cette proposition de loi définit la fausse nouvelle comme “ la mise à disposition du public de nouvelles fausses non accompagnées des réserves nécessaires lorsque la publication est de nature à tromper et influencer directement le public à agir en conséquence et que sa mise à disposition a été faite de mauvaise foi ”.

Le texte prévoit des peines de prison avec sursis pouvant aller jusqu’à 5 ans et des amendes pouvant atteindre 100 000 euros lorsque la fausse nouvelle est publiée en bande organisée.

 

Et qu’en sera-t-il des « fakes news » journaliers qui s’invitent dans les plateaux télévisés, des radios, ou de la presse écrite et qui orientent le public vers plus de désordre ? Les guerres qui touchent le Moyen-Orient ou l’Afrique n’ont-elles pas été menées sous de fausses nouvelles ?

Cette caste médiatico-politique sera-t-elle inquiétée au même titre ? Interrogé par RT, Dan Shefet, co-auteur de cette proposition de loi a affirmé :

« Si CNN ou l’un de vos gros médias se trompe dans la publication d’une information, c’est problématique mais pas dramatique. Se tromper peut arriver à tout le monde. Mais si vous le faites avec une intention de nuire notamment à des valeurs démocratiques la situation est bien différente ».

 

Mais de quelles valeurs parle-t-il ? Garder le silence face aux agissements de toute cette caste oligarchique est-ce cela les valeurs démocratiques qu’il prétend défendre ?

Les conflits meurtriers en Libye, en Irak, en Syrie et bien d’autres encore nous montrent comment et d’où ils prennent leurs origines : des FAKES NEWS fomentés par CNN, Reuters, l’Agence France-Presse, Le Monde, BFM-TV, France Télévisions, France Médias Monde, L’Express, Libération et 20 Minutes, Al Jazeera …..

 

Si cette loi est votée, ces “ illu-sionnistes “ qui mélangent savamment le vrai et le faux, n’auront jamais à la craindre. Alors la voix de l’information et de la résistance devra une nouvelle fois s’exiler comme par le passé lors des années les plus sombres de notre Nation.

Le Parti Anti Sioniste dénonce la ligne rouge que s’apprête une nouvelle fois à franchir notre pays si une telle loi venait à être votée !

 

Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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