Face à la polémique qui enfle concernant la volonté du gouvernement de rendre prochainement obligatoires 11 vaccins au lieu de 3 actuellement, la ministre de la santé Agnès Buzyn a tenu a clarifié les choses.
Les adjuvants utilisés dans la fabrication des vaccins « ne sont pas nocifs », a-t-elle assuré , qualifiant les craintes exprimées par des associations et certains médecins de « désinformation » des réseaux sociaux.
Ces craintes concernent particulièrement l’aluminium, qui a été introduit comme adjuvant dans les vaccins en 1926, et qui, du fait de sa forte toxicité, devait :
– Entrainer une forte réaction du système immunitaire, et améliorer ainsi l’efficacité du vaccin ;
– Etre ensuite rejeté par voie urinaire dans les 2 à 3 semaines, «hypothèse» qui n’a jamais été vérifiée.
Selon la ministre de la Santé, « nous sommes dans l’irrationnel le plus total. Nous travaillons aujourd’hui à lutter contre les réseaux sociaux et à lutter contre la désinformation ».
Pourtant, il y a à peine 5 ans, le professeur Luc Montagnier, virologue et prix Nobel de Médecine, dénonçait l’inertie des responsables politiques et sanitaires concernant ce sujet. Il affirmait alors :
« Ce sont souvent les adjuvants qui créent ces problèmes de réactions anormales aux vaccins. J’enrage de voir que ce problème est totalement nié pour des intérêts politiques et pharmaceutiques. »
Est-ce que le professeur Luc Montagnier, sommité mondiale en la matière, est dans « l’irrationnel » madame la ministre ?
La même année en 2012, le fameux MIT (Massachusetts Institute of Technology, une des plus prestigieuses universités au monde), publiait une étude accablante qui reliait l’aluminium des vaccins au développement de l’autisme ainsi qu’à un risque de décès prématuré.
En effet, dans une publication datée du 18 novembre 2012, et intitulée : des données empiriques confirment les symptômes d’autisme liés à l’exposition à l’aluminium et à l’acétaminophène, les chercheurs Stephanie Seneff, Robert M. Davidson et Jingjing Liu affirmaient :
« Nos résultats fournissent des preuves solides à l’appui d’un lien entre l’autisme et l’aluminium des vaccins. La fatigue, la douleur et la mort sont associées de façon significative aux vaccins contenant de l’aluminium ».
Est-ce que ces chercheurs reconnus, au CV long comme le bras et chapeautés par l’une des plus prestigieuses universités de la planète sont aussi dans ce que madame la ministre de la Santé appelle « l’irrationnel » ou bien font-ils selon elle de la « désinformation » ?
Comment une responsable politique ose encore en 2017 tenir ce genre de discours méprisants, après les propos tenus et les études réalisées par de nombreuses sommités mondiales en la matière ?
Pourrait-elle nous dire sur quels éléments probants se base –t-elle pour affirmer avec certitude qu’il n’y a aucune nocivité des adjuvants vaccinaux ?
Elle qui est également une scientifique émérite devrait avoir une attitude moins arrogante face à ses confrères, pour sortir de ses certitudes, et placer la santé des citoyens avant les intérêts de l’industrie pharmaceutique.
Mais justement, concernant les liens avec les lobbies pharmaceutiques, la position de notre ministre de la Santé est pour le moins ambiguë, comme le démontrent ses propos tenus fin mars 2016 et qui avaient été dénoncés par le site « Médiapart », dans lesquels elle estimait que « les liens entre experts et laboratoires étaient un gage de compétence » !?
Une position qui avait été fortement critiquée par plusieurs acteurs de la santé, mais que l’on comprend mieux étant donné ses propres liens avec le lobby tout-puissant.
En effet, d’après le site du journal « l’Express », lorsqu’elle était vice-présidente de l’Inca (institut national du cancer), entre mai 2011 et mars 2016, Agnès Buzyn était également au « Board » de deux gros laboratoires, Novartis et Bristol-Meyers Squibb, en tant que conseillère scientifique. Dis-moi qui te paye….
Avec ce genre de conflits d’intérêts, comment peut-on encore imaginer que la médecine puisse être libre et indépendante vis-à-vis des intérêts financiers colossaux des laboratoires pharmaceutiques ?
Le Parti Anti Sioniste se félicite que des personnes honnêtes et consciencieuses parmi les scientifiques ou les journalistes, fassent avancer la cause de la vérité concernant ce sujet qui nous touche tous.
Aujourd’hui, l’opinion publique ouvre enfin les yeux, de même que les medias, qui changent désormais de ton en soutenant les victimes et en traitant le sujet de manière plus fréquente et plus ouverte.
Quant à ceux qui s’enferment dans les certitudes de leur dogme vaccinal, refusant de débattre ou de voir l’évidence, ils ne sont que les idiots utiles (ou pire encore, conscients, pour certains) de l’industrie pharmaceutique, qui se frotte les mains à l’idée de lancer ces nouveaux vaccins, très loin d’être nécessaires pour nos enfants, bien au contraire.
En revanche, et compte tenu des avis divergents sur la question de la vaccination et des adjuvants, un état qui se réclame des droits de l’homme et de la démocratie se doit de laisser les citoyens libres de leur choix en la matière et cesser toute forme de pression ou d’obligation.
Rappelons que dans de nombreux pays européens, à commencer par l’Allemagne voisine, il n’y a aucune obligation vaccinale.
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste
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