La République Islamique d’Iran fait partie des rares pays musulmans à soutenir encore la cause palestinienne, alors que le monde arabe, dans sa presque totalité, a abandonné les Palestiniens à leur insoutenable sort, jugeant préférable de se tourner vers l’entité sioniste d’Israël.
En effet, lors du discours d’ouverture de la sixième Conférence de soutien à l’Intifada palestinienne qui se tient ces jours-ci, à Téhéran, le Guide suprême de la Révolution islamique, Sayyed Ali Khamenei a souligné qu’ « aucun peuple n’a subi ce que subit le peuple palestinien» affirmant que « le soutien à la résistance est le devoir de tous.
Étrangement, l’autorité palestinienne ainsi que d’autres organisations telle que le Fatah ont jugé bon de s’abstenir d’assister à cette importante conférence prétextant les motifs les plus incohérents et qui ne convainquent personne. Ce qui est certain c’est que cette absence flagrante et injustifiable n’est pas passée inaperçue et tout bien réfléchi, elle ne sert aucunement le peuple palestinien, qui bien au contraire, demeure le seul à souffrir continuellement et sur tous les plans.
Il est clair que le refus de ces responsables palestiniens d’assister à cette conférence est motivé par leur crainte de Washington ainsi que des capitales de la région sachant que cet axe du Mal, adversaire viscéral de l’Iran, a déjà commencé à battre les tambours de la guerre pour déclencher son agression contre la République Islamique.
Des analyses ont annoncé que certains pays arabes ne sont ni prêts, ni disposés à rompre leurs relations avec les USA afin de soutenir la Palestine et son peuple. Alors pourquoi les autorités palestiniennes se sont-elles mises dans cette situation ?
C’est peut-être pour souligner ce point que le Guide de la Révolution a dit, avec diplomatie : « aux factions de la résistance palestinienne d’apprécier leur juste valeur et de ne pas se préoccuper de leurs différends » c’est ce qu’a rapporté la chaîne satellitaire arabe al Mayadeen.
Son éminence a tenu à préciser que « la Palestine représente toujours un titre censé être le centre de l’unité des Arabes et des musulmans », insistant sur le fait « qu’il ne faut pas négliger le soutien politique au peuple palestinien compte tenu de son impact dans le monde ».
Le guide suprême a estimé que « l’environnement mondial évolue dans la voie d’une dénonciation des pratiques inhumaines et illégales de l’entité sioniste ».
Et, d’ajouter, que « la troisième intifada est plus opprimée que les deux précédentes intifadas, car le peuple palestinien assume tout seul le fardeau de la lutte contre sionisme ».
L’ayatollah Khamenei a affirmé que « l’entité sioniste ne peut pas vivre sur les ruines de l’identité palestinienne ».
Son éminence a rappelé « la douloureuse histoire de la Palestine » et « les atrocités subies par cette nation patiente, endurante et résistante qui ne cesse de chercher la liberté, la vérité et la justice ».
Et de poursuivre : « La présente conférence se déroule dans l’une des plus difficiles circonstances qu’aient jamais connues le monde et la région. Le Moyen-Orient, qui a toujours soutenu le peuple palestinien est en proie à des crises. Ces crises ont détourné l’attention de la cause palestinienne et de la libération d’al Qods. Seules en profitent les puissances qui ont créé le régime sioniste et l’ont implanté au cœur de la région pour la déstabiliser et en faire un éternel terrain de combats et de guerre . C’est ainsi que les alliés d’Israël comptent épuiser les ressources humaines et naturelles de la région en créant des heurts futiles et sans lendemain ».
Le Guide suprême a sévèrement critiqué « la négligence de certains États , qui a permis aux grandes puissances de semer la discorde entre les peuples de la région et de les dresser les uns contre les autres . Et ce dans l’objectif de reléguer au second plan l’occupation illégale de la Palestine par Israël ».
Pour l’Ayatollah Khamenei, « certaines divergences au sein de la oumma islamique sont naturelles, mais, dans de tels cas, le dialogue est toujours possible. Mais il existe des divergences importées, créées par l’ennemi qu’il faut surmonter en s’unissant autour des causes communes comme celle de la Palestine ».
Il a rappelé « l’importance de créer un climat d’entraide, d’harmonie et de coopération inter-islamique pour venir en aide au peuple palestinien : l’importance du soutien politique aux Palestiniens ne devrait jamais être ignorée. C’est une priorité pour le monde musulman et pour tous ceux qui respectent la liberté ».
Le Parti Anti Sioniste félicite la République Islamique d’Iran, qui, par de telles conférences contribue très activement et très concrètement à soutenir le peuple palestinien et sa cause juste. Cette honorable démarche n’est pas étonnante car émane de la grande victoire de la glorieuse Révolution qui a mis à genoux l’Arrogance internationale et a sapé tous ses projets et ses rêves
d’hégémonie sur le Moyen-Orient ainsi que sur le monde.
Le refus de participation des autorités palestiniennes et des autres organisations, sensées exister pour protéger le peuple et lutter pour qu’il recouvre sa liberté, est déplorable, frisant même la trahison car les ennemis que sont l’USraël et l’ Occident arrogant ne concède aucune concession. Pourquoi fléchir alors ?
Il y a un temps pour tout : un temps pour naître, et un temps pour mourir, un temps pour planter, et un temps pour déraciner, un temps pour détruire, et un temps pour construire, un temps pour se taire et un temps pour parler…. Un temps pour la guerre et un temps pour la paix. קהלת פרק ג [i] Tout le monde connait ces versets de la תורה[ii].
De plus en plus de personnes, Juives comme non-Juives se plaignent des conséquences sortant tout droit de l’idéologie sioniste telles que l’occupation sioniste de la Palestine avec les crimes qui l’accompagnent et la souffrance des peuples qui y vivent, l’ingérence du régime sioniste dans les affaires des États dans le monde, et cette insolence de parler au nom des Juifs.
Ce proverbe ci-dessus s’applique aussi pour le sionisme. Cette maudite idéologie est née fin du 19ème siècle, elle est un accident de l’Histoire de l’Humanité, et elle est vouée à disparaître, le plus tôt c’est le mieux. Pour pouvoir combattre le sionisme, il faut comprendre comment il fonctionne, et quels sont ses buts. Si nous ne sommes pas avertis et pas vigilants, nous pouvons être atteints de ce virus.
Comme autrefois, le sionisme se sert du mensonge, de la falsification de la Thora et des faits historiques, de la tromperie, de la propagande … et aussi de notre ignorance et notre infidélité à השם[iii] et Sa תורה.
Le sionisme, à l’instar du Satan, ne vient pas à nous avec des grossièretés ; il vient vers le Croyant d’une façon doucereuse pour le faire douter de ce que השםnous a commandé et promis. Je veux prendre comme exemple un sujet qui devient de plus en plus grave à cause de la perte de nombreusesנשמות[iv] Juives ne luttant pas comme il se devrait. Je parle de nos jeunes gens Juifs orthodoxes qui étudient en ישיבות וכוללים[v]… qui se font amadoués ou carrément emmenés de force afin qu’ils s’enrôlent dans l’armée sioniste criminelle.
Malgré les protestations de Juifs orthodoxes dans le monde, les sionistes continuent leur plan expansionniste, chassant les habitants natifs pour y installer des colons ; ils appellent aussi dans leur hérésie des braves Juifs principalement d’Europe à « go home », alors que ceux-ci sont bien plus en sécurité en France ou en Belgique ou ailleurs que dans leur « Israhell ».
Voici un link (en Anglais) qui permet de voir les actions et manifestations qui sont menées par les Juifs orthodoxes à Washington dénonçant les crimes dans l’entité sioniste et demandant au régime sioniste de ne pas obliger les Juifs pieux à aller dans l’armée. http://ift.tt/2mDDJrE
D’autres protestations ont déjà eu lieu aussi en Europe. Les premières datent depuis la création de l’entité sioniste aux Etats-Unis avec le CRC. Voir photos en annexe (Bijlagen en bas de ce document).
Pour manifester notre opposition au sionisme, nous Juifs antisionistes et de stricte observance, le faisons de différentes manières ; les uns manifestent, d’autres écrivent ou donnent des interviews.
Ici deux beaux documentaires sur l’antisionisme en Europe :
Le danger qu’encourent nos âmes et nos corps sous occupation sioniste devrait être une raison suffisante pour s’enfuir de cette entité sioniste illégale, tant au point de vue de la Thora qu’au regard du Droit International. Nous appelons nos frères et sœurs Juifs d’accepter de prendre le bâton du Juif en Exil, à se purifier pour mériter, quand le moment sera venu, de retourner sur notre Terre, qui pour le moment n’est que Promise.
Pour aider nos frères et sœurs qui sont pris en otage dans l’entité sioniste, véritables « prisonniers de Sion », nous sommes d’avis qu’une action de sauvetage, une sorte de « עזרה לפליטים[vi] », devrait organisée par les Rabbins qui s’y sentent appelés.
Le sionisme s’attaque aussi aux non-Juifs en Palestine et ailleurs dans le monde. Encore tout récemment nous avons pu observer comment des groupuscules ultra-sionistes, tel le FJO[vii], font pression sur les autorités de la ville pour tenter de faire interdire des manifestations pro-palestiniennes et du BDS. Un jeune marié originaire de Gaza se fait condamner par le tribunal d’Anvers à 6 mois de prison avec sursis et amende pour avoir exprimer son amertume et sa colère sur les sionistes qui avaient bombardé ce jour-là la maison de ses parents !!! C’est scandaleux, il faut que ça cesse ! Bien sûr que l’on ne va pas laisser passer ça, …chaque chose en son temps !
Nous implorons le Tout-Puissant, le Maître des combats de venir en aide et de faire Justice aux opprimés.
La Coalition des jeunes de la Révolution du 14 février a appelé les Bahreïnis à descendre dans les rues et à manifester, mardi, pour célébrer le sixième anniversaire de leur révolution populaire.
Un soulèvement, à nouveau réprimé dans le sang, et sur lequel, les médias occidentaux, mais aussi arabes, sont restés étrangement silencieux.
Le site web de Middle East Panorama a rapporté, quant à lui, qu’un groupe de 60 personnes est arrivé à l’aéroport de Manama. Elles étaient munies de passeports israéliens et avaient pris un vol de Qatar Airways.
C’est une délégation d’agents de sécurité bahreïnis, qui en premier lieu, a accueilli ces forces spéciales et les ont ensuite transférées vers une destination inconnue à bord de voitures appartenant au ministère de l’Intérieur du Bahreïn.
Il va sans dire que l’arrivée inattendue de ces mercenaires, à l’aéroport international de Manama, a donné lieu à un déploiement des forces de sécurité afin d’empêcher toute fuite d’informations et afin d’interdire toute prise de photos par la foule présente sur les lieux.
Le journal Times of Israel a rapporté les propos du ministre de la Coopération régionale du régime criminel sioniste sur les relations économiques entre Tel-Aviv et Manama, mais aussi sur une « coopération avec Manama, pour offrir des entraînements à la police anti-émeute bahreïnie ». Le ministre israélien a ajouté que Tel-Aviv cherchait des moyens d’étendre ses liens avec les pays arabes du Golfe persique.
Le ministre a fait allusion à d’éventuels services médicaux que le régime criminel, tueur d’enfants, peut offrir à la famille royale bahreïnie, et ce, aussi bien à Tel-Aviv qu’à Manama. Il a également précisé qu’une délégation d’hommes d’affaires de confession juive, et des rabbins , détenteurs de passeports américains et européens, était venue suite à l’invitation du roi au Bahreïn.
Comme il fallait s’y attendre, des milliers de manifestants dans plusieurs villes du Bahreïn ont investi les rues afin de commémorer ce sixième anniversaire du soulèvement populaire pacifique. Toujours inébranlables et infléchissables, les manifestants ont réclamé le recouvrement de leurs droits légitimes. Cette marche a été baptisée « Fidélité aux martyrs ».
Bien entendu, le régime totalitaire des Al-Khalifa a déployé ses militaires dans diverses régions du pays. Comme à l’accoutumée, ils s’en sont pris aux manifestants en usant de moyens de répression tels que plusieurs personnes ont été blessées par des tirs de chevrotine.
Dimanche aussi, des milliers de Bahreïnis avaient manifesté contre la politique de répression du régime de Manama, qui a empêché les cérémonies funèbres de trois jeunes opposants exécutés il y a peu de temps par les autorités.
Rappelons que les réformes politiques légitimes que le peuple réclame depuis le soulèvement du 14 février 2011 ne sont toujours pas appliquées. Le régime de Manama, un des grands alliés de Ryad, emprisonne ou exécute les opposants et les militants politiques en recourant à des accusations infondées et montées de toutes pièces.
Pour perfectionner leurs méthodes, les autorités bahreïnies ont fait appel aux mercenaires de l’entité sioniste criminelle d’Israël pour qu’elle leur enseigne « l’art » de tuer, de torturer, de blesser des citoyens innocents et désarmés.
Le Parti Anti Sioniste condamne avec le plus grande fermeté ces pratiques barbares dont font usage les dirigeants bahreïnis et les appelle à recouvrer la raison en renonçant à cette violence gratuite qui ne mènera qu’à plus de morts, plus de blessés et plus destruction de leur pays.
En tant que responsables musulmans, vous vous devez de veiller au bien-être de votre peuple et à sa sécurité. Le vrai ennemi c’est l’entité sioniste d’Israël et non les citoyens qui ne réclament que leurs droits légitimes !
Avoir recours à des forces ennemies pour les diriger contre son propres peuple n’augure absolument rien de bon, ni pour le Bahreïn ni pour la région.
National : Dîner du CRIF ou l’allégeance au sionisme ! ; C’est fait le méga-fichier est effectif ! International : Bill Gates annonce une pandémie ! ; Les Pays du Golfe normalisent leurs relations avec Israël ! Brèves : L’assassin israélien élevé au rang de héros national ! ; Un décret ouvre les forêts françaises protégées à l’exploitation minière ! ; C’est aux médias de «contrôler ce que les gens pensent» ; Le fils de Pablo Escobar : « Mon père travaillait pour la CIA »
L’entité sioniste criminelle avait bien raison de s’inquiéter de l’élection du Général Michel Aoun à la présidence du Liban le 31 octobre dernier, après deux années de vide institutionnel.
Ainsi, lors de sa prise de fonction, le Général avait affirmé : « La lutte contre Israël est une priorité nationale », avant de réitérer quelques mois plus tard son soutien au Hezbollah, soulignant la nécessité des « armes de la résistance face à l’occupation israélienne ».
« Les armes du Hezb n’affaiblissent en aucun cas l’État », avait-t-il indiqué dans une interview à la chaîne CBC. « Elles représentent l’un des piliers essentiels de la stratégie défensive du pays. Nous avons besoin de la résistance tant que nos terres sont occupées par les Israéliens », avait encore ajouté le chef de l’État.
Cet homme, aux convictions solides, vient de prouver une nouvelle fois qu’il ne cédait pas devant les menaces et pressions, tant israéliennes que celles provenant de la scène libanaise.
En effet, le président Aoun a affirmé samedi dernier 18 février, que son pays ne tolérerait aucune agression commise par Israël contre la souveraineté nationale libanaise.
« Le temps de la politique agressive d’Israël est révolu et toute tentative de ce régime en vue de violer la souveraineté libanaise ou agresser les Libanais recevrait une réponse appropriée », a-t-il indiqué dans un communiqué, à l’issue d’une réunion qui regroupait certaines personnalités du pays.
Le président Aoun réagissait à une lettre adressée au secrétaire général des Nations Unies par l’ambassadeur israélien à l’ONU, Dany Danon, concernant les propos lancés le jeudi précèdent par Seyyed Hassan Nasrallah, Secrétaire général du Hezbollah.
Le chef du parti de la Résistance avait, à l’occasion du discours de « commémoration des grands martyrs du parti », menacé de cibler le réacteur nucléaire de Dimona ainsi que le réservoir d’ammoniaque de Haïfa lors de la prochaine guerre avec Israël. Ces propos avaient suscité l’émoi dans les rangs de l’ennemi, qui avait réagi en menaçant, comme à son habitude. Ainsi, le ministre israélien du renseignement, Yisrael Katz, rétorquait que « Si Nasrallah osait tirer sur le front intérieur israélien ou l’infrastructure nationale, tout le Liban s’en irait avec ».
Selon le président Aoun, le courrier de Dany Danon constitue une « tentative masquée de menace pour la sécurité et la stabilité » du Liban.
« C’est le régime d’Israël qui a occupé des parties du territoire libanais comme la cité d’al-Ghajar, les fermes de Chebaa et les hauteurs de Kfar Chouba en violant le tracé de la Ligne bleue, sur mer et dans le ciel, et l’intégrité territoriale libanaise », a-t-il poursuivi, ajoutant qu’« en vertu de l’article 51 de la Charte des Nations unies, le gouvernement et le peuple libanais ont le droit inaliénable de défendre leur pays».
La mise en garde du président Aoun a suscité une vague de réactions dans les milieux politiques libanais, certains s’inquiétant des répercussions d’une éventuelle frappe israélienne, tandis que les milieux proches du Hezbollah et de la résistance assuraient que celle-ci continuerait à se battre contre l’entité sioniste criminelle.
Le Parti Anti Sioniste félicite le président libanais pour ses propos courageux, qui démontrent que celui-ci est un authentique patriote, plaçant l’unité du pays et sa défense face aux menaces de l’entité criminelle, au-dessus de toutes autres considérations.
Dans la lignée de son allié Seyed Hassan Nasrallah, il signifie clairement que le Liban ne tolèrera aucune violation israélienne de sa souveraineté, quelles qu’en soient les conséquences.
L’équation « armée-peuple-résistance » est plus que jamais de mise, et nul doute que l’ennemi sioniste la prend très au sérieux.
Mercredi dernier avait lieu le très prisé « dîner du CRIF », où le tout Paris se presse pour écouter religieusement les recommandations (ou les directives..) de cette institution, devenue incontournable pour quiconque souhaite réussir sa carrière politique.
Ainsi, on comptait parmi les 800 invités, le président François Hollande, plusieurs ministres ou ex-ministres, toutes tendances confondues, mais aussi les candidats à l’élection présidentielle, François Fillon, Benoît Hamon et Emmanuel Macron.
On notera cependant l’absence de deux candidats qui ont été privés de dîner : «Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon ne sont pas invités car ils véhiculent la haine», a expliqué le président de l’organisation communautaire, Francis Kalifat, ajoutant : « À l’extrême-droite, il y a un rejet de l’étranger, et à l’extrême-gauche, c’est la haine d’Israël. Donc je crois qu’ils n’ont pas leur place à ce dîner ».
De son coté, lorsqu’on lui demande pourquoi Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon et Yannick Jadot ne sont pas conviés alors qu’ils représentent 40% de l’électorat au premier tour selon les sondages, le vice-président du CRIF, Yonathan Arfi, rétorque clairement :
« Compte-tenu des positions xénophobes et populistes du FN, du passé vichyste d’une partie de ses fondateurs, cela nous paraît irresponsable politiquement et scandaleux moralement d’inviter Mme Le Pen. Une partie de l’extrême-gauche véhicule un discours de haine vis-à-vis de l’État d’Israël qui nourrit l’antisémitisme en France. Quant aux Verts, ils soutiennent le mouvement BDS (qui prône le boycott des produits israéliens pour protester contre la colonisation) que nous ne pouvons pas cautionner ».
Lors de ce dîner, le chef de l’État, François Hollande, a pris la parole et appelé à renforcer la lutte contre l’antisémitisme, car il estime que «la haine d’Israël» est un «prétexte» au racisme anti-juif.
Le président du CRIF, pour sa part, a construit son discours autour du sempiternel amalgame qui voudrait qu’antisémitisme et antisionisme soient équivalents. En dénonçant l’ «obsession» anti-Israël, il a affirmé sous les applaudissements : «L’antisionisme n’est rien d’autre que l’expression contemporaine de l’antisémitisme». CQFD.
Francis Kalifat en a aussi profité pour appeler à interdire le mouvement BDS en France, là encore, sous les applaudissements.
Fervent ambassadeur de l’entité criminelle israélienne, le premier responsable du CRIF nous a dressé un tableau idyllique d’Israël, qu’il a décrit, sans rire, comme «une démocratie, un État de droit et un pays de libertés». Pour les Israéliens, aurait-il dû préciser, car pour les Palestiniens c’est une toute autre histoire.
En bon agent du sionisme et de la division qu’il est, Kalifat en a aussi profité pour stigmatiser la communauté musulmane de France, tout en se défendant évidemment de le faire.
«Je ne dis pas que tous les Français musulmans, tous les sympathisants du Front national et tous les sympathisants de l’extrême gauche sont antisémites. Je fais le constat que les antisémites sont surreprésentés dans ces trois groupes » a-t-il affirmé, en nous ressortant la bonne vieille théorie du complot antisémite de l’alliance vert-brun-rouge.
Ainsi donc, le CRIF apparait une fois de plus pour ce qu’il est : le « Conseil Représentant Israël en France », c’est-à-dire la voix de l’entité sioniste criminelle dans notre pays.
Mais ce qui est plus grave encore c’est la façon dont nos responsables politiques se prosternent, sans aucune fierté ni pudeur, devant ce que le pourtant ultra-sioniste Alain Finkielkraut qualifiait en 2005 de « tribunal dînatoire où les membres du gouvernement français comparaissent ».
Le Parti Anti Sioniste condamne une nouvelle fois la façon dont nos dirigeants viennent faire allégeance auprès de ce lobby pro-israélien, qui démontre par la même occasion que sa toute puissance n’est pas une « théorie du complot ».
Il rappelle également aux Français que l’antisionisme n’est en aucune façon un racisme contre les juifs, mais une dénonciation légale des exactions commises par le sionisme en Palestine et dans le monde.
Il est temps que notre peuple se libère enfin de la dictature sioniste qui gouverne notre pays, et élise des responsables politiques indépendants de l’influence israélienne.
Il serait bon de penser à cela au moment de mettre le bulletin dans l’urne lors de l’élection qui arrive.
Quant à nos politiciens qui se prosternent devant les instances pro-israéliennes, obéissant docilement à leurs injonctions, le peuple saura leur rappeler leur forfaiture en temps voulu.
Après plusieurs mois de combats opposant l’armée turque (aidée des rebelles de l’ASL) et le groupe terroriste de Daesh, la dernière place forte encore aux mains de ces derniers vient de tomber dans la région d’Alep.
En effet, le ministre turc de la défense, Fikri Isik, a annoncé ce jeudi 23 février à l’agence de presse pro-gouvernementale « Anadolu » que :
« La ville d’Al-Bab est désormais presque sous contrôle », avant d’ajouter que les forces d’Ankara étaient « entrées dans le centre-ville » et que « des opérations de ratissage de grande ampleur étaient en cours ».
Quant aux forces de l’armée syrienne libre (ASL), elles n’ont pas attendu pour annoncer « la libération totale de la ville ».
Si ces informations s’avéraient exactes, il s’agirait d’une double victoire pour Ankara, qui avait lancé l’opération « Bouclier de l’Euphrate » fin août dernier pour chasser Daesh, ainsi que les milices kurdes soutenues par Washington, mais considérées comme terroristes par la Turquie.
La première raison de cette victoire consisterait à avoir chassé Daesh de sa frontière (Al-Bab ne se situe qu’à 25 km de la frontière turque).
La seconde raison de ce succès serait que l’armée turque couperait toute possibilité aux kurdes syriens de contrôler une bande continue tout au long de la frontière turque, car désormais, le canton de l’Est avec Kobané et celui de l’Ouest avec Afrine, seraient séparés par les territoires fraichement contrôlés par Ankara.
Cependant, la situation reste explosive : l’armée turque ainsi que les rebelles de l’ASL pro-turcs, se retrouvent de ce fait face à l’armée syrienne et ses alliés.
Il faut rappeler que les troupes gouvernementales syriennes étaient arrivées à 1,5 km d’Al-Bab, mais que la Russie avait demandé à son allié, Damas, de ne pas entrer dans la cité pour laisser une chance à cette nouvelle collaboration (Turquie/Russie/Iran).
Les prochains jours seront donc décisifs, et les prises de décisions des différents protagonistes de la scène syrienne amèneront soit à une dégradation de la situation qui deviendra vite incontrôlable, soit à un apaisement qui dirigera vers l’espoir d’une solution politique.
En effet, comment va réagir la coalition américaine, qui travaille avec acharnement à la partition de la Syrie ? La prise d’Al-Bab voit s’éloigner encore un peu plus l’idée d’un gouvernement indépendant kurde, pro-américain, tant désiré par Washington (mais aussi Tel-Aviv, qui suit cela de très près).
De plus, la Turquie, en annexant une partie du territoire syrien, doit maintenant traiter avec la question d’une occupation prolongée d’une partie d’un pays étranger, pays qui ne restera certainement pas passif face à cet état de fait.
Va-t-elle s’installer dans le Nord de la Syrie, à ses frontières, au risque de s’attirer les foudres de Damas et de ses alliés, et mettre ainsi en péril cette nouvelle triple alliance Turquie/Russie/Iran ?
Ou bien, va-t-elle se retirer de ces territoires, après que des garanties la satisfaisant lui soient accordées, solidifiant ainsi cette nouvelle alliance ?
Seul l’avenir apportera des réponses à ces questions d’une importance capitale pour la région.
Le Parti Anti Sioniste appelle les acteurs de la scène syrienne à prendre les bonnes décisions, celles qui amèneront vers un apaisement et une solution politique, mettant fin à six années de conflit meurtrier.
Il espère que le gouvernement turc agira avec sagesse, et évitera toute situation pouvant déboucher sur une confrontation avec l’armée syrienne, maîtresse légitime de tout son territoire.
Dans le cas contraire, avec le jeu des alliances, les évènements pourraient très vite prendre une tournure catastrophique, non seulement pour la région, mais aussi pour le monde.
La situation en Palestine occupée risque de connaitre des bouleversements dans les semaines à venir, en raison de l’élection il y a quelques jours de Yahya Sinwar, à la tête du bureau politique du Hamas dans la bande de Gaza. Il succède ainsi à Ismaïl Haniyeh.
Né à Khan-Younes, dans la bande de Gaza, en 1962, Sinwar a passé 22 ans dans les geôles israéliennes avant d’être libéré en 2011 dans le cadre de l’échange de prisonniers contre Gilad Shalit, le soldat franco-israélien enlevé par la résistance 5 ans plus tôt.
Considéré comme l’homme le plus fort de Gaza, alors même qu’il ne dirigeait ni la branche politique, ni la branche armée du Hamas, il était, jusqu’à son élection, le lien connectant ces deux branches.
Ce haut dirigeant, qui a contribué à établir les Brigades al- Qassam, a supervisé la mise en place de son unité de renseignement, « Majd », qui agit contre les collaborateurs et qui a rétabli la sécurité dans la bande de Gaza.
Courage, patriotisme, modestie, détermination sans faille, autant de qualités qui confèrent à l’homme une réputation sans tache au sein de la résistance. Mais Sinwar force le respect jusque dans les rangs de l’ennemi. En effet, le site pro-sioniste « times of Israël » affirme que « les responsables de la sécurité israélienne qui ont rencontré Sinwar plus d’une fois le décrivent comme un homme impressionnant et cordial, mais n’hésitant pas à utiliser l’action armée», ajoutant qu’ « il était prêt à rester en prison afin de forcer la libération d’un plus grand nombre de prisonniers palestiniens ».
C’est pour ces raisons que l’élection de Sinwar a suscité une forte inquiétude chez les responsables de l’entité sioniste criminelle, qui ont conscience qu’une nouvelle ère s’ouvre pour la résistance.
En effet, ce changement à la tête du bureau politique du Hamas à Gaza marque probablement la fin de la période « Mechaal », du nom de celui qui dirigea le mouvement, qui se caractérisait par la diplomatie et les compromis politiques.
Le courant qui est désormais aux commandes rejette toute concession politique à l’occupant et préconise la lutte armée comme seule solution possible pour mettre fin à l’occupation.
Par ailleurs, cette élection favorisera certainement le rapprochement du Hamas avec « l’axe de la résistance », notamment l’Iran et le Hezbollah. On sait que la position « anti-Bachar » (et donc pro-américaine) de la branche politique du mouvement palestinien dans le conflit syrien avait distendu les liens de la direction politique avec la République Islamique et la Résistance libanaise. Cependant, la branche militaire du Hamas continuait à exprimer sa fidélité et sa reconnaissance envers l’axe de la résistance, consciente de l’importance de celui-ci dans sa lutte contre l’occupant.
Parallèlement, sur le plan extérieur, il semblerait qu’il y ait aussi un réchauffement des relations entre le Hamas et l’Égypte et que l’on s’achemine vers un accord politico-économique.
Ainsi, une délégation du Hamas, dirigée par le vice-président du bureau politique du mouvement, Ismaïl Haniyeh, s’était rendue au Caire fin janvier pendant plusieurs jours, où elle avait rencontré des responsables égyptiens, dont le chef des renseignements, Khaled Fawzi. Quelques jours plus tard, une délégation sécuritaire du Hamas de haut rang, regroupant des représentants des brigades Ezzedine el-Qassam, s’était à nouveau déplacée au Caire.
Selon des sources israéliennes, qui suivent cela de très près, les sujets évoqués lors de ces rencontres concerneraient des accords sur :
« l’organisation de la procédure d’ouverture du passage de Rafah, le renforcement des échanges commerciaux entre le Caire et Gaza, la cessation de la campagne médiatique réciproque dans les médias, et la médiation égyptienne entre le Hamas et Israël d’une part, et entre le Hamas et le Fatah de l’autre ».
Ainsi, il semblerait que le Hamas soit sur le point d’effectuer un tournant stratégique, tant sur le plan extérieur que sur le plan intérieur.
Le Parti Anti Sioniste suit la situation avec attention en Palestine occupée, à la lumière de tous ces changements.
En effet, l’élection de Yahya Sinwar, figure de la résistance, ouvre certainement une nouvelle phase dans laquelle le mouvement Hamas va donner la priorité à la lutte armée par rapport à la politique. Cela pourrait entraîner une intensification spectaculaire des hostilités contre l’occupation ces prochaines semaines.
Il semblerait qu’après avoir favorisé la solution politique, les membres du mouvement de résistance aient compris qu’avec le régime criminel de Tel-Aviv, la lutte armée était la seule option.
Quoiqu’il en soit, le Parti Anti Sioniste demeure solidaire de la résistance palestinienne à l’occupation, quelles que soient les formes que prend cette lutte légitime et héroïque.
« La communauté internationale doit réaliser qu’elle doit au plus vite se préparer à une pandémie mondiale », a estimé vendredi 17 février dernier Bill Gates, fondateur de Microsoft, devant la Conférence de sécurité de Munich.
Prenant l’exemple de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest en 2014-2015, de la grippe espagnole de 1918 ou évoquant l’invention possible d’un virus à des fins «terroristes», M. Gates a jugé «probable» une catastrophe à l’échelle du globe.
«Qu’il apparaisse dans la nature ou dans les mains d’un terroriste, les épidémiologistes disent qu’un pathogène transmis dans l’air et se propageant rapidement peut tuer 30 millions de personnes en moins d’un an», a expliqué M. Gates lors de cette réunion annuelle des responsables de la diplomatie mondiale.
« C’est assez probable que le monde va vivre une telle épidémie dans les 10 à 15 ans à venir», a-t-il ajouté, en appelant les États à investir dans la recherche pour développer des technologies capables de créer des vaccins en quelques mois.
Lorsqu’un homme d’envergure planétaire comme Bill Gates fait de telles prédictions, il y a lieu de s’inquiéter, car l’homme n’est pas du genre à parler pour ne rien dire.
Certains voient dans ces déclarations un moyen de booster davantage une industrie pharmaceutique déjà florissante, mais à ce niveau de puissance il n’est plus question d’argent.
Ne serait-on pas plutôt en train de préparer l’humanité à une catastrophe majeure d’origine humaine, et qui aurait pour conséquence une réduction drastique de la population mondiale ?
L’oligarchie mondialiste estime désormais que le nombre d’humains habitants notre planète est trop important et qu’il est nécessaire de le réduire. Une guerre nucléaire aux conséquences imprévisibles et incontrôlables serait une solution trop risquée, alors qu’une pandémie contrôlée pourrait régler le problème.
Une hypothèse qui fait froid dans le dos mais qui n’est pas à exclure quand on connait les « us et coutumes » meurtrières de nos dirigeants déshumanisés.
Car ne nous y trompons pas, derrière sa nouvelle carrière de philanthrope, Bill Gates est un porte-parole éminent de cette oligarchie mondialiste, assoiffée de pouvoir et d’argent.
Ses investissements « humanistes » dans le domaine de la vaccination, des OGM, du nucléaire, de la nourriture synthétique et de la géo-ingénierie donnent un aperçu de ce que le milliardaire et ses associés (fondation Rockefeller, Monsanto, firme pharmaceutique Merck, etc…) considèrent comme bénéfique pour l’ensemble de l’humanité.
C’est pourquoi le Parti Anti Sioniste prend très au sérieux ces déclarations annonçant une pandémie mondiale, en espérant qu’elles ne servent que la stratégie habituelle de nos dominants, visant à alimenter les peurs, en promettant à l’humanité guerres, terrorisme et catastrophes.
Dans le cas contraire, il faut se préparer au pire…
Pourquoi Trump use-t-il des deux poids deux mesures envers les pays musulmans ? L’administration américaine sait fort bien que l’Islam n’est pas terroriste et pourtant elle l’accuse, pourquoi ? Certains pays du Golfe ont soudoyé Trump pour qu’il épargne leurs ressortissants de l’exclusion…
Le candidat à l’élection présidentielle, Emmanuel Macron, a jeté un pavé dans la mare en fustigeant la colonisation française en Algérie, qualifiée de « crime contre l’humanité » et de « barbarie ».
Des paroles qui ont été prononcées dans une interview à la chaine de télévision Echourouk News, mardi 14 février dernier, à l’occasion du déplacement que l’ancien ministre effectuait en Algérie, et qui ont provoquées une vive polémique.
« La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime, c’est un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face en présentant aussi nos excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avons commis ces gestes », a-t-il expliqué lors de cette visite en Algérie. Une visite qui est un passage obligé en période électorale, quand on connait l’importance du Maghreb dans la politique intérieure et extérieure de la France.
Quelles que soient les arrière- pensées électoralistes que certains leur prêtent, ces déclarations sont néanmoins courageuses.
En effet, plus qu’un simple buzz médiatique, ces paroles ont fait l’effet d’une véritable bombe dans un pays qui n’a toujours pas réglé ses problèmes avec son Histoire, notamment concernant la guerre d’Algérie.
Pour s’en rendre compte, il suffit de constater la vive polémique que cette interview a suscitée. Une véritable levée de boucliers, déclenchée par ceux qui continuent d’ignorer que l’action coloniale a méprisé le peuple algérien pendant près de 132 ans et qui semblent se donner bonne conscience afin d’éviter d’affronter les taches noires (ou rouges de sang) de l’histoire coloniale française en Algérie.
Dans une formidable hypocrisie collective, ils reprochent à M. Macron d’avoir simplement reconnu une vérité historique.
Ce dernier a pourtant le mérite d’être le premier responsable visant la magistrature suprême à tenir des propos aussi forts concernant le sujet de la colonisation, contraignant ainsi la France à assumer son passé colonial et à regarder son Histoire en face.
En mettant sur la table le délicat sujet du rôle criminel de la colonisation dans la campagne présidentielle, le candidat du mouvement « En marche » contraint les autres prétendants à la présidence à se positionner sur le sujet.
Ainsi, le candidat du PS, Benoit Hamon a émis l’hypothèse de présenter des « excuses » officielles s’il était élu président.
Le Parti Anti Sioniste salue les propos courageux d’Emmanuel Macron, qui a le mérite de pousser nos citoyens à prendre conscience du fait que l’« entreprise coloniale» est indéfendable.
Car effectivement, la colonisation est un crime, n’en déplaise à certains qui osent encore le nier.
Ses pratiques sont connues et largement documentées: Populations « indigènes » soumises au travail forcé, dispositions racistes et d’exception imposées aux colonisés, déportations, exécutions sommaires, massacres etc…
Ce projet colonial, loin du prétexte fallacieux d’apporter la civilisation occidentale à un peuple qui n’avait rien demandé, avait pour seul objectif l’enrichissement, en s’accaparant les ressources d’autrui.
Il est temps que notre pays soit capable d’assumer ce pan peu glorieux de son Histoire et que la France reconnaisse enfin le crime colonial.
Il ne s’agit pas de repentance ou de pleurnicheries, mais de grandeur et de noblesse.
Un ancien ministre israélien a déclaré, lors d’une rencontre avec une délégation saoudienne à Ramallah en juillet 2016, qu’il était désormais possible aux Israéliens de se rendre en Arabie saoudite et ce « beaucoup plus tôt qu’ils ne le pensent! »
Le rabbin Michael Melchior a déclaré que le jour où les Israéliens pourront se rendre en Arabie « arrivera, Inshallah, très bientôt ».
En juin 2015, Anwar Eshki, un ex-général saoudien et Gold, le directeur général du ministère des Affaires étrangères israélien, s’étaient déjà rencontrés, de manière officielle, à Washington, dans le cadre d’une réunion qui avait été largement médiatisée.
En avril 2016, Anwar Eshki, qui est un des plus proches conseillers du roi Salmane, avait déclaré dans une interview accordée à la chaîne Al-Jazeera, que l’Arabie saoudite serait disposée à ouvrir une ambassade en Israël si le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou acceptait l’initiative de paix arabe.
S’agit-il de signes d’une normalisation des relations entre l’Arabie saoudite et l’entité criminelle d’Israël ? Pourquoi ?
Nous avions déjà traité, précédemment, de ce sujet dans l’un de nos articles : http://ift.tt/1WZl4D3
Le journal, l’Orient Le Jour du 20 février 2017, rapporte les propos d’une allocution du Secrétaire Général du Hezbollah, Sayed H. Nasrallah, faite le 26/07/2016 dans laquelle il dit :
« Le jour où l’Arabie reconnaîtra Israël en tant qu’État, il s’agira d’un grand pas en faveur de ce dernier, sans aucune contrepartie pour les Palestiniens (…). Une normalisation saoudienne est gratuitement offerte à Israël, et cela sera la fin, car d’autres pays voudront faire de même… »
Et, de rajouter : « Nous serons bientôt témoins d’une catastrophe, si la voie vers une normalisation avec Israël est tracée. Car après l’Arabie saoudite, d’autres États voudront faire de même ».
Il a estimé que « tout le monde, toute personne, doit condamner cette situation qui ne sert que l’ennemi, lequel s’en prend aux Palestiniens et aux peuples de la région ».
Alors qu’Israël et l’Arabie Saoudite n’ont, apparemment, pas de relations diplomatiques officielles, ils partagent, cependant des intérêts sécuritaires communs particulièrement en ce qui concerne la République Islamique d’Iran.
Israël a longtemps considéré l’Iran comme une de ses principales menaces dans la région, quant à l’Arabie saoudite wahhabite, elle considère la nation chiite comme une rivale au sujet de sa soi-disant « suprématie » au Moyen-Orient.
Donc le souci majeur, voire la hantise de l’État hébreu criminel et du régime sioniste wahhabite, est et demeure l’Iran, devenu une force stratégique incontournable qu’il leur faut impérativement prendre en considération pour toute stratégie éventuelle dans la région.
Le Parti Anti Sioniste condamne fermement cette initiative des pays du Golfe à vouloir s’allier avec le pire ennemi des peuples arabes, musulmans, et des peuples du monde entier.
Nous considérons cette alliance comme une infâme et scandaleuse trahison que le saint Coran bannit. La sagesse et la raison la réprouvent également au vu du sombre passé de l’entité criminelle d’Israël, qui ne vit que pour semer le chaos, les génocides et la désolation partout où elle passe…
Série historique qui relate la vie du prince des croyants, l’Imam Ali fils d’Abi Talib (p), cousin et gendre du Prophète (pdl). L’histoire dans la série commence juste avant que l’Imam Ali ne soit Calife et elle finit par son martyr à Koufa.
Alors que sur la question du conflit israélo-palestinien, le principe de deux pays « vivant côte-à-côte en paix et en sécurité » a été défendu depuis un demi-siècle par tous les présidents américains, le président Donald Trump vient de rompre avec cette « solution à deux états ».
C’est ce qu’il a montré, mercredi 15 février dernier, au cours d’une conférence de presse avec le Premier ministre et criminel de guerre israélien Benyamin Netanyahou, en visite à Washington.
À cette occasion, le président Trump a pris ses distances publiquement par rapport à la solution des deux États, privilégiée jusqu’à présent par les administrations américaines précédentes.
En effet, c’est la première fois que l’éventualité d’un état unique est évoquée par les institutions états-uniennes, chose inenvisageable pour l’entité sioniste.
L’histoire nous a montré que cette entité criminelle ne voulait en aucun cas la paix et resterait toujours dans une logique de domination et d’extermination du peuple palestinien.
Cette proposition d’un état unique, si elle reste à définir, est la seule solution possible pour les Palestiniens, même si elle est à prendre avec des réserves.
En effet, cette position américaine arrive à la suite d’une réunion avec le criminel de guerre Netanyahou, et cette vision d’un seul état diffère probablement de celle du Parti Anti Sioniste.
Ce dernier, depuis sa création, a toujours affirmé que la solution à un état était la seule alternative possible.
Un état débarrassé du sionisme, et dans lequel juifs, chrétiens et musulmans, vivraient en paix, comme c’était le cas avant l’avènement du sionisme en Palestine.
Le Parti Anti Sioniste réaffirme donc sa position historique sur la question, qui préconise une solution « à un seul état », dans lequel vivraient en harmonie des citoyens de toutes confessions, bénéficiant tous des mêmes droits et devoirs.
PAS L’Info : National : Wikileaks publie des ordres de la CIA sur la campagne d’espionnage de l’élection présidentielle française de 2012 ; Les députés PS ont en fait passer une loi étendant le pouvoir des policiers International : Les Etats-Unis ont-il utilisé des armes à l’uranium appauvri en Syrie ? ; Le Hamas nomme son nouveau chef. Brèves : La Palestine à l’abandon ! ; Assad: la France est «responsable des tueries» en Syrie ; Venezuela : Maduro prévient Trump qu’il répondra à toute agression ; CETA : Macron seul candidat favorable Lien : http://ift.tt/1NqGloe Chaine Youtube du journal TV PAS L’info : https://www.youtube.com/user/PASLINFO Qu’est ce que PAS L’Info ? : « PAS L’Info ! » : Un Journal TV sur internet ! » « PAS L’Info ! » : Un Journal TV sur internet ! « PAS l’Info » est une émission hebdomadaire qui paraît tous les dimanches sur notre facebook ainsi que sur différents canaux alternatifs dont le site du Parti Anti Sioniste. Elle est ensuite reprise sur de nombreux sites, blogs et réseaux sociaux. Le but de cette émission est de reprendre l’actualité de la semaine pour informer le public sur des événements non traités par les...