Publié sur La technologie au service du sionisme
Mais savez vous que ces entreprises sont toutes liées à la CIA.
Pokémon GO
In-Q-Tel (http://ift.tt/2AVgyEf) est un fonds américain de capital investissement mis en place par la CIA en 1999. Pokémon GO a été créé par Nintendo et Niantic qui a été fondé par John Hanke, également fondateur de la compagnie Keyhole, Inc spécialisée dans la création de cartes géospatiales. La compagnie a été financée par In-Q-Tel.
Pokémon GO est un jeu basé sur le principe de la réalité augmentée et une fois installé, il a accès à la caméra, le microphone, le gyroscope et au GPS. Quand vous attrapez votre premier pokémon, l’application vous encourage a filmé votre pokémon sur tous les angles et a ainsi accès à tous les détails de votre appartement ainsi que ses coordonnées…
Voici une des règles d’utilisation (http://ift.tt/2af8NMB) qu’il faut accepter pour installer le jeu :
« Nous coopérons avec le gouvernement, les autorités compétentes ou des parties privées pour appliquer et respecter la loi. Nous pouvons divulguer toute information vous concernant (ou votre enfant autorisé) en notre possession ou sous notre contrôle au gouvernement, aux autorités compétentes ou aux parties privées dans le cas où, à notre seule discrétion, nous le penserions nécessaire ou approprié ».
Imaginez si la CIA veut avoir plus d’informations sur un endroit, il suffit de faire apparaître plein de pokémons à cet endroit. Le parti anti sioniste félicite l’Iran d’avoir interdit ce jeu dans son territoire, qui aurait pu servir à l’entité sioniste pour commettre le désordre (http://ift.tt/2bdGGuc)
Peter Thiel ex-patron de Paypal a investi 500.000 dollars dans Facebook bien avant qu’il ne devienne l’un des réseaux sociaux les plus populaires d’internet. Peter Thiel a des liens important avec le think tank néoconservateur Vanguard PAC via son président Rod Martin.
En mai 2005, Facebook lève 12,7 millions de dollars auprès du fonds d’investissement Accel Partners. Son président, James Breyer, accède alors au conseil d’administration de Facebook. James Breyer a siégé, entre autres, chez NVCA et BBN (à l’origine de l’ARPANET). Dans ces sociétés, on retrouve Gilman Louie et Anita Jones qui ont tous deux siégé au conseil d’In-Q-tel.
Voici un schéma pour mieux expliquer tout ça :
Dans les conditions générales d’utilisation de Facebook, on s’aperçoit que le réseau social se réserve le droit de communiquer nos données à des tiers « Nous pouvons partager vos informations avec des tiers, y compris des entreprises responsables avec lesquelles nous entretenons des relations« . De plus, Facebook indique clairement la possibilité de transférer les données à des agences gouvernementales : « cela peut inclure le partage d’informations avec d’autres sociétés, avocats, agents ou agences gouvernementales« .
Enfin, en utilisant Facebook, vous consentez à transférer vos données personnelles aux Etats-Unis : « En utilisant Facebook, vous consentez à ce que vos données personnelles soient transférées et traitées aux États-Unis. »
Quand on sait que Facebook compte presque 2 milliards d’utilisateurs et qu’il possède des compagnies comme Instagram et WhatsApp, ça en fait des données pour la CIA.
En novembre 2004 Google achète une compagnie spécialisé dans les cartes géospatiales Keyhole, Inc, oui la même compagnie du fondateur de Niantic créateur de Pokémon GO. Google transforme cette compagnie en Google Earth.
Keyhole, Inc a une base importante de clients : Les militaires US et les agences de renseignements. Et Google a continué à vendre les services de Keyhole, Inc au Pentagone et aux agences de renseignements.
Plus récemment, des chercheurs de Microsoft et de l’institut israélien de technologie ont mis au point un logiciel capable de prédire l’apparition d’une maladie ou d’un conflit en se fondant sur deux décennies d’articles de journaux et d’informations disponibles en ligne. C’est l’entreprise Recorded Future qui commercialise ce produit, elle a été partiellement financée par Google et la CIA.
Ça c’est la face visible, quand on connaît le lien entre Google et le sionisme (http://ift.tt/1QdmObV) on peut se demander si les données des autres services de Google ne sont pas utilisés à des fins moins avouables et surtout au service du sionisme. N’oublions pas que Android, un produit de Google est installé sur plus de 80% des smartphones dans le monde.
Le parti anti sioniste fait appel à votre vigilance quant aux données que vous fournissez à ces compagnies et surtout de faire attention aux jeux que vos enfants utilisent. Ne soyons pas un allié du sionisme par notre ignorance et notre négligence.
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