Tuesday, December 5, 2017

Industrie pharmaceutique : Ces médicaments qui tuent….

Publié sur Industrie pharmaceutique : Ces médicaments qui tuent….

Il semblerait que la voracité de l’industrie pharmaceutique ne connaisse pas de limites, et les escroqueries aux médicaments sont de plus en plus nombreuses.

Il serait grand temps pour les pouvoirs publics censés être au service du peuple de se pencher sur ce problème extrêmement grave, qui mérite une attention particulière.

Ainsi, la liste des médicaments dangereux est de plus en plus longue et il n’y a malheureusement que très peu de revues scientifiques qui se permettent de dénoncer cela.

Il faut dire que la plupart de ces journaux étant eux même financés par « Big Pharma », il devient extrêmement compliqué de critiquer ces sociétés pharmaceutiques censées produire des remèdes pour nous guérir, mais dont certains se révèlent être très nocifs pour la santé.

Conclusion, le silence est de mise en dépit des nombreux accidents, décès ou effets secondaires.

On apprend ainsi grâce à la revue « Prescrire » qu’en cette année 2017, 91 médicaments, dont 82 vendus en France sont déconseillés d’utilisation (à défaut d’être retirés du marché).

« La persistance des firmes à les commercialiser et l’inertie des agences du médicament qui tardent à les interdire totalement exposent les patients à des risques injustifiés », s’indigne la revue.

« Prescrire », dont les préconisations reposent sur des analyses réalisées au cours des années 2010 à 2016, cite en exemple des médicaments contre le rhume, des décongestionnants, comme la pseudoéphédrine, qui exposent à un risque de troubles cardiovasculaires graves voire mortels (poussées d’hypertension, AVC, troubles du rythme cardiaque).

Avant cela, d’autres études ponctuelles ayant peu été relayées ont fait état de ce que certains n’hésitent pas à traiter d’arnaque aux médicaments.

Ainsi, une étude de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) datée de 2012 affirmait que deux médicaments couramment utilisés en chimiothérapie pour le traitement des cancers pouvaient favoriser le développement des tumeurs cancéreuses !!!

Il s’agit du 5-fluorouracile et la gemcitabine, utilisés dans le traitement des cancers du côlon, du sein et du pancréas. Le principe est simple : plus vous utilisez ces médicaments, et plus votre tumeur est irriguée par les vaisseaux sanguins. Bien nourrie, elle grossit plus rapidement. Au lieu de supprimer ce médicament et en donner un deuxième au patient, pour compenser les effets négatifs du premier, les sociétés pharmaceutiques continuent de distribuer ce poison.

Autre invention des services commerciaux de l’industrie pharmaceutique afin de maximiser les profits, l’invention d’un nouveau genre de médicaments, qu’on prend « au cas où », pour retarder un processus clinique dont on ne connaît absolument pas l’échéance.

Une méthode appliquée par exemple à la maladie d’Alzheimer, pour laquelle il n’existe aucun remède. Ainsi, on préconise aux patients touchés, des médicaments très coûteux supposés ralentir l’évolution de la maladie et dont la plupart sont non seulement inefficaces mais peuvent aussi s’avérer dangereux à cause des effets secondaires qu’ils peuvent engendrer.

ll en est de même pour de nombreux autres produits dont l’efficacité n’est pas avérée et que les patients consommeront toute leur vie.

Autre technique pour permettre à « Big Pharma » de maximiser ses profits, la baisse des normes d’alerte.

 

En effet, quand les symptômes sont insuffisants ou inexistants, il suffit de fixer des normes biologiques d’alerte afin de créer des millions de patients prétendument en danger.

Ainsi, pour faire baisser le taux de mauvais cholestérol, les médecins prescriront sans doute une statine, un médicament qu’il faut prendre à vie, ce qui représente un avantage évident pour l’industrie pharmaceutique en termes de rentabilité. Quant à la baisse du taux de cholestérol, bien réelle après avoir avalé une pilule de statines, on s’aperçoit aujourd’hui qu’elle n’entraîne nullement la baisse du risque d’infarctus ni d’attaque cérébrale.

De nombreux scandales ont éclaté ces dernières années et l’un des plus emblématiques concerne la catastrophe de l’Avandia.

Ce médicament contre le diabète, dont les autorités de santé américaines chiffrèrent les dégâts sur le sol américain à 83 000 crises cardiaques et/ou décès et dont la dangerosité avait été minimisée par des « experts » qui étaient pour la plupart liés financièrement au laboratoire GSK (GlaxoSmithKline) qui commercialisait le remède.

GSK aurait ainsi volontairement bloqué une étude qui aurait pu révéler la toxicité du produit qui augmentait particulièrement le  » mauvais cholestérol « .

Après que des lanceurs d’alerte eurent médiatisé cela, une étude indépendante révéla que l’Avandia augmentait de presque de moitié le risque d’infarctus de ses utilisateurs.

En septembre 2010, l’Avandia est retiré du marché en Europe et en juillet 2012, la firme GSK acceptera de payer aux États-Unis la somme record de 3 milliards de dollars pour que s’éteignent des poursuites judiciaires en cours sur un certain nombre de ses médicaments, dont l’Avandia. Plus récemment, GSK fut encore condamné à verser 90 millions de dollars pour des procès  » Avandia « . Une goutte d’eau si l’on considère le chiffre d’affaires généré par Avandia pendant toute sa commercialisation.

En France, 210 000 malades prenaient de l’Avandia, mais aucun journaliste, politicien ou expert ne s’en fera jamais écho.

 

 

Le​ ​Parti​ ​Anti​ Sioniste​ ​appelle​ ​la​ ​population​ ​à​ ​la​ ​vigilance​ ​concernant​ ​sa​ ​santé,​ et à se méfier des mensonges de l’industrie pharmaceutique dont l’unique but est désormais de maximiser ses profits.

Celle-ci n’hésite plus à commercialiser des médicaments​ ​dangereux​, avec la complicité des responsables politiques dont beaucoup sont liés financièrement à ces industries.

Le conflit d’intérêts n’est plus un problème et les responsables des organismes officiels sensés nous protéger sont maintenant aux mains du puissant lobby pharmaceutique.

Un lobby qui est partie prenante du sionisme international, et dont les bénéfices gigantesques ne font que consolider la cause et les visées de cette idéologie néfaste. Rappelons, pour éviter les accusations de complotisme, que les actionnaires majoritaires des groupes pharmaceutiques sont essentiellement les grandes banques d’affaires internationales, qui ne se cachent pas d’être entièrement dévouées à la cause sioniste.

On​ ​rappelle​ ​aussi​ ​à​ ​la​ ​population​ ​que​ ​le​ ​meilleur​ ​moyen​ ​de​ ​rester​ ​en​ ​bonne​ ​santé​ ​passe​ ​par une​ ​bonne​ ​alimentation,​ ​un​ ​mode​ ​de​ ​vie​ ​sain​ ​et​ ​une​ ​activité​ ​sportive régulière.

 

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