Âge du Consentement sexuel à 13 ans : nouvelle attaque contre nos enfants

Publié sur Âge du Consentement sexuel à 13 ans : nouvelle attaque contre nos enfants

Triste époque où dans notre pays, avoir des rapports sexuels avec des enfants ne semble pas poser plus de problèmes que cela à notre Justice.

En effet, nous apprenions avec stupéfaction cette affaire révélée par un journaliste du journal « Le Parisien » le 11 novembre dernier, faisant état de l’acquittement d’un homme accusé de viol sur une fillette de 11 ans en 2009.

Les jurés de la cour d’assises de Seine-et-Marne, où l’homme, 30 ans aujourd’hui, comparaissait le 6 et le 7 novembre, ont estimé que les éléments constitutifs du viol, « la contrainte, la menace, la violence et la surprise, n’étaient pas établis ». Selon la cour, aucun de ces critères n’a été retenu pour permettre d’établir pénalement le viol, et de prononcer une condamnation.

Une décision qui a heureusement scandalisée l’opinion et suscité un vaste tollé, ce qui a obligé les médias à traiter ce sujet d’extrême importance, l’espace de deux ou trois jours.

Les faits se sont produits en août 2009 selon l’avocate de la jeune fille, aujourd’hui âgée de 20 ans. Elle s’était rendue dans un parc avec l’accusé, 22 ans à l’époque, qui l’avait auparavant abordée, alors qu’elle jouait avec sa cousine dans la cour d’un immeuble à Champs-sur-Marne (Seine-et-Marne). Ils avaient eu une relation sexuelle, consentie selon l’accusé. C’est en découvrant sa grossesse que la famille de la jeune fille avait eu connaissance des faits en 2010.

Ce verdict intervient après un cas similaire révélé fin septembre. Le parquet de Pontoise (Val-d’Oise) avait décidé de poursuivre un homme de 28 ans, impliqué dans une relation sexuelle avec une fillette de 11 ans, pour « atteinte sexuelle » (délit passible de cinq ans de prison) et non pour viol (passible de vingt ans, vu l’âge de la victime).

Suite à cette affaire, de nombreuses voix se sont élevées pour demander que soit défini un âge en dessous duquel un mineur serait présumé non consentant à un acte sexuel et qu’un rapport sexuel sera systématiquement considéré comme un viol par la loi.

En France, aucune loi ne fixe cet âge minimum, à l’inverse d’autres pays européens. Le Haut conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes propose de l’établir à 13 ans.

« Cela se jouera entre 13 et 15 ans », a affirmé la secrétaire d’État à l’Égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa interrogée par BFMTV, alors que Nicole Belloubet, ministre de la Justice, a indiqué que l’âge de 13 ans « pourrait être retenu ».

Concernant la récente décision de justice de la cour d’assises, la secrétaire d’État a répondu qu’« en tant que membre du gouvernement », elle ne pouvait « pas réagir à des décisions de justice. »… Devoir de réserve oblige.

Bien évidemment, il n’est pas ici question d’incriminer Marlène Schiappa qui n’est en rien responsable de cette situation aberrante qui voit la justice de notre pays considérer qu’avoir des relations sexuelles avec une fille de 11 ans ne soit pas considéré comme un viol pur et simple.

D’autant plus que, la secrétaire d’État a eu, dans un passé récent, des positions courageuses sur des sujets polémiques qui lui ont valu beaucoup de critiques de la part de l’establishment.

En effet, on se souvient que Marlène Schiappa avait vertement critiqué Manuel Valls, en 2014, sur sa vision de la laïcité, en affirmant que la loi de 2004 interdisant le port de signes religieux ostentatoires à l’école publique était « contraire à la loi de 1905 ».

Elle avait également apporté son soutien aux mères accompagnant les sorties scolaires qui portent le voile en estimant que refuser qu’elles y participent relevait « ni plus ni moins de l’islamophobie ».

Mais plus grave encore vis-à-vis du système pro-sioniste, lors de la guerre menée par l’entité sioniste criminelle sur la population de Gaza en 2014, elle avait fustigé les propos du Premier ministre de Manuel Valls sur l’antisémitisme et l’antisionisme.

Schiappa avait alors déclaré : « Non, cher Manuel Valls, les quartiers populaires ne sont pas antisémites ». Elle ajouta courageusement que « Présumer que la lutte pour la liberté du peuple palestinien ne pourrait qu’être de l’antisémitisme caché est un raccourci grossier. Ne peut-on pas lutter contre la politique d’un gouvernement sans être soupçonné de haïr l’ensemble d’un peuple ? ».

On se demande d’ailleurs comment, après avoir tenu de tels propos « blasphématoires », elle a pu être nommée en charge d’un secrétariat d’État.

Quoiqu’il en soit, malgré la dépravation des mœurs qui touche notre société, on se demande qui voudrait que sa fille de 13 ou 14 ans, soit considérée comme une femme apte à avoir des rapports sexuels ?

Comme si à 13 ans, une enfant d’aujourd’hui pouvait avoir la maturité nécessaire pour être consentantes pour des rapports sexuels. Une fille de 15 ans n’a pas le droit de se marier en France sans l’autorisation parentale, par contre elle a le droit d’avoir des rapports sexuels et donc de possibles grossesses. Cherchez l’erreur…

Vaccination à outrance, théorie du genre à l’école, éducation sexuelle dès la maternelle, consentement sexuel dès 13 ans… jusqu’où va-t-on aller avec nos enfants ? Sont-ils devenus de simples objets aux mains de manipulateurs sans principes ni scrupules, avides de sexe et d’argent ?

Quel est l’objectif derrière tout cela ? Est-ce que la notion d’enfance va disparaître ? Va-t-on bientôt mettre nos progénitures à l’usine dès leur plus jeune âge ?

Est-ce que la prochaine étape concernera la légalisation de la pédophilie ? Ou celle de l’inceste ? Étant donné la tournure que prennent les choses, il est sûr que nous n’en sommes vraiment plus si loin.

Le désir de liberté poussée à son paroxysme va-t-il pousser notre société à renier ses valeurs les plus fondamentales et les plus évidentes et continuer son processus de dégénérescence ?

Le Parti Anti Sioniste s’inquiète de ces attaques répétées contre nos enfants que l’on rabaisse au rang d’objets ou de consommateurs au lieu de préserver leur pureté et leur innocence.

Pourquoi s’atteler à détruire ce qu’il y a de plus sacré dans notre société ? 

Il est temps que nos concitoyens prennent conscience qu’en s’attaquant à la Famille, à la Femme, aux Enfants, et aux valeurs les plus fondamentales de notre société, ceux qui tirent les ficelles sont en train de détruire notre pays de l’intérieur, avec la complicité passive des responsables politiques inconscients de la gravité de cette situation.

N’ont-ils pas d’enfants ? Ne comprennent-ils pas l’enjeu ?

Au lieu de stigmatiser telle ou telle catégorie de la population afin de diviser pour régner, ils feraient mieux de prendre leur responsabilité et faire ce pourquoi ils ont été élus : défendre l’intérêt du peuple français !!!

 

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