Monday, July 31, 2017

Le terroriste franco-israélien, Elor Azaria, libéré

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Un tribunal militaire israélien a ordonné mardi 18 juillet dernier la libération du soldat franco-israélien Elor Azaria, qui avait été reconnu coupable d’avoir exécuté de sang-froid un jeune palestinien, à Hébron, l’année dernière, alors que celui-ci gisait à terre. Mardi 21 février dernier, après une parodie de procès qui avait duré plusieurs mois, le jeune soldat assassin avait été condamné à une simple peine de dix-huit mois de prison ferme assortis de dix-huit mois de prison avec sursis. On se souvient que ce dernier avait bénéficié d’un soutien populaire et politique massif, dans une entité coloniale où l’immense majorité de la population ne comprenait pas pourquoi la justice militaire demandait des comptes à ce « bon gars qui ne faisait, d’après eux, que son devoir ». Un devoir de meurtrier. Aujourd’hui, après avoir passé quelques mois en détention provisoire, il se retrouve libre, soit disant en résidence surveillée.   Le parti anti sioniste a déjà condamné à plusieurs reprises cette inhumanité caractérisant l’armée d’occupation sioniste qui se permet de tuer impunément, ainsi que ce verdict scandaleux. Par ailleurs, il est choquant de constater l’absence de réaction de la part des autorités ainsi que de la classe politique française face à...

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Le terroriste franco-israélien, Elor Azaria, libéré

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Un tribunal militaire israélien a ordonné mardi 18 juillet dernier la libération du soldat franco-israélien Elor Azaria, qui avait été reconnu coupable d’avoir exécuté de sang-froid un jeune palestinien, à Hébron, l’année dernière, alors que celui-ci gisait à terre.

Mardi 21 février dernier, après une parodie de procès qui avait duré plusieurs mois, le jeune soldat assassin avait été condamné à une simple peine de dix-huit mois de prison ferme assortis de dix-huit mois de prison avec sursis.

On se souvient que ce dernier avait bénéficié d’un soutien populaire et politique massif, dans une entité coloniale où l’immense majorité de la population ne comprenait pas pourquoi la justice militaire demandait des comptes à ce « bon gars qui ne faisait, d’après eux, que son devoir ». Un devoir de meurtrier.

Aujourd’hui, après avoir passé quelques mois en détention provisoire, il se retrouve libre, soit disant en résidence surveillée.

 

Le parti anti sioniste a déjà condamné à plusieurs reprises cette inhumanité caractérisant l’armée d’occupation sioniste qui se permet de tuer impunément, ainsi que ce verdict scandaleux.

Par ailleurs, il est choquant de constater l’absence de réaction de la part des autorités ainsi que de la classe politique française face à cette décision touchant un de nos concitoyens.

Le Parti Anti Sioniste appelle nos dirigeants à traiter le cas du terroriste franco-israélien Elor Azaria de la même manière dont sont traités les jeunes terroristes français partis faire le pseudo-djihad au Moyen-Orient dans les rangs de Daesh and Co.

Nous proposons donc à notre gouvernement de lui appliquer les mesures préconisées par la justice à l’encontre de ces terroristes, à savoir : Figeage S, placement en détention dans un centre de dé-radicalisation ou de « dé-sionisation », et déchéance de nationalité.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

 

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Sunday, July 30, 2017

Le Pardon

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L’Imam Hosseïn (ع) aurait dit : « Celui qui pardonne le mieux est celui qui pardonne alors qu’il a la supériorité. » Adara Al Bahiya, 29

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L’Iran sécurise son territoire face aux menaces américano-sionistes

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La République islamique d’Iran est bien décidée à préserver son espace aérien de toute intrusion ennemie.
Pour cela, elle compte sur les redoutables et ultraperformants systèmes russes de défense antimissiles S-300, qu’elle a reçus en septembre 2016 et qui sont désormais déployés à des endroits stratégiques de son territoire.
Ainsi, ces « batteries de missiles S-300 sont prêtes à tirer sur tout objet volant qui violerait le ciel iranien », a annoncé le commandant en chef de la base aérienne « Khatam al-Anbiya », le Général Ismaïli au début du mois de juillet.

Le site de renseignement britannique « Jane’s », se référant à des images satellites, vient de révéler l’emplacement de trois systèmes anti-aériens S-300 sur le territoire iranien.

Deux d’entre eux sont déployés dans la région de Téhéran, le troisième dans la ville portuaire de Bouchehr, quant au quatrième et dernier système, son emplacement semble ne pas avoir été localisé par les satellites occidentaux.
À l’aide de l’imagerie satellitaire Airbus Defense and Space, « Jane’s » a déjà confirmé que l’Iran avait reçu quatre batteries antimissiles S-300 PMU2 de la Russie en 2016, chacune constituée d’un radar d’acquisition ciblé 96L6E, d’un radar d’engagement ciblé 30N6E2 et de quatre lanceurs remorqués 5P85TE2.
On se souvient qu’en 2009, la Russie et l’Iran avaient conclu un accord portant sur la livraison de S-300 pour un montant de 900 millions de dollars (817 millions d’euros). Mais le 22 septembre 2010, les autorités russes ont annoncé leur décision de ne pas livrer les S-300 à l’Iran du fait d’une résolution onusienne interdisant cette livraison.
Cinq ans plus tard, après la conclusion de l’accord sur le nucléaire entre la République Islamique et les puissances occidentales, les sanctions interdisant la vente de ces systèmes de défense avaient été levées et Vladimir Poutine avait alors autorisé la fourniture des S-300 à l’Iran.
Aujourd’hui, le système basé à Bouchehr permettra de repérer des cibles presque partout dans le nord du Golfe persique et de surveiller le trafic aérien dans les territoires irakien, koweïtien et saoudien.

Le Parti Anti Sioniste félicite la République Islamique d’Iran qui œuvre pour l’inviolabilité de son territoire face aux menaces de l’Empire américano-sioniste.
Nul ne doute que ces mesures de défense mettent en rage l’entité sioniste criminelle qui voit ainsi s’éloigner ses rêves de destruction du fer de lance de l’Axe de la Résistance face à son système oppressif injuste et inhumain.
Désormais, les puissances de l’Empire occidentalo-sioniste, ainsi que leurs vassaux saoudiens, réfléchiront à deux fois avant d’oser attaquer le territoire iranien.

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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Saturday, July 29, 2017

Sayed Nasrallah rend un hommage émouvant à la Résistance 26/07/2017

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Le Secrétaire Général du Hezbollah, Sayed Hassan Nasrallah, rend dans ce discours, un hommage appuyé et émouvant aux combattants de la Résistance, qu’il estime être les dignes héritiers des Prophètes et des Imams, épris de justice et de dignité.

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La Tunisie à l’unisson contre toute normalisation avec Israël

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Alors que l’entité sioniste tente par tous les moyens d’ôter le soutien à la cause palestinienne du cœur des populations arabes et musulmanes, le peuple tunisien, ainsi que son gouvernement, viennent d’apporter la preuve que cette noble cause est ancrée dans la conscience collective de ce pays et de bien d’autres.

En effet, suite à la venue prochaine de l’humoriste franco-tunisien Michel Boujenah dans le cadre du festival international de Carthage au début du mois de juillet, une vive polémique a secoué la Tunisie, dont la majeure partie de la population s’oppose à la présence de l’artiste en raison de ses sympathies sionistes et pro-israéliennes.

Ainsi, les citoyens tunisiens sont scandalisés que ce dernier, qui soutient notoirement les criminels colons sionistes, massacreurs de leurs frères palestiniens, ose venir comme si de rien n’était se produire en spectacle à Tunis.

Forcé d’intervenir, le gouvernement tunisien a appelé au calme en rappelant le « soutien inconditionnel » de la Tunisie à la cause palestinienne. Et ce, à la veille de la venue du Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne, à Tunis le 6 juillet.

Depuis la révolution tunisienne surtout, les langues se délient et les voix s’élèvent d’avantage contre Israël et le sionisme.

Plusieurs affaires ont ainsi marqué l’histoire récente tunisienne à ce sujet, dont le refus d’accueillir en novembre 2014 sur le sol national le philosophe ultra-sioniste BHL, dont la chemise blanche immaculée ne saurait faire oublier le sang du peuple libyen qui tache ses mains, ou plus récemment la censure du film américain « Wonder Woman », dont l’actrice principale israélienne a affiché un soutien enthousiaste à l’armée d’occupation sioniste lors des massacres de Gaza en 2014.

« La Tunisie soutient toujours la cause palestinienne», a précisé le chef de l’Etat Beji Caid Essebsi lors d’une conférence de presse conjointe avec le président palestinien Mahmoud Abbas le 6 juillet au palais de Carthage.

« La Tunisie suit avec grand intérêt l’évolution de la situation en Palestine qui progresse à pas sûrs, même s’ils sont lents, malgré la politique du leurre et du fait accompli de l’occupation israélienne», a-t-il déploré.

C’est la première fois que le président tunisien prend position de façon aussi détaillée sur ce dossier, dans une Tunisie connue pour avoir joué un rôle historique important dans ce conflit, avec l’accueil notamment de l’OLP en 1982, du temps où Essebsi était ministre des Affaires étrangères.

« La normalisation avec l’État sioniste ne concerne pas la Tunisie », a souligné par ailleurs le président tunisien.

 

Le Parti Anti Sioniste salue cette prise de position claire et nette du gouvernement tunisien contre toute normalisation avec l’entité sioniste criminelle et en faveur du peuple opprimé de Palestine occupée.

Une décision noble et juste, en parfaite adéquation avec l’opinion publique, et dont devrait s’inspirer les dirigeants arabes soumis à Tel-Aviv comme ceux de l’Arabie saoudite ou du Bahreïn.

Une décision également courageuse quand on connait le travail de propagande et de pression que fait subir le lobby sioniste sur les dirigeants arabes.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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NO COMMENT !

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Des centaines de Marocains manifestent contre le régime sioniste

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Friday, July 28, 2017

Sayed Nasrallah : Les conséquences de la victoire de Mossoul

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Le secrétaire du Hezbollah, Seyed Hassan Nasrallah félicite chaleureusement le peuple irakien et surtout la fatwa du savant religieux Seyed Ali Housseïn Sistani, et explique l’importance de cette fatwa et les résultats qu’elle a provoqué pour l’Irak et tous les pays de la région.

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Le Saviez-Vous ? : Une armée désarmée.

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Le saviez vous du 4 févr 2013 : Une armée désarmée !

« Le pire de tous les despotismes, c’est le gouvernement militaire. » (Robespierre)

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Sayed Khamanei sur la cause palestinienne

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Discours de Sayed Khamenei lors de la 6ème édition de la conférence internationale pour le soutien de l’Intifafa palestinienne, à Téhéran, Iran.

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Thursday, July 27, 2017

LES DESSOUS DE L’AFFAIRE DU GÉNÉRAL DE VILLIERS

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Après avoir multiplié les gestes à l’égard de l’armée à la fois durant sa campagne et à la suite de son élection, Macron a rompu le contrat de confiance établi avec les militaires.

Poussé à la démission avec autoritarisme par le Président de la République, le chef d’état Major des armées, le Général Pierre De Villiers, a aussitôt été remplacé par le Général Lecointre.

Son départ est dû à un désaccord concernant une énième restriction budgétaire à hauteur de 850 millions d’euros. Cet événement est en réalité l’expression d’un profond malaise vécu au sein de l’armée, qui voit ses moyens considérablement diminuer à coup de coupes budgétaires depuis 25 ans.

 

Pierre de Villiers, un chef d’Etat Major “indigne” ?

 

“Je considère ne plus être en mesure d’assurer la pérennité du modèle d’armée auquel je crois pour garantir la protection de la France et des Français”.

Ce sont sur ces mots que le Général a décidé de mettre un terme à sa fonction. Il a ete humilié et recadré publiquement quelques jours plus tôt par Emmanuel Macron lors du traditionnel discours aux armées, le 13 juillet à l’Hôtel de Brienne, pour avoir mis de façon “indigne” une polémique budgétaire sur la “place publique”.

 

En réalité ses déclarations ont été faites à huis clos devant des parlementaires à la commission de la défense de l’assemblée nationale. Certes il a exprimé certains propos en des termes crus, mais pour le reste, “Pierre de Villiers est parfaitement dans son rôle lorsqu’il donne son avis technique, avec des chiffres, sur des mesures qui impactent ses soldats”, défend le général Vincent Desportes.

 

D’ailleurs, un article du Code de la Défense (R 3121-2) stipule que : “sous l’autorité du ministre de la défense, le chef d’état-major des armées : – est notamment responsable « de l’expression du besoin en matière de ressources humaines civiles et militaires des armées et des organismes interarmées », il « exprime le besoin en matière d’infrastructure interarmées et des armées et en vérifie la satisfaction ». À cette fin, le Général De Villiers avait dit lors de la Commission que :  “le grand écart entre les objectifs assignés à nos forces et les moyens alloués n’est plus tenable”.

 

Une crise institutionnelle inédite sous la 5ème République

 

Cet événement est le marqueur d’une véritable crise institutionnelle. Attribuer un carton rouge à un officier supérieur pour s’être exprimé librement dans l’exercice de sa fonction devant une commission parlementaire, c’est porter atteinte à la séparation des pouvoirs, c’est affaiblir, neutraliser le pouvoir du parlement, mais c’est aussi une sorte de mise en garde lancée à son successeur et à quiconque oserait s’aventurer sur cette voie : “Si quelque chose oppose le chef d’état-major des armées au président de la République, le chef d’état-major des armées change. » A-t-il asséné durant la polémique.

 

Emmanuel Macron renie ses engagements de campagne : un Président “indigne” ?

 

Entre Macron-candidat et Macron-Président, l’écart s’est creusé. Les engagements pris durant la campagne sur le budget de la défense ne sont d’ores et déjà pas respectés. Il avait déclaré : “je ne conçois pas l’action de l’État dans un tel contexte international sans une défense forte. Il faut donner à la France les moyens d’une autonomie stratégique accrue. (…) Nous devons augmenter notre effort de défense.“ Cette coupe budgétaire est donc une douche froide. Cependant, suite à la démission du Général, et aux critiques qui ont fusé de toute part, Macron a arrondi les angles en promettant que « l’effort de défense sera porté à 34,2 milliards d’euros en 2018 ». « Cette augmentation est inédite. (…) Aucun budget autre que celui des armées ne sera augmenté » en 2018, a-t-il déclaré.

 

Les dessous du malaise au sein de l’armée ?

 

Cette volonté de réduire les moyens de notre armée dans une période aussi critique (terrorisme, multiplication des champs d’interventions au Moyen-Orient, en Afrique) n’est ni cohérente, ni innocente. Elle n’est pas dans l’intérêt des Français. Elle se veut répondre aux attentes des barons de l’ultra libéralisme et de la mondialisation. Ces hommes de l’ombre qui tirent les ficelles du contexte géopolitique sur l’ensemble du globe.

 

Il y a près d’un an, nous avions mis en lumière ce glissement stratégique vers une France affaiblie, une France de plus en plus désarmée, dont l’indépendance militaire à été bradée en faveur des État-Unis et de l’Otan (article “Destruction de l’armée française en faveur des États-Unis et de l’OTAN »).

 

Régis Chamagne, anciennement colonel de l’armée de l’air, fit des déclarations édifiantes sur cette question sur le média libre Meta TV.

Ce qui ressort de son discours c’est que « le but des EU est d’asservir les nations européennes, y compris la France ». Or, pour asservir un pays, il faut détruire l’armée, corps défendant de la nation, car « L’armée est à la nation ce que le système immunitaire est au corps », disait-il très justement. Il ajouta concernant l’intégration des pays au sein de l’Otan :

« La stratégie des EU consistait donc à faire croire aux nations européennes que seules, isolées, elles sont incapables de se défendre contre une menace potentielle ».

Les EU cherche donc à fragiliser tout ce qui a trait à la souveraineté militaire des nations européennes, en transformant leurs infrastructures de défense nationale.
Il fut un temps, le temps du Général de Gaulles, la France était éclairée et autonome sur la question de la défense nationale. Dès la fin des années 50, elle avait mis en place une politique industrielle de défense orientée vers la recherche de l’autonomie stratégique et technologique. Celle-ci s’est structurée autour de grands projets et s’est appuyée sur de grands groupes étatiques. La France était autonome en termes de production d’armement, de logistique, etc.

Depuis les années 90, notre autonomie a été peu à peu détruite en faveur de l’hégémonie américano-sioniste.

C’est toute l’infrastructure de la défense qui a subi de profonds changements, avec des privatisations successives d’entreprises françaises d’armement, réduction des effectifs de militaires en fonction, suppression du service national, réduction des budgets de la défense d’année en année, non renouvellement d’un armement vieillissant mais dont l’entretien coûte extrêmement cher. Cette spirale descendante visait principalement à favoriser l’intégration de la France au sein de l’OTAN et sa soumission.

 

Tout comme ses prédécesseurs, Chirac, Sarkozy et Hollande, notre President, Emmanuel Macron, s’aligne sur la politique de Washington, en marche vers le Nouvel Ordre Mondial. Sur l’échiquier militaire la France n’y occupe et n’y occupera pas une place de choix. Elle ne doit être reléguée qu’au rang de simple vassal exécutant les ordres des États-Unis et de son bras armé l’Otan. C’est déjà le cas au Moyen Orient. Et ça l’est de plus en plus en Afrique, ou la plupart des interventions nécessitent de faire appel à des forces étrangères.

 

N’est pas Charles de Gaulle qui veut… mais l’on doit tout de même saluer l’audace du Général Pierre De Villiers qui a  eu un sursaut patriotique. L’histoire se souviendra de lui comme étant l’homme qui a claqué la porte d’un président d’exception, pur produit du système mondialiste qui progresse sur l’implosion de la France.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

 

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Wednesday, July 26, 2017

Jérusalem occupée : L’entité sioniste tente de prendre le contrôle de la mosquée sacrée

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La Palestine occupée revient sur le devant de la scène depuis quelques jours, et semble se trouver au bord d’une troisième « intifada » populaire.

Ce qui a mis le feu aux poudres est la décision des forces d’occupation sionistes d’installer des détecteurs de métaux et des portiques de sécurité aux entrées de l’esplanade des mosquées – qui abrite la mosquée Al-Aqsa et le dôme du Rocher – à Jérusalem occupée.

Une décision qui trouve son prétexte dans une opération menée par la « Résistance » le 14 juillet dernier, et qui s’est soldée par la mort de deux policiers de l’occupation aux abords de l’esplanade.

Pour protester contre cette décision prise le 16 juillet dernier, toute la semaine dernière, les musulmans de Jérusalem ont fait le choix de prier à l’extérieur de la vieille ville, pacifiquement, ce qui a provoqué l’ire des autorités sionistes qui ont répondu comme à l’accoutumée par la violence et la répression armée. Ainsi, depuis plusieurs jours, les abords de l’esplanade sont le théâtre de violents affrontements entre musulmans palestiniens et forces d’occupations, avec leur lot de victimes et de souffrance.

Le point culminant de cette violence a été atteint samedi dernier 22 juillet, quand les forces israéliennes et les colons armés ont tué trois jeunes hommes palestiniens et blessé plus de 450 autres, dont certains très grièvement, alors que la veille on dénombrait deux martyrs palestiniens assassinés par les sionistes, lors de heurts survenus après que l’entité sioniste criminelle ait bloqué l’accès de l’esplanade des Mosquées aux musulmans de moins de 50 ans.

En riposte à cette répression féroce, trois colons israéliens d’une même famille ont été éliminés vendredi soir dernier par un Palestinien dans la colonie de Halamish en Cisjordanie occupée.

Cette flambée de violence semble avoir surpris le régime criminel de Tel-Aviv qui ne s’attendait pas à une réaction aussi forte des palestiniens, unis et galvanisés par la défense de la cause sacrée d’al-Aqsa.

Du coup, le gouvernement colonial israélien a décidé de retirer ce lundi 25 juillet, les détecteurs de métaux installés, de peur d’une aggravation majeure d’une situation déjà très critique.

Le Cabinet de sécurité israélien s’était réuni une première fois dimanche soir dernier à la demande du Premier ministre et criminel de guerre Benyamin Netanyahou, pour tenter de trouver un moyen d’apaiser les tensions. Lors de ce conclave, les ministres avaient pris la décision de maintenir les détecteurs de métaux mis en place aux entrées du site mais le ministre israélien de la Sécurité publique Gilad Erdan avait de son côté émis l’hypothèse du retrait des portiques à condition qu’une solution de rechange soit trouvée, preuve qu’on s’inquiétait réellement de cette forte mobilisation palestinienne, qui pourrait déboucher sur un mouvement encore plus massif et dangereux pour l’entité criminelle.

Face à cette mobilisation populaire qui allait crescendo, le régime sioniste a donc plié et retiré ses mesures, que certains pensent être un ballon d’essai pour tester les limites des musulmans de Palestine occupée et d’ailleurs, face à une éventuelle prise de contrôle total d’al-Aqsa.

Cependant, les autorités musulmanes à Jérusalem ont demandé aux fidèles de continuer à boycotter l’esplanade des Mosquées malgré la décision d’Israël de retirer ses détecteurs, faisant écho aux appels à la mobilisation lancées par les forces de la Résistance palestinienne ainsi que des différentes autorités religieuses.

Ainsi, Youssef Mkhaimar, responsable des « mourabitoune Al-Aqsa » (les sentinelles en arabe), ce groupe de musulmans qui a pour mission de garder et veiller sur l’esplanade des mosquées a rappelé que «les récentes mesures hostiles prises par les autorités de l’occupation constituent un motif pour faire exploser la fureur de notre peuple contre les politiques expansionnistes et racistes de l’ennemi», et affirmé qu’il fallait « unifier les positions palestiniennes face aux mesures de l’occupant et concentrer les efforts sur le renforcement de la résistance des habitants d’Al-Qods. «Nous éprouvons aussi le besoin de rétablir la nature de la lutte du peuple palestinien, aspirant à la libération du territoire dans une lutte ouverte et globale contre l’ennemi tout au long du territoire», a-t-il expliqué.

Par ailleurs, les groupes de la Résistance palestinienne (Qassam, brigades de Qods et Toufan) ont menacé dans un communiqué, émis vendredi 21 juillet, d’une réponse écrasante et sans précédente en cas du maintien de portique de sécurité à l’entrée de l’esplanade des Mosquées, promettant de répondre au régime de Tel-Aviv avec « un poing de fer ».

 

Le communiqué appelle également le monde musulman (l’Ummah Islamique), à honorer ses engagements avant qu’une catastrophe ne se produise et n’embrase toute la région avant de se dire étonnés de l’inaction et du mutisme des régimes arabo-musulmans face à cette situation.

En effet, ces derniers ne semblent guère concernés par ce qui se passe actuellement ni conscient de la gravité des choses. Nous savions que la cause palestinienne était passé au second plan parmi les préoccupations des gouvernements arabes, mais il s’agit aujourd’hui de la défense d’un lieu sacré de l’Islam, qui devrait mobiliser l’ensemble du monde musulman.

Cependant, la Ligue Arabe a tout de même émis les habituelles protestations verbales de rigueur, à travers la voix de son secrétaire général Ahmed Aboul Gheit, qui a indiqué dimanche que les autorités d’occupation israéliennes «jouaient avec le feu» en perpétrant des violences persistantes sur l’esplanade des Mosquées. «El-Qods est une ligne rouge. Aucun arabe ni musulman n’acceptera qu’on porte atteinte» à ses lieux saints, a averti Aboul Gheit dans un communiqué, en dénonçant également «l’aventurisme» du régime sioniste qui veut provoquer une «grave crise avec le monde arabe et musulman». Espérons que cette fois-ci ces protestations seront suivies d’actes concrets et ne se cantonneront pas à un rôle de simples incantations inoffensives.

Au point de vue international les réactions sont comme d’habitude timides contre l’entité criminelle avec qui l’on prend des pincettes, en se contentant de l’appeler à « la mesure » dans sa répression.

Ainsi, le Secrétaire Général de l’ONU, Antonio Guterres, s’est contenté de « déplorer » la mort des trois Palestiniens assassinés par le régime sioniste, pendant que les représentants du Quartette pour le Proche-Orient ont appelé samedi à une « retenue maximale » de toutes les parties, alors qu’une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU, convoquée à la demande de la France, de la Suède et de l’Egypte s’est déroulée lundi 24 juillet, à l’issue de laquelle aucune condamnation des violences du régime sioniste n’a été publié, comme il fallait s’y attendre ?

Concernant la France, vendredi dernier, le ministère des Affaires étrangères s’est dit « préoccupé », dans un communiqué, par le « ravivement des tensions » autour de l’Esplanade des Mosquées, appelant également « l’ensemble des parties à s’abstenir de tout acte ou déclaration de nature à aggraver les tensions et à œuvrer à l’apaisement ».

Le communiqué ajoute également que « toute remise en cause du statu quo est porteuse de risques de déstabilisation », une précision loin d’être anodine à l’heure où beaucoup voient dans la mise en place de ces portiques une véritable violation de ce statu quo et une volonté de prise de contrôle de l’esplanade de la part des autorités coloniales israéliennes.

Rappelons que ce « statu quo », signé en 1967, régit la gestion de l’esplanade des mosquées. Les musulmans sont ainsi autorisés à y pénétrer à tout instant, tandis que les juifs peuvent y pénétrer à certaines heures, mais sans y prier. Le « statu quo » fait de la Jordanie, signataire d’un traité de paix avec l’entité sioniste, le gardien de l’esplanade. Le site est géré par le Waqf, une fondation islamique sous contrôle jordanien, mais c’est la police israélienne qui en contrôle les accès.

 

Le Parti Anti Sioniste réaffirme sont soutient au combat du peuple palestinien sous toutes ses formes et condamne les nouvelles mesures de répression du régime d’occupation à l’encontre des visiteurs de l’esplanade des mosquées, lieu sacré pour tous les musulmans.

Ces détecteurs de métaux sont clairement une tentative délibérée d’empêcher les Palestiniens d’accéder à leurs lieux de culte, ainsi qu’un prétexte pour poursuivre l’expulsion des Palestiniens de leurs terres.

L’un des objectifs principaux de ce qui se déroule actuellement est aussi de permettre aux groupes religieux sionistes de prendre d’assaut la mosquée Al-Aqsa, après l’avoir vidé des fidèles, afin de reconstruire sur ses ruines, le troisième temple.

Le Parti Anti Sioniste appelle également les peuples arabes et islamiques à soutenir la cause d’Al-Qods occupée et la lutte du peuple palestinien, en exerçant des pressions fortes sur leurs dirigeants qui ne réagissent pas face aux dangers qui menace la mosquée sainte, et dont l’action se limite à des discours non suivis d’effet et inefficaces contre les exactions sionistes qui se multiplient en toute impunité.

Il est impératif de rendre à la question palestinienne la centralité qui doit être la sienne sur la liste des priorités du monde arabo-musulman, et appuyer concrètement le peuple palestinien dans sa lutte contre l’occupant, qui nous concerne tous.

Il est désormais temps de répondre à l’appel d’Al-Aqsa et de la libérer du joug de l’occupation sioniste, ainsi que toute la terre de Palestine.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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Sunday, July 23, 2017

Le lieutenant de Dieu

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"Celui qui ordonne le bien et interdit le mal est le Lieutenant (vicaire) de Dieu."

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L’armée américaine pénètre sur le sol syrien par la frontière irakienne

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Ce ne sont pas moins de 150 véhicules blindés américains, arrivant d’Irak, qui sont entrés en Syrie en traversant Fichkhabour (passage frontalier entre les deux pays).

Ces véhicules étaient accompagnés de 5 hélicoptères de type « Apache » et de voitures civiles. Toutefois leur destination n’a pas été révélée, a indiqué la télévision libanaise al-Mayadeen .
Selon les propos tenus le 12 juillet dernier par un porte-parole de l’armée américaine :

« Des conseillers militaires américains opèrent au cœur de la ville de Raqqa, dernier bastion du groupe wahhabite terroriste de Daesh ».

Exécutant une mission bien précise, les soldats américains et les membres des forces spéciales « conseillent et accompagnent » les combattants des soi-disant « Forces démocratiques syriennes » (FDS, anti-djihadistes), a indiqué le colonel Ryan Dillon, et ajoutant « qu’ils ne combattaient pas directement, mais coordonnaient les frappes aériennes », d’après la chaîne de télévision RT.
Faisant remarquer que ces soldats étaient plus proches des combats que les forces américaines qui venaient en aide à l’armée irakienne à Mossoul, Ryan Dillon a expliqué : « Ils sont bien plus exposés au contact avec l’ennemi qu’en Irak ». Puis expliquant que « l’EI utilise de plus en plus de drones chargés d’explosifs, une tactique qu’ils ont également employée à Mossoul ». « Depuis une semaine ou deux, ça a augmenté à mesure que nous avons continué à pénétrer au cœur du centre-ville de Raqqa ».
Ceci étant dit, Hassan Hanizadeh, expert iranien des questions internationales, présage que dans quelques semaines, les Américains intensifieront leurs pressions, comme à l’accoutumée, sur le Premier ministre irakien Haider al-Abadi. En effet, Washington sollicite de sa part la « dissolution des Hachd al-Chaabi » (Unités de mobilisation populaire, qui sont une coalition paramilitaire de milices en majorité chiites, formées en 2014 pendant la deuxième guerre civile irakienne), afin de faciliter le déploiement définitif des forces américaines sur les frontières irakiennes avec la Syrie et la Jordanie.
La libération de Mossoul est en soi une grande victoire pour la Résistance, qui permet de consolider la sécurisation définitive de la frontière syro-irakienne dans le nord-ouest de l’Irak.
« Le QG Bagdad-Damas a une nette longueur d’avance par rapport aux Américains dans la lutte contre Daesh, d’où les efforts intenses de ces derniers jours aux États-Unis pour changer de tactique et « recaser » de nouveaux « pions », déclare Hanizadeh.

Il est clair que l’un des buts primordiaux pour les États-Unis est la protection de l’entité sioniste d’Israël.

Pour ce faire, Washington met tout en œuvre pour renforcer la coalition qu’ils ont formée entre Israël et la Jordanie d’une part et l’Arabie saoudite de l’autre. L’objectif est de mettre en place une « ceinture sécuritaire » qui s’étendrait de Quneitra à Deraa dans le Sud syrien, afin de sécuriser l’entité sioniste.

En ce qui concerne la rencontre au sommet du G20 des présidents russe et américain, Hassan Hanizadeh met en évidence « l’entente des deux parties sur le maintien d’Assad au pouvoir, signifiant que dans l’état actuel des choses, le président syrien ne présenterait plus aucune menace pour Israël ». Et d’ajouter :

« Le nouveau jeu des Américains consisterait à armer et à renforcer les terroristes qaïdistes d’ « Al-Nosra » et à en faire des « supplétifs » de Daesh. Une fois Al-Nosra renforcé, les Américains projetteraient de l’implanter dans le Golan occupé syrien, façon de contrer la montée en puissance du Hezbollah ».

Le Parti Anti Sioniste reste méfiant sur le fait que des soldats américains foulent le sol syrien, en toute illégalité selon le droit international. Ceci n’augure rien de bon.

Les Etats-Unis montrent également par leur présence qu’ils ne « lâcheront » pas aussi facilement le contrôle de la Syrie, qu’ils croient détenir, malgré la force héroïque de l’armée syrienne qui nettoie le pays des envahisseurs sanguinaires de Daesh & Co.
Nous interpellons le gouvernement syrien afin qu’il demeure sur ses gardes et surveille de plus près la présence sur son sol de ces soldats américains dont les intentions ne sont certainement pas très nobles.
Nous encourageons également le gouvernement et l’armée syrienne à rester vigilants et à ne pas baisser la garde, car tant que la Syrie n’est pas débarrassée de ces monstres de Daesh & Co, le peuple syrien ne sera pas en sécurité et ne pourra retrouver la paix.
Nous sommes toutefois confiants quant à la capacité de l’armée loyaliste syrienne et de ses alliés de l’Axe de la Résistance à faire face aux complots américano-sionistes.
Notre soutien envers le peuple syrien reste total et nous espérons que dans les jours, les semaines ou les mois à venir, il libérera cette région du Cham de la souillure du terrorisme et de l’impérialo-sionisme qui se cache derrière !

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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Saturday, July 22, 2017

NO COMMENT !

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Le Parti Anti Sioniste condamne cette tentative d’amalgame entre l’antisionisme,qui signifie le refus du système colonial israélien et son lot d’oppression et de crimes, et l’Antisémitisme, qui est une idéologie raciste à l’encontre des juifs et que nous condamnons.

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Israël méfiante envers la Russie

Publié sur Israël méfiante envers la Russie

D’après l’édition du vendredi 7 juillet dernier du journal israélien « Haaretz », l’entité sioniste criminelle a clairement signifié à son allié américain qu’elle s’opposait fermement à toute présence russe dans une zone de sécurité qui serait établie à la frontière israélo-syrienne.

Selon un haut responsable israélien, la Russie aurait proposé que son armée surveille le sud de la Syrie, rapporte Haaretz. Mais Israël refuse catégoriquement cette idée et demande la présence des Américains pour faire respecter le cessez-le-feu dans cette région.

Cet article est paru le jour de l’annonce conjointe américano-russe sur l’établissement d’un cessez-le-feu à partir du dimanche 9 juillet dans le sud de la Syrie.

En effet, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov avait annoncé à Hambourg, en marge du sommet du G20, qu’à Amman, en Jordanie, « des experts russes, américains et jordaniens s’étaient mis d’accord sur un mémorandum pour la création d’une zone de désescalade dans les provinces de Deraa, Quneitra et Soueida ».

Dans un premier temps, « la sécurité autour de cette zone sera assurée par des forces et moyens de la police militaire russe en coordination avec les Jordaniens et les Américains », avait précisé Lavrov.

Son homologue américain Rex Tillerson avait également salué cet accord en ces termes : « Il s’agit d’une première indication montrant que les Etats-Unis et la Russie sont capables de travailler de concert sur la Syrie ».

On se souvient que la Russie et l’Iran, alliés de Damas, ainsi que la Turquie, avaient adopté en mai le principe de la création de quatre zones sécurisées pour instaurer une trêve durable, dans le cadre de négociations parallèles à celles parrainées par l’ONU.

L’une de ces zones se trouve dans le sud du pays, les trois autres dans les régions d’Idlib (nord-ouest), de Homs (centre) et dans l’enclave de la Ghouta orientale (banlieue est de Damas).

Moscou estimait que cette « zone de désescalade » dans le sud du pays ne pouvait être mise en place qu’avec l’accord des USA et de la Jordanie, pays frontalier de la Syrie. Ce qui est désormais chose faite.

La présence de soldats américains s’expliquerait donc par les appréhensions israéliennes quant à la présence des soldats russes dans cette zone proche de ses frontières, du fait de leur proximité avec l’Axe de la résistance. «Israël préférerait que le cessez-le-feu dans le sud de la Syrie soit assuré par les troupes américaines», poursuit ainsi le journal Haaretz en référence à cette crainte sioniste.

 

Le Parti Anti Sioniste constate une nouvelle fois que malgré son assurance de façade, l’entité criminelle israélienne est à telle point effrayée par les forces de l’Axe de la Résistance qu’elle refuse même la présence de l’armée russe à proximité de ses frontières. Cette paranoïa démontre la fragilité et la couardise de son armée, qui n’a ni les moyens, ni le courage d’affronter des soldats aguerris et déterminés, comme ceux du Hezbollah libanais ou des « gardiens de la révolution » iranienne.

Une armée tout juste bonne à exterminer des populations civiles et qui ne tiendrait pas quelques jours sans le soutien des soldats américains dont elle réclame aujourd’hui la protection.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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Thursday, July 20, 2017

NO COMMENT !

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« Par notre sang et notre ame, nous nous sacrifierons pour toi AL-AQSA ! « 

Manifestants aux abords de l’esplanade des mosquées

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Macron en croisade contre les antisionistes

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En France, les présidents et les premiers ministres passent, mais sur la question du sionisme rien ne change.

En effet, comme avant lui les présidents Hollande et Sarkozy, ou encore le premier ministre Valls, Emmanuel Macron a à son tour assimilé l’antisionisme à de l’antisémitisme.

Un amalgame utilisé à souhait par les services de propagande de l’entité sioniste criminelle israélienne, et repris en cœur par ses partisans, ses agents ou ses vassaux.

Ainsi, hier, alors qu’il recevait le premier ministre et criminel de guerre israélien Benjamin Netanyahou lors de la commémoration des 75 ans de la rafle du Vel d’Hiv (qu’il s’est même permis d’appeler par son petit nom « bibi », marquant là une intimité qui en a étonné plus d’un), notre chez de l’état a estimé que l’antisionisme était «une forme réinventée de l’antisémitisme».

Le président a également déclaré à cette occasion qu’il ne « céderait rien à l’antisionisme ».

 

Ainsi donc il ne serait plus permis de critiquer le sionisme, qui est une idéologie politique, comme on pourrait critiquer le communisme, le gaullisme ou le libéralisme par exemple ?

Qu’en est-il des centaines de milliers de juifs antisionistes ? Sont-ils antisémites ?

 

L’assimilation de l’antisionisme à l’antisémitisme constitue une faute grave, tant du point de vue historique qu’idéologique.

Cependant, il est certain que cet amalgame n’est pas fait par hasard. C’est un cadeau fait par Macron au régime colonial israélien, qui va lui permettre de tenter d’étouffer la voix de tous ses opposants, à l’intérieur comme à l’extérieur.

 

Le Parti Anti Sionisme s’insurge contre cette nouvelle tentative d’amalgame entre l’antisionisme, qui signifie le refus du système colonial israélien et son lot d’oppression et de crimes, avec l’antisémitisme, qui est une idéologie raciste à l’encontre des juifs et que nous condamnons évidemment à l’instar de toute autre idéologie basée sur la haine d’une personne ou d’un peuple en raison de son appartenance religieuse.

A l’heure où l’entité criminelle est isolée comme jamais au sein de la communauté internationale et marginalisée en raison de ses violations multiples et continues des droits humains, cette prise de position du chef de l’état français est un sacré coup de pouce diplomatique donné à son ami « bibi » et à l’entité terroriste israélienne.

Nous proposons à notre président de se remémorer les paroles qu’il a prononcé il y a quelques mois à peine à propos de la colonisation qu’il a considéré être « un crime contre l’humanité ».

Sachant que l’entité sioniste est le dernier régime colonial existant sur la planète, il devrait en tirer les conclusions qui s’imposent, au lieu de vouloir museler l’opinion en présentant la critique d’Israël comme de l’antisémitisme.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

 

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Wednesday, July 19, 2017

Sayed Khamenei : « Les femmes musulmanes sont une véritable source d’honneur ».

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Discours de Sayed Khamenei sur la femme musulmane dans la République islamique : « Les femmes de la République islamique sont une véritable source d’honneur (…). Nous constatons que les noms de nos femmes font partie intégrante des ouvrages de recherche, d’histoire, de littérature, de politique, d’art, des livres et articles et qu’ils font partie actuellement des meilleurs écrits de la République islamique. C’est vraiment une source d’honneur. »

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Le Qatar bientôt hors du giron américano-sioniste ?

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Un mois après le début de la spectaculaire crise diplomatique entre le Qatar et une coalition arabe menée par Ryad et le Caire, la situation ne s’est toujours pas débloquée.

En effet, on se souvient que le 5 juin dernier, l’Arabie Saoudite, le Bahreïn, les Émirats arabes unis et l’Égypte, avaient rompu toutes relations diplomatiques avec Doha, l’accusant de soutenir le terrorisme.

L’unique frontière du pays, celle avec l’Arabie Saoudite, est ainsi fermée par Ryad depuis cette date, alors que l’espace aérien des cinq états arabes concernés est interdit aux avions qataris, une mesure accompagnée également d’une suspension des liaisons maritimes et du rappel de leurs ressortissants.

Un véritable blocus économique a donc été mis en œuvre, qui a eu pour conséquence d’obliger le Qatar à se tourner vers l’Iran et la Turquie, pour assurer ses besoins en produits alimentaires.

Deux pays en qui Doha a trouvé un soutien de poids, alors que leurs intérêts régionaux n’étaient pas forcement partagés jusqu’à là. C’est notamment le cas en Syrie, où la République islamique d’Iran soutien activement le peuple et l’armée loyaliste, contre les hordes tafkristes téléguidées par Washington et Tel-Aviv et financées par Ryad et Doha…

Pour ce qui est de la Turquie, les liens sont beaucoup plus profonds, en partie en raison du soutien apporté par Doha au mouvement des frères musulmans, dont est issu le président Erdogan.

Ce dernier est d’ailleurs clairement intervenu dans cette crise, après avoir vertement critiqué les sanctions imposées à l’encontre du Qatar, en signant le 9 juin dernier une loi permettant le déploiement de troupes sur la base qatarie d’Al-Rayan. Cela implique une augmentation du contingent de l’armée turque basé au Qatar de 94 à 600 personnes et permet également à l’armée turque d’envoyer jusqu’à 5.000 militaires sur place en cas de besoin.

La fermeture de cette base militaire turque a d’ailleurs été exigée par l’Arabie Saoudite et ses alliés, dans un ultimatum lancé à Doha le 23 juin dernier, dans lequel figuraient également une douzaine d’autres exigences, dont la fermeture de la chaîne de télévision « al jazeera » ou la rupture des relations diplomatiques avec l’Iran.

Une liste rejetée le 3 juillet par Doha, la jugeant « irréalisable » et portant atteinte à sa souveraineté nationale. Selon de nombreux experts, ces demandes semblent conçues pour être refusées, afin de créer le prétexte pour d’autres mesures punitives à l’encontre du Qatar.

Mercredi 5 juillet, les ministres des affaires étrangères de l’Arabie Saoudite et de ses alliés étaient réunis au Caire pour définir leur réponse au rejet de cet ultimatum, alors que le chef de la diplomatie qatarien, Mohamed ben Abderrahmane Al-Thani, appelait au même moment « au dialogue », soulignant que son pays était « prêt à s’engager dans un processus de négociation, dans un cadre clair qui garantisse sa souveraineté ». À l’issue de cette réunion du Caire, la coalition saoudienne a déclaré que les sanctions économiques engagées à l’encontre du Qatar seraient maintenues et que de nouvelles sanctions étaient possibles.

Les raisons évoquées par la monarchie saoudienne à cette crise sont donc le soutien du Qatar au terrorisme, mais son ultimatum à l’encontre du micro-État du Golfe est surtout lié à une volonté d’écraser l’influence de sa bête noire iranienne dans la région.

D’autres raisons, plus officieuses, relèvent d’une rivalité établie depuis 1995 entre les deux pays. L’Arabie Saoudite, aujourd’hui dirigée de fait par le jeune et belliciste prince héritier, Mohamed Ben Salman, voit ainsi d’un très mauvais œil l’autonomie régionale des Qatariens. Les terrains d’opposition sont divers, surtout depuis les « pseudo-révolutions arabes » – Égypte, Libye, Yémen, Tunisie –, au cours desquelles Doha a souvent apporté son soutien aux djihadistes terroristes « pseudo-révolutionnaires », tandis que Riyad appuyait plutôt les dictateurs en place. Les deux travaillant évidemment dans le sens des intérêts de leurs maîtres américano-sionistes.

Mais le Qatar n’est pas aussi isolé que cela et possède également de nombreux soutiens dans cette crise. Mise à part celui de la Turquie, que nous avons déjà évoqué, Doha bénéficie également de l’appui du gouvernement irakien. En effet, le Premier ministre Haider al-Abadi a estimé que les sanctions contre l’émirat « ne frappaient pas les autorités, mais le peuple ».

D’autres pays, comme l’Algérie, le Koweït, Oman, le Maroc et la Jordanie refusent également de se positionner contre l’émirat.

Téhéran de son côté, observe la situation avec attention, et s’est pour le moment, contenté d’ouvrir son espace aérien et ses ports aux avions et navires qataris en condamnant le blocus imposé par Ryad.

Le groupe de soutien au Qatar ne se limite pas aux pays du Moyen-Orient. En Asie du Sud, le Premier ministre pakistanais Nawaz Sharif a été l’un des premiers à annoncer sa réticence à rompre les relations diplomatiques de son pays avec le Qatar.

Enfin, Doha pourrait également bénéficier d’un soutien en Europe, car les importateurs européens d’hydrocarbures qataris ne souhaitent pas que la situation se détériore dans la région et appellent déjà à régler le conflit au plus vite.

 

« Tout cela montre qu’autour du Qatar se forme une coalition alternative capable de s’opposer d’égal à égal à l’Arabie Saoudite et à ses alliés », estime Grigori Kossatch, professeur à la faculté de l’Université d’État des sciences humaines de Russie.

Abdel Bari Atwan, le rédacteur en chef du journal « Rai al-Youm », dont les analyses sont souvent très perspicaces, tire également les mêmes conclusions, en envisageant « la possibilité de la formation d’une nouvelle coalition entre l’Iran, la Turquie, l’Irak, la Syrie, la Russie et le Qatar ».

 

Le Parti Anti Sioniste suit avec attention la crise qatarie, à la faveur de laquelle de nouvelles alliances sont susceptibles de se créer.

Il est peu probable que cette crise dégénère en guerre ouverte, car les multinationales occidentalo-sionistes auraient trop à y perdre en matière d’argent, mais elle pourrait décider le Qatar à quitter le giron sioniste et modifier sa politique régionale.

Ainsi, en décidant de vouloir soumettre Doha à tout prix et de façon brutale, le royaume wahhabite saoudo-sioniste va une nouvelle fois renforcer l’Axe de la Résistance en croyant pouvoir l’écraser.

Ce nouveau complot, derrière lequel se cachent sans nul doute les mêmes, se fracassera une nouvelle fois contre le rocher de la Résistance, qui avance inéluctablement vers la victoire promise.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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Monday, July 17, 2017

Première rencontre Poutine/Trump : promesses et méfiance…

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La première rencontre tant attendue entre les présidents américain et russe a donc eu lieu à Hambourg, en marge du sommet du G20, le vendredi 7 juillet dernier.

Cette rencontre, qui a duré près de deux heures et demie, a eu lieu dans un contexte tendu, sur fond de soupçons de collusion entre l’équipe de campagne de Donald Trump et le Kremlin, de nouvelles sanctions américaines contre Moscou dans la crise ukrainienne, de conflit syrien et d’accumulation des forces de l’Otan aux frontières russes.

Le face-à-face s’est néanmoins déroulé dans une ambiance cordiale, comme le démontrent les propos des deux dirigeants. « C’est un honneur d’être avec vous », a déclaré Donald Trump au début de la rencontre en saluant son homologue d’une franche poignée de mains, alors que Vladimir Poutine lui répondait qu’il était ravi de le rencontrer en espérant que cette réunion se solderait par un résultat positif.

Concernant la teneur de l’entrevue, le président russe a déclaré, à l’issue de celle-ci : «Plusieurs questions avaient trait à l’Ukraine, à la Syrie et à d’autres problèmes, mais nous avons aussi discuté des relations bilatérales. Nous sommes revenus sur les questions de la lutte antiterroriste et de la cyber sécurité».

Du côté des réactions américaines, Rex Tillerson a commenté vendredi soir qu’il y avait eu une « alchimie positive » entre Trump et Poutine. Le Secrétaire d’État américain, qui était présent lors de la rencontre, en compagnie de son homologue russe Serguei Lavrov, a ajouté qu’il y avait eu un « échange très long et très vigoureux » au sujet des interférences présumées de la Russie dans la campagne présidentielle américaine, estimant que ces interférences constituaient « un obstacle significatif » dans les relations entre les deux pays.

Ironie du sort, une semaine après la rencontre, le fils Trump, Donald junior, avouait qu’il avait tenté d’obtenir des informations compromettantes sur la candidate démocrate Hillary Clinton auprès d’une avocate russe proche du Kremlin.

Deux jours après la rencontre, dimanche 9 juillet, c’était au tour du président américain de réagir en dévoilant une partie de ses discussions avec son homologue russe, via son canal de communication préféré, Twitter. Il affirmait également vouloir « aller de l’avant » et « travailler de manière constructive » avec la Russie.

Concernant le sujet des sanctions contre Moscou, le président twittait « Nous n’avons pas parlé des sanctions anti-russes, mais la position actuelle de Washington envers les Russes ne changera pas tant que les conflits en Syrie et en Ukraine continuent ».

Ce qui a été confirmé moins d’une semaine plus tard, lorsque la Maison-Blanche s’est dite prête à soutenir une nouvelle série de sanctions anti-russes préconisées par le Congres US. Ce qui a évidemment très irrité Moscou qui a promis de réagir en conséquence.

Concernant le conflit syrien, le président Trump a affirmé:

« Nous avons négocié un accord sur un cessez-le-feu dans plusieurs parties de la Syrie, ce qui va sauver des vies ». Ceci avait déjà été confirmé par le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, à l’issue de la rencontre au sommet.

En effet, ce dernier avait alors affirmé : « Aujourd’hui, dans la capitale jordanienne, Amman, des experts russes, américains et jordaniens […] se sont mis d’accord sur un mémorandum sur la création d’une zone de désescalade dans les régions de Deraa, Quneitra et Soueida. » Dans cette zone, il y aura un cessez-le-feu à partir de midi, heure de Damas, à partir du 9 juillet », a-t-il ajouté.

Au terme des discussions, Rex Tillerson avait, quant à lui, déclaré que les modalités du cessez-le-feu devaient encore être finalisées. Ce premier accord est un premier signe indiquant que « les États-Unis et la Russie étaient capables de travailler ensemble en Syrie ».

Tillerson a indiqué que Donald Trump et Vladimir Poutine avaient eu une « longue discussion au sujet des autres zones en Syrie où il était possible de continuer à travailler ensemble pour procéder à une désescalade de la violence ».

 

Le Parti Anti Sioniste encourage ce type de rencontres susceptibles de déboucher sur une désescalade des tensions au niveau régional et international.

Toutefois, il est préférable de demeurer prudent dans l’attente de résultats concrets sur les différents terrains où demeurent des contentieux entre les deux puissances, car les USA ont montré à de nombreuses reprises leur incapacité à tenir leurs engagements.

Mais, malgré la bonne volonté du président Trump, il ne faut pas oublier que c’est l’administration américaine, largement soumise aux intérêts du complexe militaro-industriel et de Wall-Street qui aura le dernier mot.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

 

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Sunday, July 16, 2017

L’apprentissage

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Le Messager de Dieu (p) aurait dit : « Celui qui apprend étant jeune est comme celui qui sculpte la pierre et celui qui apprend étant vieux est comme celui qui écrit sur la surface de l’eau. » in (Bihar, 1/222/6)

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NO COMMENT !

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 » L’idée de dominer le monde fait presque partie de l’ADN des États-Unis »

Henry Kissinger

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