Thursday, September 17, 2015

Lettre au roi Salmane d’Arabie saoudite! [Abu Ali Hussein Dirani]

Publié sur Lettre au roi Salmane d’Arabie saoudite! [Abu Ali Hussein Dirani]

Abu Ali Hussein Dirani, journaliste libanais

 

Abu Ali Hussein Dirani, journaliste libanais

Abu Ali Hussein Dirani, journaliste libanais

Lettre au roi Salmane d’Arabie saoudite

Par Abu Ali Hussein Dirani, journaliste libanais

 

Tu ne briseras point ma plume tant que coulera le sang dans mes veines…

 

« Certes, Dieu défend ceux qui croient, Dieu n’aime pas tout traitre insistant sur l’impiété. » XXII/38

 

Quand tu veux me faire taire et me poursuivre en justice en présentant une affaire contre moi, fais-le au nom « du destructeur des deux lieux sacrés » au lieu d’utiliser un de tes serviteurs au Liban. Combien de Maisons de Dieu as-tu détruit en Syrie, au Yémen, en Irak, ô Salman ?

C’est une perte pour toi que de dépenser ton argent pour que tes petits valets m’assignent à comparaitre en cour de justice, même s’ils ont des noms connus dans les médias libanais qui sont à la solde d’autrui.

Ton argent, ô Aba Sabir [roi Salmane d’Arabie saoudite, ndlr] a été vainement dépensé parce que la plainte déposée contre moi par ton sbire qui possède le magazine « noir», n’a pas donné suite face à ma solide argumentation. Je l’ai attaqué parce qu’il s’appuie sur votre tyrannie et votre terrorisme pour lancer une tempête agressive contre le Liban après le Yémen ! Le Liban après le Yémen, ô Salmane !

Une personne possédant un atome de citoyenneté accepterait-elle cette plainte agressive contre son pays ? Il n’est point étrange qu’il fasse appel à l’ennemi sioniste pour frapper la Résistance, puisque celui qui n’a aucun sentiment de citoyenneté peut être vendu et acheté au prix le plus bas. Ce genre d’individu, qui est à votre service, mérite d’être accusé de haute trahison !

 

Non, mille fois non ! Notre plume ne sera pas brisée et je continuerai à le clamer aux yeux des envieux, des vendus, des collaborateurs, des futiles et des terroristes… Ma plume ne se brisera pas avant qu’elle n’ait crevé ton œil borgne, ô Salmane, ni avant qu’elle n’ait rendu ta langue muette, ni même avant que je n’ai stoppé tes agressions et ton terrorisme contre les pays arabes et musulmans…

 

Si toi, le « roi » idiot, tu es capable de faire taire par la force les trahisons et le terrorisme, les ragots dans ton royaume et ta basse-cour, tu es bien trop faible pour arriver à toucher nos libertés et nos pensées. Tu es trop faible pour pouvoir affaiblir notre détermination à poursuivre notre œuvre pour démasquer vos crimes, votre terrorisme, votre ignorance et vos idioties…

 

Nous ne sommes pas attirés par les marchandises que l’on trouve dans les bazars des vendus pour que tu envoies tes collaborateurs de toute nationalité, nous séduire avant de nous terroriser. Comme tu le sais, faible vieillard, ta marchandise est vile, elle n’a aucune valeur, je te l’ai jetée au visage dès le premier instant où tu as usé de séduction et d’intimidation…

Ton sbire et esclave a perçu le prix de son travail de ton ambassade, qui parie sur notre silence, ton ambassade noire dans laquelle se trament tous les complots contre la Résistance et ses gens, ton ambassade de laquelle émane l’odeur de l’animosité et du racisme, ton ambassade qui n’est bonne qu’à y entreposer les ordures qui sont jetées dans les rues de Beyrouth, ton ambassade qui est un refuge pour les hérétiques, les traitres, les pervers, les corrompus, les criminels et les terroristes…

Vous avez cru que vous pouviez atteindre les maîtres, les parties par le biais de votre empire médiatique égaré, sans que personne ne puisse vous freiner. Vos efforts ont été vains et pure perte, et je ne te vois que petit, ô Salmane…

 

Mon message, ô Salmane, avant toi Abdallah et après toi Zarban, est un message de celui qui croit en Dieu, en Son Messager (p), en sa Famille, en l’amour de l’Imam Hossein (p) et en sa Révolution face à la tyrannie, et je ne te vois que comme Yazid… Alors, trame tes complots et poursuis tes efforts car, par Dieu, tu ne feras point taire notre plume et tu ne feras point mourir notre résistance…

Ô Salmane, tes chauves-souris présentes au Liban ne sont que des insectes qui accourent vers tes tables perfides. Elles ne vous sont d’aucune utilité, elles ne font que démasquer davantage vos complots et votre terrorisme…

Ô Salmane, hier l’EI de « Daesh» a publié un communiqué demandant ma décapitation. Cet état né dans l’utérus de votre croyance wahhabite, maçonnique, takfiri et perverse. Tes esclaves au Liban ont demandé que je sois jugé.

 

Je garde la tête haute, elle ne sera pas touchée par les mains de tes esclaves, Seul Le Miséricordieux peut l’atteindre.

Mes paroles, ô Salmane, resteront telles des nuées d’oiseaux qui jetteront sur ton trône des pierres d’argile, jusqu’à ce qu’elles le réduisent en poussière.

Mon message t’est adressé à toi et non à tes esclaves au Liban. Mon message est pour le nain des nains, pour le roi des ténèbres, pour le protecteur du terrorisme, pour le plus ignorant des ignorants et pour la main des criminels.

Ceci est mon message pour le roi Salmane…

 

Source : Mepanorama.net

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