Saturday, December 3, 2016

Série Imam Hassan épisode 9

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Hassan, fils d’Ali, fils d’Abi Taleb, c’est le Messager qui lui donna ce prénom, personne ne porta ce prénom auparavant. L’Imam Hassan (p) naquit le 15 du mois de Ramadan, en l’an 3 de l’hégire à Médine. Son père est Ali, fils d’Abi Taleb (p). Sa mère est Fatima Zahra, fille du Messager (PBDLF). Ses origines remontent jusqu’à la tribu de Bani Hashem.  

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Friday, December 2, 2016

Croyons-nous au remède ?

Discours_Vendredi_Mai_2015_360p

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Quel est le remède ? Qu’est-ce que la foi en le Livre ? Faut-il être sincère dans sa lecture ? Y a-t-il différents degrés dans la sincérité ? Où mènent les plus hauts degrés de sincérité ? Dieu nous exhorte-t-il à aimer dans le Livre ? Y a-t-il des degrés à l’amour ? Dieu dit dans Son Saint Livre, le Coran : Sourate XVIII « Al Kahf » : Verset 63 : « Nous n’imposons à personne que selon sa capacité. Et auprès de Nous existe un Livre qui dit la vérité, et ils ne seront pas lésés. » Selon un récit : Un nomade arriva à Médine demandant après le Messager de Dieu(s). Quand il le vit, il lui demanda : « Quand va se dresser l’Heure ? » C’était le moment de la prière. Le Prophète Mohammed mena la prière puis, quand il eut fini, il demanda : « Où est celui qui interrogeait sur l’Heure ? Me voici, ô Messager de Dieu ! Qu’as-tu préparé pour elle ? Je n’ai pas préparé beaucoup d’actes pour elle, ni des prières ni des [jours] de jeûne. Mais j’aime Dieu et Son Messager ! L’homme sera avec celui qu’il a aimé. » Notre Dieu !...

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L’enjeu des médias alternatifs

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presselibreLa victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine le 8 novembre dernier, à la grande surprise des sondeurs et de la machine médiatique traditionnelle qui avaient pris fait et cause pour la candidate rivale, a déclenché un débat sur l’influence des médias alternatifs vis-à-vis de l’opinion publique.

Il apparait clair que le développement et la vulgarisation d’internet depuis plus d’une décennie, ont conduit à une véritable révolution médiatique, dont on voit aujourd’hui les effets.

L’existence et l’importance prise par les médias libres ou alternatifs ainsi que la diffusion massive et rapide de l’information à travers les réseaux sociaux, constituent désormais un problème pour les élites dirigeantes, qui voient leurs stratégies de domination fortement contrariées.

En effet, l’un des enjeux majeurs de la question médiatique aujourd’hui, réside dans la possibilité donnée à une multitude de points de vue de s’exprimer et de se faire entendre. Or, ce pluralisme de l’information vient remettre en cause la toute-puissance des medias de masse traditionnels, qui apparaissent désormais pour ce qu’ils sont, une machine de propagande au service de l’Elite.

Pourquoi ces médias alternatifs se sont-ils développés au dépend de leurs concurrents officiels ?

Quel est leur rôle et comment le système va-t-il réagir?

Tels sont les questions et les problématiques qui se posent face à ce qui est un enjeu majeur depuis toujours, le contrôle et la diffusion de l’information.

De nombreux évènements récents ont montré que les medias alternatifs avaient désormais un rôle d’importance dans la communication et la diffusion de l’information, mais qu’ils pouvaient aussi se révéler de véritables catalyseurs d’action.

Ainsi, les révolutions colorées dans les ex-républiques soviétiques au début des années 2000, ou les printemps arabes de 2011 ont montré la puissance des nouveaux médias et la difficulté qu’ont eue les pouvoirs en place pour les contrôler et les museler. Les citoyens les ont en effet largement utilisés pour exprimer leur exaspération et leurs revendications, mais aussi se regrouper et s’organiser dans l’action. Cependant, il est avéré que dans le cas de ces « révolutions », ces réseaux d’informations alternatifs ont été largement manipulés par les officines occidentales afin de servir les intérêts des puissances de l’Empire, or les exemples du referendum anglais sur la sortie de l’euro ou l’élection de Trump montrent aussi que les medias alternatifs peuvent aussi s’opposer aux medias de masse, et influencer les opinions publiques dans le sens inverse de la propagande journalistique au service du système.

Ainsi, alors que la machine médiatique européenne était massivement engagée contre un retrait britannique de l’Union Européenne, la population anglaise a tout de même voté en faveur du BREXIT, démontrant que les citoyens n’étaient plus dupes du jeu des médias main Stream et des instituts de sondages à la solde du système.

L’élection présidentielle américaine, déjouant tous les pronostics, est venue confirmer ce phénomène, et a dévoilé de nouveaux acteurs qui ont pesé dans le jeu médiatique : les sites d’infos militants nationalistes et antimondialistes, tel Breitbart.com (dont le président exécutif Steve Bannon a rejoint l’équipe de campagne de Trump et qui est désormais haut conseiller présidentiel) et la multitude de pages Facebook partisanes.

Le succès de Breitbart, dont le trafic atteignait un niveau de visiteurs équivalent à celui de sites comme ABCNews.com et CBSNews.com, est tel, qu’il souhaite s’implanter en France afin de jouer un rôle dans la prochaine élection présidentielle de 2017.

Lancé en 2007, Breitbart News a connu une croissance fulgurante, due à sa bonne connaissance du fonctionnement de l’information numérique.

« Ils ont une bonne connaissance des médias sociaux, de Facebook, notamment. Et puis ils travaillent avec acharnement, ils produisent des articles sans relâche. Bref, ils comprennent comment Internet est structuré et comment instiller leurs idées dans la société », explique Erik Wemple, chroniqueur média au Washington Post.

Ce qui apparait clairement est le désaveu de l’opinion vis-à-vis des medias traditionnels, dont l’immense majorité des gens a compris qu’ils n’étaient qu’un outil au service du système. C’est ce qu’affirmait déjà en 1988, l’intellectuel américain Noam Chomsky dans son ouvrage, « la fabrication du consentement », et qui écrivait alors en substance, qu’un système de propagande s’était établi, pour mobiliser un vaste soutient aux intérêts particuliers qui dominent les sphères de l’État et le secteur privé. Il ajoutait aussi que les médias filtraient les informations, livraient un produit conforme aux intérêts de la classe dominante et ne présentaient que le point de vue des élites.

Comprenant le danger que représentent pour lui les médias alternatifs, il est certain que le système ne restera pas les bras croisés, et l’offensive a déjà commencée.

Celle-ci peut prendre différentes formes :

La diffamation est l’une d’elles, qui vise à discréditer le médias en question (ou ses propriétaires), en le taxant de complotiste, de raciste, d’antisémite ou d’islamiste par exemple.

Une autre méthode beaucoup plus subtile consiste à intoxiquer les sites subversifs en y injectant des informations farfelues visant à les discréditer intellectuellement, ou, à créer des sites soit disant alternatifs, infiltrés et manipulés, dans lesquels on injecte un flot d’informations parfois réelles, parfois non, afin de créer la confusion dans l’esprit des visiteurs.

Les pressions financières sont aussi utilisées. En effet, dernièrement, les géants d’internet Google et Facebook ont pris des mesures pour couper les revenus publicitaires de sites d’informations en ligne qu’ils jugeraient porteurs de faux renseignements et qui pourraient par conséquent avoir une mauvaise influence sur l’opinion publique….

Si toutes ces mesures ne suffisaient pas, il est fort probable qu’on irait vers l’interdiction pure et simple de certains sites qui n’iraient pas dans le sens de la pensée dominante et qu’on jugerait dangereux pour la sécurité des citoyens.

Cela a déjà commencé avec certains sites djihadistes, mais pas seulement. On pense à la résolution votée le 23 novembre dernier par le Parlement européen prévoyant des mesures destinées à limiter l’activité des médias russes en Europe et intitulée «Communication stratégique de l’Union visant à contrer la propagande dirigée contre elle par des tiers». Sont concernée entre autres la chaîne de télévision RT et l’agence de presse Sputnik, qualifiées « d’outils de propagande ».

Les medias alternatifs eux-mêmes doivent aussi être vigilants et éviter les pièges qui pourraient les conduire à se dévoyer ou à être récupérés par le système. En effet, un certain nombre d’entre eux n’a pas pu résister à l’appel de l’argent et font de leur combat pour un idéal de justice une source de revenus. D’autres tombent dans les problèmes d’egos, excluant deS personnes très intelligentes qui viendraient les « concurrencer ». Enfin, certains se font intoxiquer ou disparaissent en raison de leur manque de sérieux ou de rigueur intellectuelle.

Ainsi, face à la propagande massive des medias dominants, les sites et réseaux alternatifs ont montré qu’ils étaient un moyen puissant de diffusion d’informations différentes, en opposition à celles véhiculées par la « pensée unique » au service de l’Elite.

Cependant, quel que soit le canal d’information, il ne se substituera jamais à l’intelligence humaine. Aucun médias, quel que soit son niveau d’indépendance ne peut prétendre penser à notre place.

 

Le site du Parti Anti Sioniste fait partie de ces médias libres. Il a pour mission d’informer et de témoigner, face à la menace sioniste qui conduit le monde à sa perte. Sans prétendre détenir la vérité absolue, notre site tente d’éveiller les consciences, en apportant des informations souvent occultées par les médias de masse.

Notre seul but est de défendre la justice et informer notre peuple. Cela constitue pour nous un devoir sacré.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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Série Imam Hassan épisode 8

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Hassan, fils d’Ali, fils d’Abi Taleb, c’est le Messager qui lui donna ce prénom, personne ne porta ce prénom auparavant. L’Imam Hassan (p) naquit le 15 du mois de Ramadan, en l’an 3 de l’hégire à Médine. Son père est Ali, fils d’Abi Taleb (p). Sa mère est Fatima Zahra, fille du Messager (PBDLF). Ses origines remontent jusqu’à la tribu de Bani Hashem.

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Thursday, December 1, 2016

Vladimir Poutine adopte par décret une nouvelle conception de la politique extérieure de la Russie

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Le président russe Vladimir Poutine a présenté ce jeudi 1er décembre son 13e message à l’Assemblée fédérale

Le président russe Vladimir Poutine a présenté ce jeudi 1er décembre son 13e message à l’Assemblée fédérale

Le président russe Vladimir Poutine a adopté une nouvelle conception de la politique extérieure de la Russie. Le décret en conséquence, publié le jeudi 1er décembre, est entré en vigueur le jour de sa signature, soit le 30 novembre 2016.

 

Interventions militaires

La Russie fait du renforcement de la justice à l’échelle internationale sa priorité et entend lutter contre les interventions militaires, violant la souveraineté des États. « La Fédération de Russie est déterminée à éviter les interventions militaires et autres formes d’ingérence extérieure violant le droit international, surtout le principe de l’égalité souveraine des États, le motivant par la réalisation de la conception « La responsabilité de protéger » », est-il dit dans le document.

La Russie s’opposera ainsi à toute tentative de certains pays de mettre en cause le droit international et de l’interpréter d’une manière arbitraire à des fins politiques, ainsi qu’aux tentatives de s’ingérer dans les affaires intérieures des pays dans le but de renverser le pouvoir de manière anticonstitutionnelle.
La situation au Proche-Orient Au Proche-Orient
la Russie continuera de mettre le cap sur le règlement politico-diplomatique des conflits, et ce, sans ingérence extérieure. En général, Moscou opte pour le règlement en Syrie, l’unité de son peuple et l’intégralité territoriale du pays.
Lutte antiterroriste
D’après le document, l’axe principal dans la lutte antiterroriste est la création d’une large coalition internationale.
La Russie s’oppose catégoriquement à l’utilisation d’organisations terroristes par des États pour atteindre leurs buts politiques, idéologiques et autres.
Moscou condamne le terrorisme sous toutes ses formes et croit que l’acte terroriste ne peut être justifié par des motifs idéologiques, politiques, religieux, raciaux, ni par n’importe quels autres.
La Russie à son tour prend toutes les mesures nécessaires afin de prévenir et de contrer le terrorisme, de protéger son peuple et le pays contre les actes terroristes, contre la diffusion de l’idéologie terroriste et extrémiste.
Facteur de la force
Le document constate d’ailleurs que le rôle du facteur de la force dans les relations internationales a augmenté, vu les tensions et l’instabilité des systèmes politiques et économiques, et « le renforcement et la modernisation du potentiel militaire, la création et le déploiement de nouvelles armes minent la stabilité stratégique, présentent une menace à la sécurité globale, assurée grâce aux accords en matière de contrôle d’armes ».
« Bien que le risque qu’une guerre d’ampleur se déclenche, y compris une guerre nucléaire entre les acteurs clés, reste faible, les risques de les impliquer dans des conflits régionaux et dans les escalades des crises augmentent ».
La Russie de son côté continue à oeuvrer pour le renforcement du régime de non-prolifération des armes nucléaires.
La lutte pour la domination et la dissuasion de la Russie
D’après la conception, la lutte pour la domination dans le monde devient la principale tendance de l’époque actuelle. La ligne des États-Unis et de leurs alliés vise à dissuader la Russie, alors que la pression politique et économique sape la stabilité régionale et globale.
Le document considère d’ailleurs l’Onu comme un centre de contrôle des rapports internationaux et de coordination d’une politique qui n’a pas d’alternative et indique que la Russie va favoriser l’amélioration du mécanisme d’application des sanctions par les Nations unies.
En cela, les décisions en l’espèce devront être prises de façon collective et collégiale au Conseil de sécurité.
Les rapports Russie-UE 
L’Union européenne reste un partenaire économique et politique important économique pour l’État russe qui prône une coopération stable et prévisible. Le régime de visa est un des obstacles principaux sur le chemin de l’évolution des contacts Russie-UE et sa levée donnera donc un coup de fouet au renforcement de la coopération.
Les relations Russie-Otan
Quant à l’Otan, la Russie entend bâtir ses relations avec l’Alliance en fonction du niveau de préparation de cette dernière en vue d’un partenariat équitable. Or, l’activité militaire de l’Otan près des frontières russes ne fait que créer de nouvelles lignes de division et approfondir celles déjà existantes.
Médias
De même, la Russie envisage d’intensifier les positions de ses médias à l’étranger afin de diffuser auprès du public international des informations objectives quant à la position de Moscou sur les sujets clés internationaux et sur la situation à l’intérieur du pays.

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L’Algérie sécurise ses frontières

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algerie-frontiereLa question de la sécurité aux frontières est devenue une préoccupation majeure des autorités algériennes.

En effet, jamais les frontières du pays n’ont été aussi instables, devenant des zones d’insécurités, tout particulièrement sur les flancs Est et Sud.

Cela fait de l’Algérie un des pays les plus impliqués dans la sécurité régionale, dans un environnement à forte activité terroriste. En effet, bien qu’elle ne soit pas partie prenante dans les deux conflits libyen et malien, l’effort de guerre qu’elle fournit pour protéger ses frontières en fait l’un des pays les plus engagés en termes de moyens mobilisés.

Ainsi, pour assurer la surveillance de ses frontières terrestres de plus de 6000 kilomètres, l’Armée nationale populaire algérienne (ANP) n’a d’autres solutions que de recourir à des moyens technologiques modernes, comme les drones, très efficaces, notamment pour la surveillance des vastes régions désertiques. On sait depuis l’année dernière qu’un certain nombre de ces appareils sont utilisés aux frontières libyennes, mais les moyens humains ne sont pas négligés non plus. En effet, une dizaine de milliers d’hommes sont mobilisés pour surveiller et protéger la frontière avec le Mali, longue de 1 376 km.

Côté Ouest, la frontière algéro-marocaine est probablement la moins instable de toutes les frontières maghrébines, malgré le trafic de drogue en provenance du Maroc, et la contrebande de produits alimentaires et de carburant, en provenance d’Algérie.

Cependant, la vigilance y est tout aussi importante, et l’Algérie déploie des moyens sophistiqués pour la surveillance de ses frontières avec le Maroc. Ceux-ci visent à lutter essentiellement contre ces divers trafics, qui assurent aux groupes terroristes d’importantes sources de financement.

On apprend ainsi par l’agence officielle algérienne APS qu’un responsable du ministère de la Justice a annoncé la semaine dernière « la matérialisation » d’un système de surveillance technique et électronique des frontières terrestres du pays, notamment celles du sud-ouest du pays.

Celui-ci précisant qu’en « plus des patrouilles et autres brigades mixtes, des caméras infrarouges, des radars mobiles, des moyens aériens notamment des drones, ainsi que des procédés de surveillance par satellites seront mis à profit pour la surveillance, la sécurisation et le contrôle de nos vastes frontières dans le sud-ouest qui concerne une bande de 3,058 km ».

Les frontières nationales notamment terrestres du sud-ouest du pays « sont en butte aux activités des narcoterroristes qui s’adonnent à des multiples activités illégales qui portent atteinte à la sécurité du pays et à l’économie nationale » a indiqué pour sa part le représentant du ministère de la Défense nationale.

« Les narcotrafiquants et les contrebandiers activent en commun avec les terroristes des différents groupes criminels qui activent dans les pays voisins à nos frontières, d’où la nécessité d’une vigilance constante et du renforcement de la coordination dans les domaines liés aux renseignements, à la prévention et à la lutte sur le terrain contre ces criminels dont les activités criminelles concernent en plus du trafic de drogue, la contrebande et la commercialisation illégale d’armes et de munitions », a-t-il soutenu.

On se souvient qu’en mai dernier, le Maroc avait également annoncé le renforcement de son dispositif de sécurité sur sa frontière Est (avec l’Algérie), invoquant, lui, le risque terroriste. Auparavant en 2014, le royaume avait entrepris la construction d’une clôture dotée de capteurs électroniques pour se prémunir «de toute infiltration de membres de groupes extrémistes à l’intérieur du territoire marocain» selon le ministre de l’Intérieur. Ce mur avait alors suscité des réactions au Maroc et en Algérie en raison de son impact sur les relations bilatérales, notamment la question de la réouverture des frontières.

Autant de mesures unilatérales qui interviennent dans un contexte de tension entre les deux voisins. En effet, les deux pays sont en désaccord sur le statut du Sahara occidental annexé à 80% par le Maroc en 1975, et revendiqué depuis par le Front Polisario que soutient l’Algérie.

Ainsi l’incompréhension est persistante entre les deux pays, en raison du dossier sahraoui, mais aussi récemment à propos de la gestion sécuritaire des frontières. Cette rivalité se voit ainsi marquée par l’exclusion mutuelle et les accusations réciproques qui caractérisent leurs relations.

Pourtant, l’Algérie et le Maroc sont les deux nations de la région qui disposent de suffisamment de capacités pour pallier les difficultés et les insuffisances de leurs voisins, s’ils elles travaillaient de concert.

Le Parti Anti Sioniste appelle à un rapprochement bilatéral qui permettrait de redéployer les moyens importants mobilisés de part et d’autre de la frontière. Cela permettrait une mutualisation de certains de leurs outils de défense et de sécurité pour la lutte contre les menaces d’origine non étatique.

Il serait temps pour ces grands pays voisins, constitués de peuples frères et dont les frontières ont été tracées par le colonialisme, de réaliser leur unité afin de faire front contre les menaces créées par l’occident sionisé afin de maintenir le Maghreb dans le sous-développement et la division.

Le processus bilatéral algéro-tunisien qui est une réussite en matière sécuritaire reste pour le moment une exception, il pourrait servir de modèle dans la région.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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Série Imam Hassan épisode 7

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Hassan, fils d’Ali, fils d’Abi Taleb, c’est le Messager qui lui donna ce prénom, personne ne porta ce prénom auparavant. L’Imam Hassan (p) naquit le 15 du mois de Ramadan, en l’an 3 de l’hégire à Médine. Son père est Ali, fils d’Abi Taleb (p). Sa mère est Fatima Zahra, fille du Messager (PBDLF). Ses origines remontent jusqu’à la tribu de Bani Hashem.

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