Monday, March 4, 2019

FINKELKRAUT et l’État français

Publié sur FINKELKRAUT et l’État français

L’État français actuel vole au secours de Finkelkraut, le philosophe raciste parce que cet État lui-même gère depuis des siècles ses anciens indigènes et actuellement citoyens de culte musulman ou bouddhiste ou animiste comme les État colonial, puis post-colonial auxquels il a succédé.

L’enjeu est l’« antisémitisme » et toutes les ambiguïtés sémantiques racistes que transporte ce mot inventé en Europe pour exercer une ségrégation féroce et durable contre des Européens de culte israélite.

Précisons ce propos :

1 / D’abord la sémantique

  1. a) Il y a le mot Juif qui exprime une origine ethnique. Ne sont Juifs que les personnes d’ascendance ethnique juive, une population originaire du bassin moyen-oriental.
  2. b) Sont sémites les gens issus des populations ethniquement définies comme telles : elles se composent essentiellement de Juifs et d’Arabes. Sémantiquement « antisémite » signifie promouvoir une haine raciste contre les Juifs et les Arabes.
  3. c) Israélite concerne les personnes de culte israélite. Tous les Juifs ne sont pas Israélites de même que tous les Arabes ne sont pas Musulmans.
  4. d) Arabes ne signifie pas Musulmans : tous les Musulmans ne sont pas Arabes et tous les Arabes ne sont pas Musulmans.
  5. e) il existe des gens qui sont athées ou agnostiques, ils peuvent appartenir à n’importe laquelle des catégories définies ci-dessus, sans pour autant renier leur origine ethnique et culturelle.
  6. f) Les israélites d’Europe ne sont pas des Juifs. Ce sont des descendants d’une population européenne, les Khazars ; ils ne ressemblent pas morphologiquement à la population du Moyen-Orient, mais s’identifient plutôt aux peuples européens. Du point de vue religieux, pour les Israélites du judaïsme originel, ce furent même pendant plusieurs siècles de mauvais israélites. Ils ne parlaient pas la langue des Juifs du Moyen-Orient.
  7. g) Israël est un État artificiel, conséquence de la seconde guerre mondiale. Il a été constitué dans le cadre du rapport de force Pays capitalistes / Pays communistes à la sortie de la guerre, dans le but de s’approprier les richesses du Moyen-Orient. Cet État a été construit en spoliant et en déplaçant les habitants de Palestine, sans pour autant leur proposer un dédommagement ou une citoyenneté pleine et entière quelque part dans le monde. Pourtant cette région n’a pas participé comme protagoniste à la seconde guerre mondiale : la notion de vengeance ne s’applique pas à eux. La notion de « retour » n’a aucune valeur puisque l’essentiel de la population juive vivait déjà chez elle, au Moyen-Orient et en Palestine : les autres prétendus « Juifs » viennent d’Europe ; ce sont des Khazars; ils n’ont aucune relation historique avec le Moyen-Orient et encore moins avec la Palestine.

Ce sont les racistes européens qui ont obligé les Khazars à porter le nom de « Juifs » ou  celui de « Sémites » pour justifier leur racisme grâce à un arrière-plan religieux chrétien.

Je ne reconnais pas de valeur au terme antisémite et antisémitisme autre que leur sens original et strict, c’est-à-dire haine des peuples sémites, tous les peuples sémites. Si l’on veut stigmatiser l’antisémitisme parce que l’on est un démocrate et un progressiste, alors pourquoi se limiter au racisme antisémite ?

Les peuples premiers des Amériques n’ont-ils pas subi le racisme européen jusqu’à avoir presque totalement disparu ? La traite des Noirs n’a-t-elle pas tué des dizaines de millions de personnes soumises pour plusieurs générations à l’esclavage ?

Je refuse le terme d’antisémite en tant que terme restrictif de l’antiracisme. Si l’on s’y tient, c’est un racisme dans l’antiracisme. Et si on le réserve à l’anti-judaïsme, c’est un racisme à l’intérieur de l’antisémitisme. Et Si l’on l’accole à l’anti-Khazar, c’est en plus une imposture. Il faut dire clairement qui est qui : qui est Sémite, qui est Arabe, qui est Juif, qui est israélite, qui est chrétien, qui est musulman, qui est athée, qui est agnostique.

Qui que l’on soit, il n’y a aucun avantage ou aucune qualité qui mettrait une origine humaine au-dessus des autres ou d’une autre. Il n’y a pas de raison de dissimuler ou d’avoir honte de ses origines ethniques ou religieuses ou culturelles.

2 / La politique

Plusieurs théories ont tenté de répondre à la dénomination d’Israël, un prophète israélite, chrétien, puis musulman. Cette dénomination est donc une confusion volontaire et malhonnête entre un État-création politique et de rapports de forces entre puissances alliées avec une religion, avec un peuple, avec une terre.

Il y a d’abord le mythe de la « patrie juive » développé en réaction au racisme anti-Khazar : « puisqu’ils ne veulent pas de nous, allons ensemble ailleurs dans un pays à inventer où personne ne sous imposera une ségrégation ». C’est le mythe sioniste qui est d’essence purement politique. Une autre partie plus importante parmi les Khazars a opté pour le soutien aux révolutions européennes comme voie de la libération.

Dans ce sens, les Khazars, aux côtés des progressistes locaux, ont été un moteur important et constant des révolutions et mouvements d’émancipation populaire en Europe durant le XVII, XVIII, XIX et début du XXèmes siècles.

Donc le nom d’Israël attribué à un État artificiel et fondamentalement injuste est une imposture politique pour renforcer la prétendue légitimité d’une conjoncture politique malhonnête.  Par exemple, la Pologne innocente pour le début du conflit mondial a été « déplacée » après la seconde guerre mondiale. Mais elle a récupéré des territoires sur l’Allemagne sans atteinte aux droits des Polonais.

Les Palestiniens ont TOUT PERDU, sans avoir commis aucune faute.

À partir de là, l’État d’Israël se prétend représentant TOUS les juifs du monde exactement comme le régime Nazi se prétendait le représentant de tous les Germaniques. or cela est totalement faux : la majorité des Juifs ethniquement vrais Juifs et même des Khazars ne vivent pas en Israël. Or l’État d’Israël octroie automatiquement sa citoyenneté à tous ceux qui se prétendent Juifs ou Israélites ou Khazars.

La politique raciste et xénophobe anti-Palestienne d’Israël est donc fondamentalement condamnable. Reconnaître cela est du devoir de TOUS les démocrates et progressistes du monde.

Il revient donc aux Israélites, aux Juifs, aux Khazars de dire qu’ils se démarquent d’Israël, de sa définition éthno-religieuse et de sa politique. Il y eu bien des Allemands anti-hitlériens.

3 / Le sionisme

Le sionisme n’est pas un état naturel, c’est un choix personnel comme celui d’être nazi ou de pratiquer l’apartheid.

Un état naturel, c’est être ce que l’on est par naissance ou après sa naissance le fait d’être admis d’office par sa famille dans un collectif humain. Mais cela ne concerne que les années de l’enfance et réclame une confirmation à l’âge de raison ou adulte.

On ne naît pas annexionniste, raciste, suprématiste, pourfendeur des droits universels fondamentaux. Et il ne suffit pas limiter ses victimes à une seule catégorie humaine pour affirmer :

« je ne suis pas raciste, mais je dois exproprier les Palestiniens et les priver de droits égaux aux miens ». Tous les êtres humains sont égaux en droits fondamentaux et en dignité et tous ont droit à un respect égal.

Le sionisme n’est pas une religion, ce n’est pas une origine, ce n’est pas l’appartenance forcée à un État raciste ; il est un choix politique personnel qui se traduit par l’adhésion volontaire et active à la réalité et à l’idéologie d’un État artificiel, colonial, raciste, ethno-théocratique. C’est comme le fait de choisir d’être Nazi en 1930 et plus tard en Allemagne.

Le raciste sioniste est le bénéficiaire direct des actes infâmes, du rapt, des crimes, du brigandage qu’il commet aux dépens d’autres êtres humains – palestiniens dans ce cas de racisme. Ses choix nauséabonds viennent à l’appui d’un désir de confort matériel ou moral pervers et de bien-être mal acquis.

Puis il y a un autre sens du terme sioniste :

Ce n’est pas celui du bénéficiaire direct, c’est le sens qu’on applique parfois imprécisément aux soutiens du sionisme : les pro-sionistes.

Trump n’est pas Khazar, il n’est pas Sémite, il n’est pas Juif, il n’est pas Israélite, mais il est pro-sioniste par conviction ou par intérêt personnel. Mais un intérêt autre que celui d’aller vivre en terre palestinienne : c’est une perversion de l’esprit qui peut concerner aussi des Khazars ou Juifs ou encore des Israélites qui n’envisagent pas d’aller s’installer en Palestine, sur une terre confisquée aux autochtones.

Cela aussi est un choix politique personnel, analogue à celui que firent les pro-nazis en France, en Angleterre, au Usa pendant la Seconde Guerre mondiale. C’est aujourd’hui celui politiciens ; c’est aussi celui de certains députés français qui se sont réunis pour chanter l’hymne israélien tout en sachant que cet État est colonial, raciste et ethno-théocratique.

Ils y trouvent un intérêt électoral ou autre… à moins que cela leur vienne d’un sentiment à l’inverse extrême de l’« antisémitisme » celui qui a animé certains Français dans les années noires de l’Occupation.

Suite à toues ces explications, je le dis et je le confirme : FINKELKRAUT est un pro-sioniste et il est porteur, propagateur d’idées infâmes, contraire à l’égalité universelle des droits de l’homme fondamentaux.

Certes, il a profité et profite d’un réseau d’appuis qui lui ont permis d’être nommé académicien et d’avoir accès aux médias main-stream : cela ne le rend pas plus sympathique ni idéologiquement moins dangereux pour la démocratie et pour la France.

Notre pays, ses représentants et tous ses citoyens devraient renoncer définitivement et radicalement à TOUTES les formes de racisme, sans en choyer aucune… le racisme anti-palestinien par exemple, qui serait moins grave. On est pour ou contre LE racisme, un point c’est tout.

Pour ces raisons, le terme « antisémitisme » est un terme fourre-tout, confusionniste, limite raciste. À sa place il faut stigmatiser tout simplement le « racisme » ou si, l’on parle d’un cas de figure particulier l’« anti-Judaïsme » ou l’« anti-religion israélite ».

De même, être anti-sioniste est un honneur, voire un devoir pour tout démocrate et partisan de l’universalité des droits humains fondamentaux.

De nos jours, en Israël-même, des gens très respectables, pour tant nés sur place, condamnent le sionisme avec véhémence et demandent le changement de nature de cet État raciste et annexionniste… et certains voudraient nous interdire de le faire en France : on assiste assurément à de graves dérives et régressions démocratiques… surtout quand on veut assimiler des protestations des Gilets Jaunes à un courant d’idées raciste : en réalité, ce sont des racistes français contemporains qui, se sentant en position de force, poussent à l’amalgame, à l’inversion des valeurs.

Le sionisme, idéologie officielle de l’État d’Israël, propagé en France par CRIF, l’UERJF et d’autres associations, veut créer en France une discrimination à l’égard des Arabes et des Musulmans français, identique à celle exercée en Israël. On voudrait qualifier les opposants à cette idéologie à un racisme – ce qui est totalement faux.

Il s’agit juste de criminaliser les opposants politiques. Or des États créés dans les mêmes conditions qu’Israël, à la suite de la seconde guerre mondiale ont disparu sans que cela porte atteinte à leurs habitants : République Démocratique d’Allemagne, République du Sud Vietnam, les colonies de la France et de l’Angleterre, etc. De toute façon, tous les États sont historiquement mortels.

Appeler de ses vœux la disparition d’un État colonial, religieux, raciste, ségrégationniste est une qualité humaine appréciable.

Assimiler antisionisme et racisme est un vrai racisme, bien hideux et qui n’ose pas montrer son vrai visage basé sur « une classification à degrés des êtres humains », contraire à la déclaration universelle des droits fondamentaux humains.

Or Monsieur Finkelkraut défend des positions contraires qui s’inscrivent dans la haine séculaire de l’Islam en Europe. Haine qui s’est développée lors de l’Europe des Lumières sous la forme de colonialisme, puis durant la période de l’impérialisme et actuellement de la Françafrique ou de la MacronAfrique.

Actuellement, en France, la population arabe, sud-Saharienne ou asiatique bien qu’ayant obtenu la citoyenneté pour certains depuis 1630 et d’autres depuis 1847, n’est toujours pas équitablement représentés dans les instances de l’État.

Finklekraut va plus loin : lui, le Khazar de Pologne, Français de relativement fraîche date (comme Éric Zemmour au nom arabe) pense qu’il ne faut pas octroyer à ces citoyens français une place à la mesure de leur poids démographique parce qu’ils sont « inintégrables« , parce qu’ils ne soutiennent pas la légitimité de l’État d’Israël et parce qu’ils ajoutent à la culture et à l’histoire françaises des ouvertures supplémentaires sur le vaste monde.

 Mais lui-même, se considère-t-il comme Israélien ? Il sait bien que c’est un État racial et colonial, alors ? Accepte-t-il l’universalité de notre « liberté, égalité, fraternité » ?

Pourquoi toujours mélange-t-il des discours de nature différente comme la collaboration pendant l’occupation allemande en France, le racisme anti-Khazar et anti-Juif de l’occupation, avec la religion israélite, avec son histoire personnelle de Polonais, avec l’existence et la politique ségrégationniste actuelle de l’État artificiel d’Israël ?

S’il est aussi fervent du sionisme, pourquoi ne va-t-il pas s’installer en Israël ? N’est-ce pas là le fond de l’idéologie sioniste ?

Pourquoi, avec BHL, assimile-t-il les gens parmi les plus pauvres et un peu moins pauvres, les Gilets jaunes, qui réclament une vie un peu meilleure à des racistes ?

On nous met sous le nez les statistiques choquantes des actes « antisémites » (je n’accepte pas ce mot parce qu’il est fourre-tout et confusionniste). Mais je refuse tout racisme y compris celui-là.

Mais, pourquoi n’y a-t-il pas de statistiques rigoureuses des autres formes du racisme qui sont pourtant les plus puissantes et les plus permanentes, institutionnelles ? Où sont, en nombre respectif de la présence ethnique et religieuse, les directeurs de chaînes TV, les membres du CAC40, les députés, les Sénateurs, les dirigeants, les maires, les présidents de région, les médecins, les avocats, etc. etc. issus des minorités que l’histoire de France a réunies en un tout plein de promesses ?

Pourquoi les statistiques ethniques s’arrêtent-t-elles aux « Sémites » ? Et les Asiatiques ? Et les Noirs ? et les Latinos ? Et les Arabes ? Ne faut-il pas en plus ajouter la liste des religions ?

Je lui pose sincèrement ces questions parce que j’ai en tête la définition humoristique qui définit le sioniste fortuné des pays occidentaux comme quelqu’un qui donne de son argent pour envoyer des Khazars, Juifs ou Israélites déclassés d’Europe ou d’Amérique pour aller tuer des Palestiniens, les chasser de leur terre et s’enrichir.

La vérité est que le plus grand nombre des Khazars, des Juifs, des Israélites occidentaux reste là où ils sont. Et beaucoup de ceux qui sont partis retournent dans le pays où ils ont fait racine depuis des siècles.

D’autres vivent toujours en Israël, dans cette terre des autres qu’ils se sont promise et ils y sont pauvres et malheureux. Bien sûr, d’autres y ont fait fortune sur le sang et le malheur des Palestiniens : depuis longtemps, sur terre, il n’y a pas de terre vacante ; si on en confisque, c’est aux dépens des droits humains fondamentaux des autres.

Mais même en étant pragmatique, pourquoi Israël actuel ne deviendrait-il pas un État multiculturel, multi ethnique, multi religieux respectant l’égalité de tous les êtres humains, réfugiés de retour chez eux, anciens et nouveaux habitants, tous également citoyens ? Un État où toute acquisition de terre se paie à son propriétaire, de gré à gré.

Et qu’on ne vienne pas m’accuser d’antisémitisme ou d’Islamisme : je suis sémite, athée et un marxiste admirateur convaincu des Juifs-Khazars antisionistes Karl Marx, Léon Trotsky, ou encore Einstein et Sigmund Freud et bien d’autres… Je refuse le terme raciste sélectif d’antisémite et je me revendique celui d’antiraciste radical.

Je pense que dans sa jeunesse, Finkelkraut qui ne porte pas un nom très français (un peu comme moi : Ouahhabi) a accumulé de son enfance, de sa famille une haine-réponse à des humiliations séculaires et qu’il reporte sur des êtres qu’il sent plus faibles et attaquables sans grand risque : les Gilets jeunes, les Arabes, les Musulmans, les Noirs, les asiatiques peut-être.

Je l’appelle à plus de fraternité et à un sens renforcé de l’égalité entre citoyens français, entre tous les êtres humains quels qu’ils soient. Égalité de moyens offerts à chacun et fraternité humaine sans condition ni de religion ni de préférence culturelle.

La honte, je la ressens quand je vois mon État français trouver des prétextes pour poursuivre la ségrégation dans un large amalgame contre les classes laborieuses, les pauvres ou à peine moins pauvres, contre les anciens indigènes, les anciens Franco-Musulmans, les anciens Arabes, les anciens Maghrébins, les anciens Beurs, les Noirs, les Asiatiques, ceux actuellement dits « des quartiers ».

Le racisme massif en France, le racisme institutionnel est dirigé contre eux : je ne parle pas de la formulation des lois, mais du résultat de la répartition des richesses et du pouvoir constaté sociologiquement. Pour légitimer la ségrégation de classe propre au capitalisme flamboyant et sa haine des pauvres, on tente d’embarquer ces derniers dans un racisme ethnique.

La vérité est que les inégalités ont atteint le niveau prévu par Marx, celui des sociétés monopolistes où des groupes capitalistes sont plus puissants que nos États, celui où les intérêts particuliers priment sur l’intérêt général. Le Capital fait feu de tout bois pour cliver, pour semer la zizanie entre ses victimes et perpétuer sa domination de plus en plus inhumaine.

Je sais que ce post va appeler des commentaires furieux de ceux qui considèrent qu’il ne faut pas toucher à l’ordre inégalitaire établi. Je vais les ignorer. Si quelqu’un veut vraiment m’apporter des arguments sincères et sereins, je suis prêt à les considérer ouvertement et en profiter. Nous sommes dans un pays cartésien et j’appelle les critiques rationnelles comme des aides.

 

 

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