Thursday, February 28, 2019

Charte du Réseau juif antisioniste international

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Emmanuel Macron veut adopter une définition de l’antisémitisme élargie à l’antisionisme. Depuis longtemps, les partisans d’Israël ne ménagent pas leurs efforts pour assimiler ces deux concepts pourtant forts différents.

Le but ? Criminaliser la critique du colonialisme israélien et les exactions perpétrées contre les Palestiniens. Il existe pourtant de nombreux juifs antisionistes. Nous reproduisons d’ailleurs ici la charte du Réseau juif antisioniste international.

Emmanuel Macron les considèrent-ils aussi comme des antisémites ?

Charte du réseau international juif anti-sioniste IJAN International Jewish Anti-Zionist Network

  • Nous formons un réseau international de Juifs et de Juives qui s’engagent de façon inconditionnelle en faveur de la lutte pour l’émancipation des êtres humains. Nous considérons que la libération du peuple palestinien et de sa terre forme un volet essentiel de cette émancipation. Notre engagement porte sur le démantèlement du régime d’apartheid israélien, le retour des réfugiés palestiniens et la fin de la colonisation israélienne sur la Palestine historique.
  • Le nettoyage ethnique historique et toujours en cours perpétré par Israël à l’encontre du peuple palestinien sur sa propre terre vient contredire et trahir cette longue histoire de la participation juive à des mouvements collectifs de libération.
  • Le sionisme – idéologie fondatrice de l’Etat d’Israël et qui en est le soutien actuel, est issu du colonialisme européen et s’est diffusé à la suite du génocide nazi. Le sionisme s’est nourri des épisodes les plus violents et oppressifs de l’histoire du dix neuvième siècle, marginalisant ainsi l’engagement de nombreux Juifs dans les mouvements de libération. Pour retrouver une place au sein des vibrants mouvements populaires actuels, il faut mettre fin au sionisme sous toutes ses formes
  • En conséquence, le sionisme nous implique dans l’oppression du peuple palestinien et porte préjudice à notre propre héritage, à nos luttes pour la justice et à nos alliances avec nos semblables.
  • Nous nous engageons à : Nous opposer au sionisme et à l’État d’Israël. Le sionisme est raciste. Il exige l’allégeance à un ordre politique, juridique et économique qui privilégie et valorise les Juifs ainsi que les Européens et leurs cultures par rapport aux peuples autochtones et à leurs cultures. Le sionisme n’est pas seulement raciste, il est aussi antisémite. Il reprend à son compte l’imagerie européenne et antisémite du “Juif de la diaspora” efféminé, cupide et faible, et lui oppose celle d’un “Nouveau Juif”, violent, militariste et sexiste, un Juif qui est l’auteur d’une violence raciale plutôt que d’en être une victime.
  • Le sionisme perpétue l’exception juive. Pour justifier ses crimes, le sionisme présente une version de l’histoire juive déconnectée de l’histoire et de l’expérience d’autres peuples. Il promeut un narratif selon lequel l’holocauste nazi est exceptionnel dans l’histoire de l’humanité. Il place les Juifs à part, par rapport aux victimes et aux survivants d’autres génocides, au lieu de nous unir à eux.
  • Le sionisme prétend que la sécurité des Juifs repose sur un état juif militarisé. Mais Israël ne met pas les Juifs en sécurité. Sa violence garantit l’instabilité et la peur pour ceux qui sont sous sa sphère d’influence, et met en danger la sécurité de tous, y compris des Juifs, et ce bien au-delà de ses frontières. Le sionisme a volontairement participé à créer les conditions qui ont conduit à la violence à l’encontre des Juifs dans les pays arabes. L’hostilité née de la violence israélienne et de la domination militaire sur les Juifs vivant en Israël et ailleurs est utilisée pour justifier encore plus de violence sioniste.
  • Nous nous engageons à : Rejeter l’héritage colonial et l’expansion colonialiste en cours. Dès l’instant où le mouvement sioniste a décidé de bâtir un état juif en Palestine, il est devenu un mouvement de conquête. A l’instar de tous les mouvements de conquête et des idéologies colonialistes en Amérique ou en Afrique, le sionisme s’appuie sur la ségrégation entre les peuples ; par la confiscation de la terre, il s’engage dans le nettoyage ethnique qui repose sur une violence militaire implacable.
  • Nous nous engageons à : Nous opposer aux organisations sionistes. Non content de donner forme à l’Etat d’Israël, le sionisme a fondé sa politique internationale de domination militaire et d’hostilité envers ses voisins et a instauré un réseau mondial complexe d’organisations, de lobbys politiques, d’entreprises de relations publiques, de clubs universitaires, et d’écoles pour appuyer et propager les idées sionistes au sein des communautés juives et dans l’opinion publique de façon générale.
  • Un réseau international d’institutions et d’organisations sionistes appuie l’armée israélienne par des financements directs. De plus, ces organisations fournissent un soutien politique nécessaire à la légitimation et à la promotion de leurs visées politiques et de leurs projets humanitaires. Dans certains pays, ces organisations censurent toute critique envers Israël et ciblent des individus et des organisations qui sont mis sur listes noires et sont victimes de violences, d’emprisonnement, de déportation, de privation d’emploi et d’autres sanctions économiques.
  • Ces organisations diffusent l’islamophobie. Agitant l’épouvantail de la guerre à l’étranger, elles instaurent une législation répressive dans leurs propres pays. Aux Etats-Unis et au Canada les groupes sionistes ont aidé à faire passer la législation « antiterroriste », exposant ainsi à des poursuites judiciaires pour aide au terrorisme et trahison, toute activité favorable au boycott, au désinvestissement et aux sanctions contre Israël ainsi que le soutien aux organisations palestiniennes, iraniennes, iraquiennes, libanaises et musulmanes. En Europe et aux Etats-Unis, des groupes soit disant « juifs » sont désormais au premier rang de l’appel à la guerre contre l’Iran.
  • Mais l’édifice sioniste et celui de la suprématie mondiale des Etats-Unis se fissurent. A la suite de l’extraordinaire résistance de la Palestine et du Sud Liban à l’agression et à l’occupation israélienne et américaine, qui ont tenu en dépit de ressources limitées et de nombreuses trahisons, le mouvement international de solidarité avec les Palestiniens en lutte contre la politique des USA et d’Israël prend de l’élan.
  • En Israël, cet élan est visible dans une contestation croissante qui ouvre la voie à la revendication d’un double héritage des années 60 celui du Matzpen, organisation israélo-palestinienne, juive et antisioniste et celui du parti Mizrahi des Panthères Noires. Plus largement, le refus de la conscription obligatoire dans l’armée israélienne est croissant dans la jeunesse.
  • La propagande de la guerre occidentale contre le terrorisme sert de caisse de résonance à l’islamophobie de l’élite indienne et fournit aux régimes du Moyen Orient et de l’Asie du Sud-ouest une opportunité pour réprimer sévèrement toute dissidence. Malgré cela, des soulèvements populaires et des chapitres glorieux des luttes anti-coloniales remettent en question cette alliance et devraient lui porter un coup fatal.
  • Nous nous engageons à : Etre solidaires et à travailler pour l’apaisement et la justice. Nous sommes engagés aux côtés du peuple palestinien pour sa libération et son autodétermination. De tout notre cœur, notre volonté et notre énergie politique nous soutenons la résistance du peuple palestinien dans toute sa diversité et sa vaillance et nous faisons front à l’injustice dont sont coupables les pays où nous vivons.
  • Nous soutenons sans équivoque le Droit au Retour des Palestiniens sur leur terre. Nous appelons à l’abrogation du droit au retour raciste israélien qui privilégie le droit de toute personne se déclarant juive de s’installer en Palestine tout en privant les réfugiés palestiniens de ce droit.
  • Nous nous engageons à soutenir la justice pour guérir les blessures infligées par la force et par le droit colonial en Palestine et dans l’ensemble de la région ; pour guérir les traumatismes qu’ont subi les Juifs en Europe et dont se sert le projet sioniste, pour guérir les peurs et privations endurées dans des massacres au fil des années ainsi que les manipulations de la culture et des ressources exercées dans le but d’exploiter les Juifs Mizrahi et de les séparer des Palestiniens.
  • La justice pour laquelle nous travaillons est à construire par ceux, partout en Palestine, y compris en Israël et par les réfugiés palestiniens, dont la lutte pour l’autodétermination leur apportera l’égalité et la liberté ainsi qu’aux autres habitants des alentours.
  • Nous vous appelons à nous rejoindre. Ces engagements nécessitent la construction d’un mouvement juif uni à l’échelle internationale, qui s’oppose au sionisme et à sa volonté de vouloir parler au nom de tous les Juifs. Face à un adversaire international il ne suffit pas de travailler au niveau local, ni au niveau national. Nous devons trouver des moyens d’agir ensemble par delà les frontières géographiques, sectorielles et linguistiques. Il y a place pour toutes sortes d’initiatives et d’organisations, existantes ou nouvelles, qui puissent travailler en toute indépendance et conjointement, en soutien mutuel et en collaboration.
  • Etes-vous contre le racisme sous toutes ses formes ? Alors, nous vous appelons à nous rejoindre pour mettre fin à l’apartheid israélien.
  • Pour que sur cette planète on puisse vivre dans la sécurité, la justice et la paix, il faut mettre fin au projet colonial israélien. C’est avec joie que nous nous lançons dans le travail de sape collective d’un système de conquête et de destruction qui a fait souffrir notre monde pendant trop longtemps.

 

Voir International Jewish Anti-Zionist Network (IJAN) 

 

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Wednesday, February 27, 2019

La citation : Celui qui pratique …

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La citation : Celui qui pratique …

Lors du jour du jugement, nous serons interrogés sur notre jeunesse.

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Tuesday, February 26, 2019

La France contre la décision britannique de blacklister le Hezbollah

L antisionisme fer de lance du combat contre l’antisémitisme

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Il n’y a pas plus sécurisant pour la communauté juive que le Parti Anti Sioniste 

Nous avons toujours séparé le judaïsme « des lumières et de la paix », du sionisme colonisateur et criminel.

Nous avons éveillé les consciences dans le combat contre l’antisémitisme.

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Monday, February 25, 2019

L’Arabie Saoudite sur la « liste noire » du blanchiment d’argent de l’UE

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Le 13 février dernier, la Commission européenne a mis à jour sa liste actualisée des États ou juridictions présentant des carences en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme.

Bruxelles a proposé d’ajouter sept pays, en particulier l’Arabie Saoudite, à cette « liste noire ».

Celle-ci comprend d’autres nouveaux venus comme le Panama, ainsi que quatre territoires étasuniens (les Samoa américaines, les îles Vierges américaines, Porto Rico et Guam) qui côtoient désormais la Libye, le Botswana ou encore le Ghana déjà présents sur cette liste parmi une quinzaine d’autres pays.

La proposition devra encore recevoir l’aval du Parlement européen et des pays de l’UE, dont certains comme la France et le Royaume-Uni ont exprimé des réserves sur cette nouvelle liste de 23 pays à « haut risque ».

« Ils souhaitent ménager leurs relations commerciales avec Riyad », confie une source européenne. « Nous contestons la méthode de la Commission, réagit un des pays concernés. Non seulement les critères de la Commission sont plus exigeants que ceux du Groupe d’action financière (Gafi) », dont la liste noire ne comprend que 11 pays au total, « mais son approche est beaucoup plus punitive. En effet, le Gafi laisse du temps au pays pour rectifier ce qui doit l’être, avant de l’inscrire sur sa liste alors que la Commission ne donne pas ce temps ».

« Nous avons mis en place les normes les plus strictes au monde en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux », a fait valoir la commissaire européenne en charge des questions de justice, Vera Jourova, consciente des critiques formulées sur la méthode.

« Nous avons mis en place les normes les plus strictes au monde en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux », a-t-elle insisté, ajoutant que « l’argent sale est le moteur de la criminalité organisée et du terrorisme ».

Le fait de se retrouver sur cette liste ne déclenche pas de sanctions, mais il oblige les banques européennes à appliquer des contrôles renforcés sur les opérations financières impliquant des clients ou des établissements financiers dans ces pays.

Le Parlement européen et le Conseil ont un délai d’un mois à partir du 13 février – susceptible d’être étendu à deux mois – pour accepter ou rejeter en bloc cette liste. Pour que ce dernier cas se réalise, il faudrait que la moitié des états membres s’opposent à la nouvelle liste, et alors ce serait la liste noire précédente qui s’appliquerait.

Le gouvernement saoudien a déclaré qu’il regrettait cette décision et le ministre saoudien des Finances Mohammed Al-Jadaan cité par l’agence de presse du Royaume, a ajouté : « L’engagement de l’Arabie Saoudite dans la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme est une priorité stratégique pour le Royaume. Nous allons continuer à développer et améliorer notre cadre réglementaire pour parvenir à cet objectif ». Un comble quand on sait à quel point Riyad est notoirement impliqué dans le financement des groupes terroristes qui ensanglantent la Syrie et l’Irak.

Selon Reuters, Londres a mené bataille pour exclure l’Arabie Saoudite de cette liste et l’AFP écrit que « les réticences de capitales comme Paris ou Londres sont interprétées par certains comme une volonté de ne pas envenimer les relations avec certains pays. Notamment celles avec l’Arabie Saoudite ».

En effet, le royaume saoudien est un important importateur de marchandises et d’armes de l’UE et plusieurs grandes banques britanniques sont présentes dans le pays, dont la puissante et influente HSBC.

Malgré de nombreux efforts déployés pour améliorer son image au niveau international, largement ternie par l’affaire khashoggi ou encore la guerre meurtrière qu’il mène contre le peuple yéménite, le royaume wahhabite continu de payer les conséquences de sa politique de soutien et financement du terrorisme.

 

Le Parti Anti Sioniste se félicite de cette décision de la Commission européenne, et de toutes sanctions qui frapperaient le régime criminel de Riyad, responsable de tant de massacres au Yémen et en Syrie.

Il serait temps que ce royaume de la barbarie soit mis au ban de la communauté internationale et que ses dirigeants soient jugés et condamnés pour les crimes dont ils se sont rendus coupables.

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Antisémitisme, Antisionisme, Wahhabisme – PAS l’Info

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PAS l’Info décrypte l’actualité ! Saison 9 Émission N°23 (24/02/19) (VIDEO)

National / Instrumentalisation de l’antisémitisme par le CRIF et Macron ; Alain Finkielkraut : un agent provocateur ?

International : Une marine saoudienne made in France ? ; NBC news révèle un plan secret entre Trump et le prince saoudien !

Brèves : Vers une nouvelle Guerre Froide ? ; ONU : Israël accusé de crimes de guerre ; Les permis d’exploration minière menacent la forêt guyanaise ! ; Des rats cyborgs contrôlables par la pensée !

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Sunday, February 24, 2019

L’oeuvre…

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L’oeuvre…

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L’actualité de la semaine en images ( 24/02/2019 )

Après l’UE, l’ONU condamne la répression des gilets jaunes

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Alors que de nombreuses voix venant de toutes parts s’élèvent contre la répression du mouvement des « gilets jaunes » par les autorités françaises, le Parlement européen et les Nations unies ont dénoncé les restrictions à la liberté de manifester et l’usage excessif de la force.

Une résolution votée jeudi 14 février dernier par les députés européens condamnait la violence excessive employée par les forces de police à l’encontre des manifestants, et visait particulièrement la France, sans la nommer, en raison du nombre et de la gravité des blessures infligées par la police aux gilets jaunes.

Dans la foulée de cette résolution (votée par 438 voix pour, 78 contre et 87 abstentions), ce sont les experts de l’ONU qui ont à leur tour dénoncé les restrictions «disproportionnées» des droits des manifestants lors des mobilisations des Gilets jaunes.

En effet, dans un communiqué de presse diffusé jeudi 14 février, sur le site du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme, un groupe d’experts indépendants de l’Onu, a indiqué que « le droit de manifester en France avait été restreint de manière disproportionnée lors des mobilisations des Gilets jaunes », et que « Paris devrait revenir sur ses politiques de maintien de l’ordre pour garantir l’exercice des libertés ».

Les experts soulignent que le fait de garantir l’ordre public pendant les mobilisations «implique la nécessité de respecter et de protéger les manifestants qui se rendent pacifiquement à une manifestation pour s’exprimer».

Dénonçant le nombre d’interpellations, de gardes à vue, de fouilles et de blessés, les experts s’inquiètent «de constater qu’après des semaines de manifestations, les restrictions et tactiques de gestion des rassemblements et le recours à la force ne se sont pas améliorés». Ils critiquent en outre l’«usage disproportionné» dans les manifestations d’armes dites « »non-létales », tels que les grenades et les lanceurs de balles de défense».

La dernière loi dite «anticasseurs», votée par l’Assemblée nationale le 5 février, a également été stigmatisée par ce comité d’experts. Pour eux, certaines dispositions ne seraient pas conformes avec le Pacte international relatif aux droits civils et politiques. «Des dispositions [qui] pourraient être appliquées de manière arbitraire et conduire à des dérives extrêmement graves», argumentent-ils.

Les experts ont conclu en encourageant «les autorités françaises à ouvrir des voies de dialogue afin d’atténuer le niveau de tension et de reconnaître le rôle important et légitime que les mouvements sociaux jouent dans la gouvernance».

L’État français a répondu à la colère populaire exprimée par les Gilets jaunes avec une répression et une violence fortes, ce qui a suscité la stupéfaction tant du peuple français, que des observateurs étrangers, y compris de la part d’organisations internationales d’envergure, telles que l’ONU ou Amnesty international.

 

Le Parti Anti Sioniste condamne l’escalade de la répression en France et exprime sa solidarité avec le peuple français. Nous l’appelons à continuer à résister, de manière pacifique et à lutter contre ces politiques néolibérales qui ont engendré des inégalités énormes dans notre société, comme partout dans le monde d’ailleurs.

Bien que nous soyons conscients que le maintien de l’ordre soit une tâche délicate pendant les manifestations et qu’une infime minorité de manifestants ont commis des actes violents et illégaux, les autorités doivent assurer la sécurité de tous et veiller à ce que le droit de manifester pacifiquement soit respecté. Elles doivent prendre des mesures légales et proportionnées pour protéger la vie et l’ordre public, en évitant de recourir à une force excessive.

Il est inacceptable que dans un pays comme la France, des citoyens innocents, des femmes, des personnes âgées ou des manifestants pacifiques, se retrouvent éborgnés, mutilés, ou gravement blessés, uniquement du fait d’avoir voulu exprimer leur exaspération face à un système dont ils ne veulent plus et pour avoir exigé du gouvernement qu’il réponde à leurs aspirations.

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Témoignage et vision de Yahia GOUASMI

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Témoignage et vision de Yahia GOUASMI

Ce Direct abordera 3 thèmes :

Témoignage et vision de Yahia GOUASMI

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– Qui est Yahia Gouasmi et quelle est son histoire ?

– Pourquoi l’humanité en est-elle arrivée là ?

– Vision sur l’actualité !

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Saturday, February 23, 2019

La citation : Ô mon fils ! …

Macron prisonnier du CRIF

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Le CRIF oblige l’exécutif français à l’amalgame #antisionisme/#antisemitisme.

Voyez cette main soulevée par le « Kalifat » sioniste, qui déshonore notre pays.

Objectif: museler le peuple de France. C’est cela la liberté #sionisme

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L’antisémitisme est une injustice – Analyse du 22 Février 2019

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L’antisémitisme est une injustice – Analyse du 22 Février 2019

L’Islam abroge-t-il les Livres révélés antérieurement ? Quel doit être notre attitude vis à vis des gens de manière générale ? Que penser de la lutte contre l’antisémitisme ?

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Venezuela : les USA envoient des lots d’armes à l’opposition au nom d’aides humanitaires

Une dent contre la santé ?

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Nous connaissons le fluor par rapport au dentifrice et à ses effets bénéfiques sur les dents, or récemment, on se rend compte qu’il présente aussi de nombreux effets nocifs pour la santé.

C’est quoi ? A quoi sert-il ?

 Le fluor est un gaz halogène, il est très instable mais aussi l’élément chimique le plus réactif (électronégatif), alors de ce fait, il n’existe pas sous sa forme isolé dans la nature.

Il a également la capacité d’augmenter la solidité des os ainsi qu’une propriété “anti-caries”, un effet qui a même été reconnu par l’OMS. Mais ses bénéfices sont largement surestimés par le monde médical.

Où le trouve-t-on ?

Pour commencer, le fluor peut se trouver dans les produits toxiques pour les animaux, par exemple dans les insecticides, la « mort aux rats », …

Deuxièmement il se trouve aussi dans des produits moins connus de tout le monde comme le  Prozac, le Rohypnol et pour finir dans la quasi-totalité des ISRS (antidépresseurs).

De plus il est aussi présent dans certains médicaments, surtout dans les kits pour bébé (Fluor, Vitamine K, Vitamine D), alors qu’il y en a aussi dans les psychotropes ou encore dans les anesthésiques.

Pour terminer, sa présence la plus connue est dans le sel de table, le thé,  le dentifrice mais encore dans la plupart des eaux en bouteilles.

Les effets négatifs : les dangers

D’abord, le fluor comporte aussi des effets négatifs tels que la fluorose dentaire (taches sur les dents qui ensuite provoquent des caries chez le patient).

« Les fluoroses qu’on voit en France, dans 80% des cas, ce sont des enfants qui ont avalé du dentifrice à trop forte dose. »

Effectivement, le fluor ingéré à forte dose peut engendrer de sérieux problèmes dont le plus connu est la fluorose dentaire, mais encore de graves problèmes osseux. Une étude française révèle ainsi que 45% des 4/12 ans ont des apports excessifs en fluor.

Il y a encore des dangers plus conséquent tels que la diminution de la fertilité, le cancer, la chute de cheveux, la baisse de solidité des os pouvant même aller jusqu’à les casser, et pour terminer, l’hypothyroïdie (plus de production suffisante d’hormones thyroïdiennes de la part de la glande thyroïdienne).

Souvent, nous entendrons dire que ce problème du fluor est vrai mais seulement à grande quantité ou encore, que le fluor est indispensable pour la santé dentaire. Cela est inexact car le fluor est toxique et dangereux même à très faibles doses, ensuite le fluor n’est pas indispensables parce que le fait que des caries nous surviennent vient de la consommation de sucres raffinés et rien d’autre, les résultats montrent même qu’on a moins de caries quand l’on utilise du sucre complet que quand nous mangeons du sucre raffinés tout en prenant du dentifrice contenant du fluor.

« S’il y a donc un moyen efficace de faire diminuer les caries des enfants, c’est évidemment le remplacement des sucres raffinés présents partout, par du sucre complet ou d’autres sucres naturels (fruits, miels, sirops végétaux). Il faut reconnaître que le fluor a un effet “anti-caries”, mais celui-ci est largement surestimé par le monde médical. »

Comme nous l’explique Mr Goldberg, professeur à l’université de Paris, le problème des caries vient seulement du sucre raffinés et non de l’absence de traitement au fluor.

Un cas intéressant est celui du Dr Hardy Limeback, détenteur d’une maîtrise en sciences et d’un doctorat en biochimie, chef du Département de dentisterie préventive à l’Université de Toronto et président de l’Association canadienne pour la recherche dentaire. Ce docteur était à la base l’un des principaux promoteurs de la fluoration de l’eau potable du Canada, mais 15 ans après, il a remarqué que son avis était mauvais et a affirmé :

« Les enfants de moins de 3 ans ne devraient jamais utiliser de dentifrice fluoré, ni boire de l’eau fluorée. Et, les formules des produits pour bébés ne doivent jamais être faites avec l’eau du robinet de Toronto. Jamais ! ».

De même qu’aux USA, une augmentation de fluor dans l’eau potable a correspondu à un taux de mortalité dû au cancer des os, ou à des tumeurs des cellules squameuses de la bouche.

Selon le chimiste Charles Perkins, si un patient prend du fluor à doses répétées et en grosses quantités, cela diminuerait sa force mentale en le rendant petit à petit docile par le narcotisme, donc ce qui se passe, c’est qu’une petite partie de son cerveau se soumet à ceux qui auront la volonté de dominer le patient.

Et pour finir, le chimiste a également affirmé que le problème de la présence de fluor dans l’eau n’a rien à voir avec la santé dentaire ou celle des enfants.

Ainsi, la toxicité du fluor inquiète désormais les scientifiques du monde entier. De ce fait, de nombreuses personnes se sont lancées dans la production de produits sans fluor tels que le dentifrice.

Alors pourquoi le fluor est-il toujours sur le marché ? Est-ce sous la pression du lobby pharmaceutique qu’on refuse de l’interdire ? Il faut dire que les intérêts financiers sont énormes, mais qu’ils ne doivent pas supplanter l’intérêt général.

Le Parti Anti Sioniste vous invite à prendre conscience de ce problème de la dangerosité de ce produit, pour ensuite protéger nos enfants du danger que représente le Fluor.

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Friday, February 22, 2019

Les Palestiniens organiseront ce vendredi une marche qui sera unique et différente

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Un membre éminent du mouvement Hamas a souligné le jeudi 22 février que la Marche du grand retour, prévue pour vendredi, serait unique en son genre.

« Nous avons le droit à toute la Qods comme à toute la Palestine. Nous n’y renoncerons pas et ne ferons aucun compromis non plus. La voix du peuple est plus forte que celle des politiciens et des dirigeants », a écrit sur page twitter, Hussam Badran, membre du bureau politique du Hamas.

« Demain, les Palestiniens seront en état d’alerte à Qods et en Cisjordanie et nous leur apporterons notre soutien », a souligné Hussam Badran.

« Le régime israélien a tort en croyant que notre peuple ne défendra pas la mosquée al-Aqsa. Le peuple palestinien est aujourd’hui plus fort que jamais et il est capable de surmonter tous les obstacles et de brandir toutes menaces », a-t-il affirmé.

Ce vendredi, les Palestiniens organiseront comme tous les vendredis depuis le 30 mars dernier la Marche du grand retour dans la bande de Gaza.

La marche d’aujourd’hui est baptisée « loyauté aux martyrs de la catastrophe du mausolée d’Abraham.

Le comité national de la marche a pour sa part appelé les citoyens palestiniens à participer, massivement,  à cette marche.

Depuis le 30 mars 2018 marquant le quarantième anniversaire de la Journée de la Terre, les Palestiniens organisent chaque vendredi une marche pacifique pour mettre l’accent sur l’application de la résolution 194 du Conseil de sécurité des Nations unies, dont l’article 11 concerne le droit au retour des réfugiés palestiniens.

Depuis le début de ce mouvement, plus de 260 Palestiniens ont été tués sous des balles tirées par des militaires israéliens et des milliers d’autres ont été blessés.

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Thursday, February 21, 2019

Syrie : 13 terroristes français arrêtés par le renseignement irakien

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Le renseignement irakien a arrêté, lors d’une opération dans les territoires syriens, 13 ressortissants français membres du groupe terroriste Daech.

La chaîne de télévision irakienne Al-Hadath a rapporté ce jeudi 21 février avoir arrêté 13 ressortissants français qui faisaient partie du groupe terroriste Deach.

Lors de cette opération, le renseignement irakien a également réussi à démanteler le plus grand réseau du financement de Daech en Irak.

Plus tôt en janvier, Paris aurait accepté de rapatrier au moins 130 terroristes français de Daech arrêtés dans le nord-est de la Syrie par des Kurdes soutenus par les États-Unis afin qu’ils puissent être jugés en France.

En même temps, le président américain Donald Trump a averti il y a deux semaines les alliés de l’UE sur Twitter, que s’ils n’agissaient pas au plus vite pour faire revenir les ressortissants dans leurs pays respectifs, Washington libérerait au moins 100 membres de Daech qui sont actuellement en détention en Syrie.

Cette libération relève d’une véritable menace sécuritaire à l’encontre des alliés US, estiment les analystes.

Trump a exhorté les alliés de l’Union européenne à reprendre 800 éléments de Daech capturés en Syrie et à les traduire en justice :

« Daech est en déclin et de ce fait, nous appelons les nations européennes à récupérer leurs ressortissants capturés en Syrie. Nous en avons bien trop fait, il est temps maintenant que les autres fassent leur part du travail. »

« Les États-Unis n’ont rien à faire de la manière dont ces terroristes de Daech doivent s’intégrer à la société européenne », a-t-il lancé.

 

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Wednesday, February 20, 2019

Le Groupe Bilderberg contrôle t-il le Président Macron?

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Le saviez vous ? : Le prophète Ibrahim …

NO COMMENT : Qui a intérêt à la montée de l’antisémitisme ?

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Qui a intérêt à la montée de l’antisémitisme ? Car il est clair que la France n’est pas antisémite.

Posez-vous la question de savoir qui est derrière ce crime et ces tags antisémites. Qui a intérêt à ce que les juifs de France quittent leur pays pour Israel ?

Yahia Gouasmi, président du Parti Anti Sioniste

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L’antisémitisme est un crime tandis que l’antisionisme est un devoir

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Comment Israël et le CRIF manipulent la lutte contre l’antisémitisme

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Ce qui intéresse le gouvernement israélien et nombre de ses soutiens n’est pas le combat tout à fait justifié contre l’antisémitisme, comme le prouve le flirt de Benyamin Netanyahu avec des forces d’extrême droite en Europe.

Il s’agit avant tout de dévoyer ce combat pour discréditer la solidarité avec les Palestiniens, comme le prouve le débat sur la définition de l’antisémitisme

Le 6 décembre 2018, le conseil Justice et affaires intérieures de l’Union européenne (UE) adoptait, sans débat, une  déclaration sur la lutte contre l’antisémitisme et la protection des communautés Juives en Europe.

Louable intention, sauf que… l’article 2 de cette déclaration invite les États membres à adopter la définition de l’antisémitisme de l’Alliance internationale pour la mémoire de l’holocauste (IHRA). Pendant la présidence autrichienne de l’UE, de juillet à décembre 2018, Israël et le puissant lobby pro-israélien se sont activés dans le plus grand secret et n’ont ménagé aucun effort pour obtenir ce résultat.

Quelle est donc cette «définition IHRA» qu’Israël et ses soutiens inconditionnels veulent imposer?

En 2015, au lendemain de l’offensive meurtrière israélienne contre la population de Gaza massivement condamnée par l’opinion mondiale, le lobby israélien relance une offensive avortée dans les années 2000, visant à promouvoir une définition de l’antisémitisme intégrant la critique d’Israël. Sa cible: l’IHRA, un organisme intergouvernemental regroupant 31 États, au sein duquel le lobby pro-israélien dispose d’un relais. En mai 2016, l’IHRA a adopté sa «définition» de l’antisémitisme:

« L’antisémitisme est une certaine perception des Juifs, qui peut s’exprimer par la haine envers les Juifs. Les manifestations rhétoriques et physiques de l’antisémitisme sont dirigées contre des personnes Juives ou non-Juives et/ou leur propriété, contre les institutions de la communauté Juive ou les lieux religieux. (traduction de l’Association France-Palestine solidarité (AFPS)

Présentée comme «non contraignante sur le plan juridique», elle est parfaitement indigente, se bornant à préciser que l’antisémitisme «est une certaine perception des Juifs, qui peut être exprimée comme de la haine envers les Juifs». Rien là pourtant d’innocent. Car le communiqué de presse de mai 2016 ajoute: «Pour guider l’IHRA dans son travail, les exemples suivants peuvent servir d’illustration.» Jamais adoptés par l’IHRA, lesdits exemples servent pour la plupart à assimiler la critique d’Israël à l’antisémitisme:

➞ «Les manifestations [d’antisémitisme] peuvent inclure le ciblage de l’État d’Israël», tout en précisant plus loin que «la critique d’Israël similaire à celle qui peut être faite à un autre pays ne peut pas être considérée comme antisémite». Similaire, qu’est-ce que cela veut dire, quand les réalités sont spécifiques, ou pour des associations dédiées à la défense des droits du peuple palestinien?

➞ «Accuser les citoyens Juifs d’être plus loyaux à l’égard d’Israël (…) qu’aux intérêts de leur propre nation». «Les» ou «des»… On n’aurait donc plus le droit de dire que le Conseil représentatif des institutions Juives de France (CRIF) est devenu une annexe de l’ambassade d’Israël?

➞ «Nier au Peuple Juif le droit à l’autodétermination, en prétendant par exemple que l’existence de l’État d’Israël est une entreprise raciste.» La nouvelle loi fondamentale d’Israël réserve le droit à l’autodétermination au seul «peuple Juif». On n’aura plus le droit de la combattre?

➞ «Faire preuve d’un double standard en exigeant de sa part [de l’État d’Israël] un comportement qui n’est attendu ni requis d’aucun autre pays démocratique.» Les situations sont différentes, quel serait le critère?

Un outil de propagande et d’intimidation

Bref, voilà une définition indigente, mais «non contraignante sur le plan juridique», toutefois associée à des exemples très contestables qui n’ont cependant pas été adoptés par l’IHRA… Vu de loin, tout cela n’a guère de sens et ne serait peut-être pas si grave?

Ce serait oublier que nous n’avons pas affaire à un outil de contrainte juridique, mais à un outil de propagande et d’intimidation. Ce qui importe, pour les inconditionnels de la politique israélienne, ce n’est pas d’avoir raison sur le plan juridique, c’est d’insuffler le doute et la crainte d’être traité d’antisémite, de provoquer des discussions à n’en plus finir, de bloquer toute initiative… et de ruiner la réputation de quiconque ne s’y plierait pas.

L’exemple du Royaume-Uni, qui a adopté la définition IHRA dès la fin de 2016, le prouve. Sur la base d’une simple déclaration gouvernementale, le lobby a fait pression pour que le maximum d’universités, de municipalités et de partis politiques adoptent aussi cette définition. Et les conséquences ne se sont pas fait attendre.

Nombre de réunions publiques ont été annulées dans les universités, un professeur a fait l’objet d’une enquête sans aucun fondement, une personnalité travailliste a été exclue du parti…. L’association britannique Free Speech on Israel a sélectionné et documenté huit cas particulièrement caractéristiques sur l’année 2017.

La campagne la plus scandaleuse du lobby pro-israélien en Angleterre a été dirigée contre Jeremy Corbyn: face aux accusations infondées d’antisémitisme dont son leader a été la cible, la pression pour l’adoption de la «définition IHRA» et des exemples associés a été telle que le comité exécutif du Parti travailliste a finalement cédé.

À ce jour, huit États européens ont adopté la «définition IHRA» de l’antisémitisme: la Roumanie, l’Autriche, l’Allemagne, la Bulgarie, la Slovaquie, l’Italie, le Royaume-Uni, ainsi que, hors UE, la Macédoine. Les dégâts, déjà visibles au Royaume-Uni et en Allemagne, sont encore à venir dans nombre de ces pays.

Une stratégie d’impunité

Cette opération n’est pas la première relayée par le CRIF. Elle fait suite à la tentative inachevée de criminalisation de la campagne Boycott-Désinvestissement-Sanction (BDS). Car aucune loi n’interdit en France de boycotter un État dont la politique viole à la fois le droit international et les droits humains.

Sinon, d’ailleurs, les organisateurs du boycott du régime d’apartheid sud-africain auraient été poursuivis; or, aucun ne le fut à l’époque.

Sur des centaines d’actions de boycott, très rares sont celles qui ont été jugées. L’une d’entre elles, à Colmar, a fait de surcroît l’objet d’un arrêt de la Cour de cassation, que la Cour européenne des droits de l’homme pourrait néanmoins retoquer.

D’autant que, pour sa part, la haute représentante de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Federica Mogherini, a clairement précisé:

«L’Union européenne se positionne fermement pour la protection de la liberté d’expression et de la liberté d’association, en cohérence avec la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, qui est applicable au territoire des États membres de l’UE, y compris en ce qui concerne les actions BDS.»

Dans ces campagnes contre BDS comme pour l’adoption de la «définition» de l’IHRA, la manœuvre est cousue de fil blanc: il s’agit de faire taire toute critique de la politique israélienne. C’est que les dirigeants israéliens restent profondément isolés, et d’abord au sein de l’ONU.

L’État de Palestine est entré successivement à l’Unesco (2011), puis à l’Assemblée générale de l’ONU (2012), et même à la Cour pénale internationale (CPI) en 2015. Un symbole: lors du dernier de vote de l’Assemblée générale sur «le droit à l’autodétermination du peuple palestinien, y compris son droit à un État indépendant», le 17 décembre 2018, 172 États ont voté pour et 6 contre (dont Israël, les États-Unis et le Canada, mais aussi les Îles Marshall, les États fédérés de Micronésie et Nauru).

Et cet isolement ne risque pas de se réduire. La droite et l’extrême droite au pouvoir à Tel-Aviv sont en effet engagées dans un inquiétant processus de radicalisation. Profitant du soutien de l’administration Trump et de leur alliance avec l’Arabie saoudite contre l’Iran, elles veulent passer de la colonisation, qu’elles accélèrent, à l’annexion, que plusieurs lois préparent.

À terme, si elles sont reconduites le 9 avril prochain, elles enterreront la solution dite «des deux États» au profit d’un seul, où les Palestiniens annexés avec leurs terres ne jouiront d’aucun droit politique, à commencer par le droit de vote.

La loi fondamentale adoptée le 19 juillet 2018 à la Knesset symbolise cette officialisation de l’apartheid à l’israélienne. Celle de 1992 définissait Israël comme un «État Juif et démocratique»: la nouvelle s’intitule «État-nation du peuple Juif».

Et elle précise: «Le droit à exercer l’autodétermination nationale au sein de l’État d’Israël appartient au seul peuple Juif.» 

Bref, elle renie explicitement la Déclaration d’indépendance qui, le 14 mai 1948, promettait que le nouvel État «assurera[it] une complète égalité de droits sociaux et politiques à tous ses citoyens, sans distinction de croyance, de race ou de sexe».

Les alliances que noue Benyamin Netanyahu avec des populistes et des néofascistes, notamment en Europe, ont également de quoi choquer. Comment accepter qu’un premier ministre de ce pays, qui se réfère si souvent à la shoah pour justifier sa politique, flirte avec des dirigeants qui font l’éloge des collaborateurs des nazis, comme Viktor Orbán, ou prétendent interdire qu’on en parle, comme Jaroslaw Kazcynski, ou se réclament à mots à peine couverts du fascisme, comme Matteo Salvini.

Nul doute que cette fuite en avant ne creuse un peu plus le fossé entre Israël et l’opinion mondiale. Pour preuve les dernières enquêtes réalisées en France. Selon une enquête de l’IFOP, 57% des sondés ont une «mauvaise image d’Israël», 69% une «mauvaise image du sionisme» et 71% pensent qu’«Israël porte une lourde responsabilité dans l’absence de négociation avec les Palestiniens».

Et qu’on ne nous dise pas qu’ils sont antisémites! Sous le titre «Un antisionisme qui ne se transforme pas en antisémitisme», une autre enquête, réalisée par IPSOS montre que les personnes les plus critiques vis-à-vis de la politique d’Israël sont aussi les plus solidaires envers les Juifs face à l’antisémitisme.

Raison de plus pour que la France résiste enfin au chantage à l’antisémitisme. Lorsque l’on critique l’UE, il ne faut en effet jamais oublier que les vrais responsables sont les États, notamment au sein du Conseil de l’Union. Les représentants français y étaient parfaitement armés et avertis.

La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) avait été particulièrement claire dans son rapport annuel sur le racisme paru en mai 2018.

Son avis était défavorable à l’adoption de la définition de l’IHRA pour deux raisons: définir chaque type de racisme est contraire à la tradition juridique française, et, tout en restant vigilant, il faut se garder de toute instrumentalisation de la lutte contre l’antisémitisme.

Pourtant, l’article 2 de la déclaration du conseil Justice et affaires intérieures de l’UE est passé. Il est intéressant à ce stade de rappeler sa rédaction complète:

« Invite les Etats membres qui ne l’ont pas encore fait à approuver la définition opérationnelle juridiquement non contraignante de l’antisémitisme utilisée par l’Alliance internationale pour la mémoire de l’holocauste (IHRA), en tant qu’instrument d’orientation utile en matière d’éducation et de formation, notamment pour les services répressifs dans le cadre des efforts qu’ils déploient pour procéder de manière plus efficiente et efficace à la détection des attaques antisémites et aux enquêtes les concernant. »

Admirons au passage la manipulation de la traduction française («working definition» traduit par «définition opérationnelle») et l’invitation faite aux États membres à former leur police sur des textes qui sont en-dehors de la loi, alors que la règle, pour les déclarations du conseil, est celle de l’unanimité et du consensus.

Comment les représentants du gouvernement français ont-ils pu laisser faire?

Est-ce un effet de l’entrevue accordée au CRIF par la ministre de la justice, Nicole Belloubet, quelques jours avant la décision?

Le consensus n’a été obtenu que par le retrait de la référence aux fameux «exemples». Effectivement, l’article 2 ne fait pas référence aux exemples. Mais il ne dit pas non plus que ceux-ci sont exclus; des responsables de la Commission européenne se sont immédiatement engouffrés dans la brèche.

Finalement, l’ambassadeur de France auprès de l’UE a rappelé officiellement en comité des représentants permanents que le consensus sur l’article 2 ne comprenait pas les exemples. C’était une mise au point utile, qui a été assumée par les autorités françaises et l’AFPS en a fait part, mais elle n’a toujours pas été reprise par la communication officielle des mêmes autorités Françaises…

L’instrumentalisation de la lutte contre l’antisémitisme au service de l’impunité d’un État tiers qui viole tous les jours le droit international est une affaire très grave qui peut profondément miner notre démocratie.

Face à cela, l’attitude de l’exécutif français est encore en demi-teinte et ne permet pas de combattre sérieusement ce danger: en juillet 2017, Emmanuel Macron a lancé devant Benyamin Netanyahu l’amalgame gravissime entre antisémitisme et antisionisme.

Il n’a pas recommencé, mais il n’est pas non plus revenu publiquement sur ses déclarations.

Plus récemment, le CRIF a officiellement demandé au gouvernement français de légiférer contre le boycott et d’adopter la définition IHRA de l’antisémitisme. Le gouvernement n’a pas donné suite, mais il n’a pas non plus signifié officiellement son refus.

Il est temps de dire clairement que la France n’accepte pas que l’État d’Israël intervienne dans ses affaires intérieures.

Dominique Vidal & Betrand Heilbronn –
12.02.19
Source: Orient XXI

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Commentaire

Hadassah BORREMAN

Puisque nous en sommes à la définition de l’antisémitisme, soyons aussi intellectuellement honnêtes. Les conséquences juridiques dans cette déclaration sont dictées sur la base d’une définition ADOPTÉE de l’antisémitisme c.à.d. contre les Juifs, mais non de la définition réelle et étymologique de l’antisémitisme c.à.d. contre les Sémites. Or, les Juifs ne sont pas les seuls Sémites, les Musulmans, les Iraniens, les Arabes et encore d’autres le sont aussi, mais là, on entend aucune mesure de protection en faveur des Musulmans par exemple!

Selon la juste définition, il est clair que l’élaboration de cette déclaration est une manipulation sioniste de plus. En effet, les sionistes, qui sont un mouvement politique et non le Peuple Juif, ni une partie du Peuple, s’ingèrent dans les affaires intérieures des Etats pour leur propagande, et cherchent à siéger dans des hautes institutions internationales. Les Juifs authentique, fidèles à la Thora et aux Sages ne sont pas impliqués dans la politique, et encore moins dans la politique du régime sioniste.

Le fait que le sionisme se revêt de plus en plus d’un vêtement religieux, est pour que le monde, même des Juifs naïfs, fassent l’amalgame entre Juifs et sionistes religieux.

Je suis quand même réjouie que de plus en plus de gens dans le monde ne sont plus dupes et condamnent l’influence sioniste sur nos politiciens.

Un autre fait qui annule la légalité de cette déclaration est que le Peuple Juif est en Exil et Dispersion par Décret Divin, et n’est donc autorisé d’être en masse et d’avoir une domination en Terre Sainte, la Palestine que les sionistes occupent.

A fortiori, les sionistes, qui sont un mouvement politique terroriste dont l’idéologie en contradiction avec le Judaïsme, et qui date de la fin du 19ème siècle, ont encore moins de droit en Palestine, puisqu’ils n’ont pas d’attache avec les ancêtres du Peuple Juif et donc non plus avec leur Terre Sainte, comme ils le prétendent.

Ce qu’ils ont fait, est de l’usurpation de terres des habitants natifs de Palestine pour y ériger leur entité sioniste (avec la complicité de l’ONU en 47) qui n’est pas un Etat légal. C’est un blasphème sur le plan spirituel contre D’, une transgression de la Thora et une violation du Droit International.

A la lumière de cette réalité, nous avons donc toutes les raisons de combattre l’antisémitisme en combattant les sionistes et leurs collaborateurs occidentaux et Arabes, sachant que les antisémites, ce sont les sionistes eux-mêmes, car ils sont contre les Juifs antisionistes, les Musulmans antisionistes, les Iraniens antisionistes, les Arabes antisionistes, etc.

 

Source: http://www.bloggen.be/yechouroun/archief.php?ID=3144178

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ONU: l’entité sioniste accusée de crimes de guerre

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Le Conseil des droits de l’homme des Nations unies va accuser l’entité sioniste de crimes de guerre, pour sa répression sanguinaire des manifestations palestiniennes qui ont lieu dans la bande de Gaza et qui ont tué plus de 190 palestiniens.

Selon le site d’informations en ligne israélien francophone, Times of Israël, citant le groupe de veille pro-Israël UN Watch, la session du 18 mars prochain à Genève verra une série de rapports condamnant Israël et la publication également d’une « liste noire » des entreprises opérant dans les implantations de Cisjordanie occupée.

Citant un officiel anonyme des Nations unies, la Douzième chaîne israélienne d’information a quant à elle déclaré la semaine passée que le rapport devrait qualifier les actions d’Israël de crime de guerre et de crimes contre l’humanité, tout en présentant les protestations palestiniennes comme étant légitimes.

Six Jours, et dans des territoires revendiqués par les Palestiniens.

La rencontre se focalisera probablement sur les conclusions d’une enquête que l’UNHRC a autorisée en mai au sujet des Palestiniens tués par des soldats israéliens lors des protestations le long de la barrière de sécurité avec la bande de Gaza.

Israël a déclaré qu’il n’allait pas coopérer avec l’enquête, selon Times of Israel.

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Tuesday, February 19, 2019

Réunion de Varsovie : Arabe, musulman et sioniste

Nous sommes juifs et nous sommes antisionistes

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Nous sommes juifs, héritiers d’une longue période où la grande majorité des Juifs ont estimé que leur émancipation comme minorité opprimée, passait par l’émancipation de toute l’humanité.

Nous sommes antisionistes parce que nous refusons la séparation des Juifs du reste de l’humanité.

Nous sommes antisionistes parce la Nakba, le nettoyage ethnique prémédité de la majorité des Palestiniens en 1948-49 est un crime qu’il faut réparer.

Nous sommes antisionistes parce que nous sommes anticolonialistes.

Nous sommes antisionistes par ce que nous sommes antiracistes et parce que nous refusons l’apartheid qui vient d’être officialisé en Israël.

Nous sommes antisionistes parce que nous défendons partout le « vivre ensemble dans l’égalité des droits ».

Au moment où ceux qui défendent inconditionnellement la politique israélienne malgré l’occupation, la colonisation, le blocus de Gaza, les enfants arrêtés, les emprisonnements massifs, la torture officialisée dans la loi …
préparent une loi liberticide assimilant l’antisémitisme qui est notre histoire intime à l’antisionisme,

Nous ne nous tairons pas.

La Coordination nationale de l’UJFP, le 18 février 2019

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Monday, February 18, 2019

Une marine saoudienne made in France ?

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Les critiques et les protestations n’ont abouti à rien. Paris reste résolu à assister le royaume wahhabite dans ses crimes commis à l’encontre du peuple yéménite.

Sans renoncer à toutes ces ventes d’armements à Riyad, dénoncée à maintes reprises au sein même de la France, la macronie continue à coopérer avec les sociétés et les industries militaires de l’Arabie saoudite.

Un contrat a été récemment signé entre les deux parties pour le développement des systèmes maritimes du royaume saoudien.

Le groupe industriel français Naval Group a signé un accord de coentreprise avec les Industries militaires d’État d’Arabie saoudite (SAMI) sur la production conjointe de systèmes navals. La société saoudienne sera, avec 51 %, majoritaire dans la coentreprise.

Le protocole d’accord signé, le 17 février, en marge d’un salon international de la défense (IDEX 2019) qui se tient tous les ans à Abou Dhabi, est censé créer une entreprise commune qui construirait et développerait en Arabie saoudite des systèmes navals, selon un communiqué publié par Sami.

« La coentreprise développera, construira et assurera la maintenance de navires de guerre ce qui renforcera le potentiel militaire de la marine saoudienne », a déclaré aux journalistes le directeur de SAMI Andreas Schwer.

La France a vendu en moins de dix ans plus de 11 milliards d’euros d’armements à Riyad, un total qui permet à l’Arabie saoudite de se classer comme le second client de la France en la matière.

Des ONG et des parlementaires français ont appelé à plusieurs reprises à la suspension des fournitures militaires à l’Arabie saoudite à cause de la guerre que mène le royaume wahhabite au Yémen et à l’assassinat par des agents saoudiens en octobre à Istanbul du journaliste dissident Jamal Khashoggi.

Après l’assassinat de Jamal Khashoggi, plusieurs pays européens ont suspendu les fournitures militaires au royaume, considérant que ses dirigeants seraient impliqués dans ce crime.

D’après les données de Wikileaks, la vente de chars français aux Émirats arabes unis, ceux-là même utilisées dans la guerre au Yémen, s’est accompagné du versement de 200 millions de dollars d’argent noir sur des comptes situés dans des paradis fiscaux.

Or, le chef de l’État français a déclaré, en octobre 2018, avec un grand cynisme, que la France avait une politique extrêmement rigoureuse en matière d’armements avec une commission interministérielle de contrôle des armements, qui est présidée par le Premier ministre.

« Nous ne faisons pas partie des fournisseurs sur ces matières-là, de l’Arabie saoudite justement », avait-t-il prétendu.

M. Macron, lorsqu’il démentait ces ventes d’armes colossales à l’Arabie saoudite, semblait avoir oublié les propos de sa ministre des Armées Florence Parly, laquelle avait dit, quelques mois plus tôt, que « les armes vendues à Riyad et à Abou Dhabi ne sont pas utilisées dans le massacre du peuple yéménite ».

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Union contre le sionisme et l antisémitisme

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Les partis de l’« amalgame » s’associent contre l’antisémitisme, alors qu’ils en sont les vecteurs.
« Appel à l’union contre l’antisémitisme », accompagné d’un « Appel à l’union contre le sionisme ».
Courage! cela augmentera votre crédibilité.

Yahia Gouasmi, président du Parti Anti Sioniste à Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste.

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Les diplomates de l’UE s’inquiètent de la « discrimination juridique systématique » en Cisjordanie

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Le journal « Le Monde » a fait part d’un rapport confidentiel sur l’occupation israélienne en Cisjordanie, rédigé par les chefs de mission européens à Jérusalem et Ramallah.

Ce rapport, transmis en juillet 2018 fait état de la différence de traitements entre les colons et les Palestiniens se traduisant par les innombrables et intolérables injustices commises par le régime sioniste israélien sur la population.

Sachant qu’il n’y a aucune chance qu’il soit diffusé, il est destiné au service européen pour l’action extérieure et aux États membres, il demeurera donc lettres mortes à l’instar de tous les rapports similaires antérieurs, dans un bureau exigüe, il finira sûrement par prendre la poussière sur une étagère oubliée.

Les chefs de missions ayant constaté le manque de pourparlers entre Israéliens et Palestiniens depuis 2014, ils se donnent comme but de pallier aux « aspects les plus dysfonctionnels » de la vie quotidienne, pour les Palestiniens privés de leurs droits élémentaires ».

En premier lieu ce document va vérifier « la discrimination juridique systématique » qui touche les Palestiniens.

Il y est écrit que « La Cisjordanie est gouvernée par un régime juridique dual discriminatoire qui s’est, graduellement développé depuis le début de l’occupation israélienne, en Cisjordanie, en 1967 », puis dénonce le fait que « Les individus sont jugés dans des tribunaux différents, sous différentes lois, pour le même délit commis au même endroit, en fonction de leur nationalité ».

Une justice à deux poids, deux mesures

En ce qui concerne les Palestiniens, comme vous pouvez vous en douter, ils n’ont pas les mêmes droits que les Israéliens. En effet, les lois n’ont pas été changées, elles sont archaïques, datant de 1967. Il est à savoir que 2500 ordres militaires se sont ajoutés à ceux de l’époque ottomane, britannique puis jordanienne. Pour vous dire, des lois moyenâgeuses qui ne sont plus adaptées à notre époque.

Quant aux colons , eux, ils relèvent des tribunaux israéliens. D’après les indications des chefs de missions, les plus violents « peuvent agir la plupart du temps dans l’impunité ».
Donnant l’exemple d’un Israélien soupçonné d’agression afin de prouver la véracité de leurs écrit. Cet israélien sera détenu dans un poste de police, puis présenté devant un juge en vingt-quatre heures. Tandis qu’un Palestinien, lui, sera placé en détention militaire, présenté devant un juge dans les quatre-vingt-seize heures, rarement remis en liberté sous caution. Si l’affaire est sérieuse d’un point de vue sécuritaire, il restera en prison jusqu’au jugement.

Le dernier taux de condamnation connu date de 2011 : il est de 99,74 %. Afin de réduire leur peine de prison les Palestiniens n’ont comme seule alternative que d’opter pour un accord en plaidant la culpabilité, souligne le rapport : « L’écrasante majorité des Palestiniens est condamnée sans présentation de preuve à l’audience ».

La différence de traitement entre colons et Palestiniens réside dans le domaine de la construction. Les premiers sont favorisés pour obtenir des permis de construire ou pour régulariser des bâtiments illégaux. Les Palestiniens vivant en zone C (60 % de la Cisjordanie), eux, ils ne bénéficient, quasiment jamais de plans de développement urbain.

Les discriminations concernent, aussi la liberté de mouvement. En 2017, note le rapport, « 572 obstacles permanents » à cette liberté étaient enregistrés, auxquels s’ajoutaient en moyenne 327 points de contrôle mobile par mois sur les routes.

Les axes principaux sont conçus pour les colons, afin de leur permettre de rallier Jérusalem et Israël. Les Palestiniens, eux, ils ont besoin de permis pour franchir le mur de sécurité, dans le cadre d’un « système bureaucratique non transparent ». Ce deux poids, deux mesures a un impact catastrophique sur l’économie de la Cisjordanie, « petite, largement informelle et basée sur les services ».

De plus, il fait mention sur les politiques répressives de l’Autorité palestinienne : détentions arbitraires sans inculpation, usage excessif de la force contre des rassemblements pacifiques, « instrumentalisation de la justice », torture et abus…

« L’UE et les États membres devraient continuer leur réflexion sur la façon de renforcer leurs politiques pour contrecarrer les activités de colonisation », a-t-il été proposé.

Face à la sensibilité du sujet, il était prévisible de constater que cela n’aboutira à aucun changement ni amélioration en faveur des Palestiniens sachant que les États membres de l’UE ont des divergences sur le conflit israélo-palestinien et qu’il est sensible d’opter pour sanctionner l’entité sioniste.

L’UE reste figée sur l’accord d’Oslo de 1993, qui jusqu’au jour d’aujourd’hui n’a toujours pas abouti à la réalisation d’un État Palestinien.

Pour rappel : Bruxelles, la France, le Royaume-Uni ou l’Allemagne, eux défendent une solution à deux États qui semble impossible.

Pour le Premier ministre israélien et criminel de guerre Benyamin Netanyahu profite subtilement et ce à son avantage de ces divisions européennes.

« Les droites identitaires au pouvoir, hostiles à Bruxelles, ont une complicité politique sans précédent avec Israël ».

Netanyahu a, astucieusement convaincu les pays du « groupe de Visegrad » (Pologne, Hongrie, Slovaquie, République tchèque) d’organiser les 18 et 19 février leur prochaine réunion à Jérusalem. « Ils pourront ainsi gloser, ensemble, sur l’écart qu’entretient l’UE entre les mots et les actes ».

Il est à rappeler qu’il y a eu plusieurs rapports dénonçant la maltraitance, la souffrance, l’injustice que subissent les Palestiniens de la part des israéliens. Mais personne n’y prête l’oreille, pire s’il y a des preuves à l’appui, ce rapport est nul et non avenu, comme ce rapport, de décembre 2017 accusant l’entité sioniste d’Israël d’apartheid, a dû être abandonné suite aux pressions exercées par Israël et les État-Unis, et à cause duquel la secrétaire générale adjointe des Nations unies, de l’époque, Rima Khalaf, avait démissionné.

 

Le Parti Anti Sioniste ne s’étonne point de voir que tant de rapports prouvant la, les crimes et les horreurs commises par le régime sioniste israélien, se voient jetés aux oubliettes laissant le peuple Palestinien entre les griffes de leurs bourreaux sanguinaires.
Existe-t-il une loi interdisant à quiconque d’établir un rapport répertoriant les injustices que subit un peuple ?
Existe-t-il un texte de loi quelconque donnant à l’entité sioniste d’Israël le droit de commettre toutes ces injustices sans en être punie ni même inquiétée ?
Qui ou qu’est-ce qui donne autant de droits à ces sionistes criminels, tueurs d’enfants ? D’où détiennent-ils autant de pouvoir d’action ? Qu’est-ce qui les rend intouchables ?
Usurpation, vole, violence, injustices, colonisation, barbaries, meurtres…tant de crimes qui représentent très bien ce qu’est l’entité sioniste d’Israël.
Le plus incompréhensible c’est que ceux qui prouvent et dénoncent les horreurs que subit le peuple palestinien soient contraints de présenter leur démission à cause des pressions exercées par Israël et les États-Unis, ce qui prouve à quel point l’ONU a les mains et pieds liés et que ce soit elle ou n’importe quelle autre institution internationale sensée protéger, aider et secourir les populations civiles ne décident de RIEN et n’ont aucune utilité au final.
 

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Sunday, February 17, 2019

Multinationales, Crypto-monnaie, Extinction – PAS l’Info

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PAS l’Info décrypte l’actualité ! Saison 9 Émission N°22 (17/02/19) 

National : Pourquoi Juppé au conseil constitutionnel ? ; En Europe, pourquoi les Multinationales paient moins d’impôts ?

International : Le Venezuela appel ses soutiens ! ; La duperie de Varsovie !

Brèves : L’Iran lance sa propre crypto-monnaie ; Des chercheurs affirment avoir trouvé un autre danger de l’alcool ; L’IA au secours du journalisme ! ; L’extinction progressive des insectes !

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