Tuesday, July 4, 2017

Falsifications US et arrivée du porte-avions Bush : Attaque en préparation

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Le porte-avions George Bush a accosté à Haïfa

Les allégations américaines selon lesquelles le gouvernement syrien est en train de préparer une nouvelle attaque à l’arme chimique inquiètent sérieusement les responsables russes.

D’autant qu’ils ont précédé l’arrivée dans le port de Haïfa en Palestine occupée de l’un des plus grands porte-avions américain, Georges Bush.

Des falsifications dangereuses

Ce samedi, l’ambassadeur russe au Liban a accusé les USA de falsification des faits qui pourrait mener à une situation dangereuse dans la région.

« La répétition de la falsification des faits par les États-Unis est inacceptable, et les récentes déclarations de la Maison-Blanche concernant des possibles attaques chimiques démontrent que des actions dangereuses pourraient être préparées en Syrie », a déclaré l’ambassadeur russe au Liban, Alexandre Zasypkine.

« Ces derniers temps, une escalade dangereuse sur la question des armes chimiques a eu lieu à travers de nouvelles menaces, et cela signifie que quelque chose de dangereux pourrait être en train de se préparer », a déclaré M. Zasypkine.

Et de poursuivre : « Il y a des cas de falsification des faits réalisés par les États- Unis ces dernières années, comme en Irak, qui ont conduit à la tragédie et à la souffrance des populations.

Nous ne permettrons pas la répétition de telles choses et feront face à ces menaces », a indiqué le diplomate russe.

L’ambassadeur a exhorté les États-Unis à rejoindre les tractations pour la paix dans le conflit syrien et à coopérer avec le gouvernement syrien.

La base de Chaayrate en danger ?

Même son de cloche de la part d’Alexandre Goussev, directeur de l’Institut de planification stratégique, qui a exposé son point de vue sur le déploiement d’avions et de navires de guerre américains dans le port de Haïfa, en Palestine occupée.

« Le déploiement par les États-Unis d’avions et de navires non loin de la base syrienne de Chaayrate pourrait signifier que les autorités américaines se préparent à commettre un nouvel acte de provocation », a fait savoir à Sputnik M. Goussev.

« Faites confiance, mais vérifiez ! Pourtant, à mon avis, il est nécessaire de bien suivre les informations relayées par CNN. Il y a maintenant une flotte conséquente de la marine américaine déployée dans la mer Méditerranée : le porte- avions USS George H.W.Bush, deux patrouilleurs, deux croiseurs, et leurs [missiles de croisière, ndlr] Tomahawk qui cibleraient la base aérienne de Chaayrate », située au sud- ouest de la province de Homs, a indiqué l’interlocuteur de Sputnik.

Ce porte-avions est arrivé ce samedi dans le port israélien de Haïfa en Palestine occupée.

Et de préciser que cette situation lui rappelle le 7 avril dernier, quand les États-Unis ont tiré 59 missiles contre la base aérienne de Chaayrate, utilisée par l’aviation gouvernementale syrienne, en réponse à l’attaque chimique présumée de Khan Cheikhoune du 4 avril attribuée sans preuve au gouvernement syrien.

« Je pense que même pour les Américains, il est clair que Bachar el-Assad n’a pas utilisé d’armes chimiques. Bien évidemment, c’était une provocation. La même chose pourrait désormais se reproduire », a ajouté M.Gousev.

Il a souligné qu’actuellement, les Américains pourraient prendre des mesures sans précédent, à savoir frapper avec des missiles BGM-109 Tomahawk la base de Chaayrate, ce qui « entrainerait une grave escalade du conflit en Syrie ».

Selon les informations diffusées par la chaîne américaine CNN, le gouvernement américain a déployé des navires et des avions non loin de la base syrienne de Chaayrate, dans la province de Homs et la surveillent 24 heures sur 24. Pourtant, selon le même média, il n’y a aucune activité suspecte sur la base.

Attaque chimique en fabrication

Or, pour le ministère russe de la Défense, c’est plutôt le sud syrien et plus précisément la province de Deraa qui pourrait être victime de la provocation américaine.

Il a dit avoir des informations selon lesquelles des préparations sont en cours pour fabriquer une attaque chimique dans les régions d’Ankhel, Jassem et de Nawa, afin de justifier une attaque contre les forces gouvernementales dans cette zone où les milices peinent à changer la donne. De plus, le port de Haïfa où a accosté le porte-avions américain se trouve pas loin de cette zone.

Ce samedi après midi, les sites de l’opposition syrienne sur les réseaux sociaux ont disséminé des rumeurs qui accusent l’armée syrienne d’avoir utilisé le gaz de chlore dans la région de Aïn Terma, dans la Ghouta orientale, où l’armée syrienne réalise une progression, sur fond de combats violents. L’armée syrienne a tout de suite démenti ces rumeurs, estimant qu’il s’agit de tentatives désespérées de la part des milices pour pallier à leur pertes sur le terrain.

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Monday, July 3, 2017

Syrie : l’heure est-elle aux négociations ?

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Les portraits du présiden syrien Bachar al-Assad et du président russe Vladimir Poutine,

« À trop jouer avec le feu, on finit par se brûler ! »

Force est de constater que face à l’échec des ennemis occidentaux contre la force héroïque syrienne, la « direction militaire américaine » n’a eu d’autres choix que de proposer à l’État syrien un « dialogue direct et sans intermédiaire ».

C’est l’ unique condition proposée par les Américains à l’État syrien afin d’« entrer en contact direct avec Damas ». Pour se faire, ils auraient envoyé une missive au président Bachar al-Assad via des canaux inhabituels autres que la Russie. C’est ce qu’aurait indiqué le site panarabe Raï Al-Youm.
Une proposition faite alors que les forces syriennes et leurs alliés ne cessent de gagner du terrain et d’aller de victoires en victoires dans la province de Homs, où ils ont repris le contrôle du site pétrolier d’Arak en avançant sur la route Arak-Sukhnah, puis au sud où ils chassent les terroristes d’Al Nosra, clairement soutenu par l’entité sioniste d’« Israël ».

Washington souhaite engager les négociations avec le gouvernement du président Bachar al-Assad et le Pentagone aimerait que celui-ci esquive ses alliés iranien et russe.

Toujours selon le site Raï Al-Youm, cette offre viserait à « coordonner avec Damas les opérations à venir, dans le sud (région de Deraa) et dans le sud-est de la Syrie (Deir ez-Zor, NDLR) de façon à « éloigner les Iraniens » du triangle stratégique d’al-Tanf et de Deraa ».

Ce qui angoisse les Américains c’est le fait de constater que les forces syriennes rejoignent les forces irakiennes sur leurs frontières conjointes, au niveau du passage stratégique d’al-Tanf et qu’ils s’unissent pour former une « force binationale commune » contre le terrorisme.

Mais il semblerait que la vraie raison de cette peur serait que les alliés de la Syrie s’installent aux portes de l’entité sioniste d’« Israël » et deviennent ainsi des acteurs clés pour stopper enfin l’ expansion israélienne.

Le Parti Anti Sioniste se réjouit des avancées des forces syriennes qu’il félicite pour leur courage et leur détermination à défendre leur pays contre les ennemis de l’humanité que sont les terroristes de Daesh & Co. En effet, les victoires remportées par l’armée syrienne et ses alliés sapent tous les plans de l’Arrogance internationale (l’USraël, entre autre) pour la région.
Néanmoins, nous restons sceptiques quant à la proposition des États-Unis à vouloir engager des négociations avec le président Bachar al-Assad. Est-ce une stratégie ou ne leur reste-t-il d’autre alternative que la négociation vu l’échec cuisant qu’ils essuient ?
Nous recommandons au  gouvernement syrien la plus grande prudence. Restez vigilants, ne baissez jamais la garde car l’ennemi est des plus perfides et des plus hypocrites.
Nous savons que vous êtes à la hauteur de la situation. Vous l’avez prouvé, vous, votre armée et le vaillant peuple syrien.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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La nourriture :

Vu sur La nourriture :

Le Messager de Dieu (p) aurait dit : « Celui qui ne mange pas beaucoup aura un corps sain et un cœur limpide. Et, celui qui mange beaucoup aura un corps malade et un cœur endurci. » Tanbih Al Khawatir, 1/46

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Sunday, July 2, 2017

Menace de guerre contre la Corée du Nord, de Bruno Guigue

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Après son entretien avec le nouveau président sud-coréen Moon Jae-in, le 30 juin, Donald Trump a encore durci le ton contre la Corée du Nord. « La patience stratégique avec le régime nord-coréen est terminée. Ensemble, nous faisons face à la menace du régime dangereux et brutal de Corée du Nord. Les programmes nucléaire et balistique de ce ce régime exigent une réponse déterminée », a déclaré le président américain. Pour la première fois, Washington a également annoncé des sanctions contre une banque chinoise accusée de coopérer avec Pyongyang.

Si la fonction des médias dominants est de substituer l’imaginaire à la réalité, la représentation occidentale de la Corée du Nord n’échappe pas à la règle. Vu de l’Ouest, il est vrai que Pyongyang fait figure d’accusé idéal. Cette « monarchie rouge », ce « régime ubuesque », ce « goulag asiatique » réunit les stigmates de tout ce que l’homo occidentalis est censé détester. Désigné par les grands prêtres du droit-de-l’hommisme comme l’incarnation du Mal, cet Etat honni ferait peser, selon le secrétaire d’Etat US Rex Tillerson, « la pire des menaces sur la paix mondiale ».

Mais de quelle menace s’agit-il ? Depuis son entrée fracassante dans le club des puissances nucléaires, en octobre 2006, la Corée du Nord est mise au ban des nations. Contre ce petit pays, la « communauté internationale » phagocytée par Washington a mobilisé les grands moyens. Résolutions onusiennes, sanctions économiques et manœuvres militaires se succèdent, sans relâche, pour isoler le régime fautif. Rangée par les USA dans la catégorie des « Etats voyous », la République populaire démocratique de Corée est dans la ligne de mire.

La propagande occidentale dépeint Kim Jong-un comme un tyran sanguinaire faisant joujou avec la bombe, mais cette caricature peine à masquer la réalité des rapports de force. Inutile d’être un grand expert, en effet, pour comprendre que la stratégie nucléaire nord-coréenne est purement défensive. Dissuasion du faible au fort, sa finalité est d’exposer l’agresseur à des représailles, et non de prendre l’initiative des hostilités. Les Nord-Coréens veulent échapper au sort de l’Irak et de la Libye, pulvérisés par les USA et leurs supplétifs pour avoir le bonheur de goûter les bienfaits de la démocratie importée manu militari.

Le bellicisme prêté à Pyongyang, en réalité, relève d’une inversion accusatoire dont le soi-disant « monde libre » est coutumier. Prompts à donner des leçons de morale, les USA sont les seuls à avoir utilisé l’arme nucléaire. A Hiroshima et Nagasaki, en août 1945, ils l’ont fait sans hésitation et n’en éprouvent aucun remords. Non seulement ce massacre de masse (plus de 220 000 morts) fut d’une barbarie sans nom, mais il n’avait aucune justification militaire. Le Japon était prêt à capituler, et le recours à l’arme atomique visait à intimider l’URSS, dont les troupes écrasaient l’armée japonaise en Mandchourie.

Pour la « nation exceptionnelle » à la « destinée manifeste », carboniser des centaines de milliers de femmes, d’enfants et de vieillards ne pose aucun problème sur le plan moral. Pour fêter l’anniversaire de la double explosion, les généraux US aimaient déguster en famille une pâtisserie en forme de champignon atomique. Cinq ans plus tard, les mêmes galonnés à la bonne conscience indécrottable déchaînèrent les feux de l’enfer contre les Coréens. Ces derniers échappèrent de peu à l’apocalypse nucléaire rêvée par MacArthur, mais ils subirent les effets dévastateurs d’une arme nouvelle : le napalm. Pendant la guerre de Corée, l’US Air Force fit un usage massif de cet explosif incendiaire, et la plupart des grandes villes du Nord ont été détruites.

Imagine-t-on une guerre qui anéantirait 60 millions d’Américains en les carbonisant avec des bombes incendiaires ? C’est ce que la Corée du Nord a subi entre 1950 et 1953. Déversant davantage de bombes sur la péninsule que sur le Japon entre 1942 et 1945, les généraux du Pentagone ont massacré sans état d’âme 3 millions de personnes, soit 20% de la population de ce petit pays. On se doute bien que de telles broutilles n’entacheront jamais le prestige inégalé dont jouit l’Oncle Sam dans les contrées occidentales. Mais à la lumière de cette histoire on comprend mieux, en revanche, la hargne anti-impérialiste des Nord-Coréens.

Il n’y a pas que le passé, au demeurant, qui incite à relativiser la passion de Washington pour la paix dans le monde et l’amitié entre les peuples. Lorsque les USA jouent la vertu outragée et brandissent l’épouvantail nord-coréen, on finirait presque par oublier qu’ils détiennent 4 018 têtes nucléaires, alors que la République populaire démocratique de Corée en possède une dizaine. Les cinq essais nucléaires nord-coréens ont provoqué des torrents d’indignation en Occident, mais les USA en ont réalisé plus d’un millier. Enfin, ce n’est pas la Corée du Nord qui a pris l’initiative de nucléariser la péninsule, mais les USA en 1958.

Lorsqu’on demande ce que viennent faire des porte-avions US dans la région, la propagande répond que la Corée du Nord est un Etat-voyou qui a violé le traité de non-prolifération nucléaire. Mais un Etat souverain est libre de dénoncer un traité international, et Pyongyang a la mérite d’avoir annoncé la couleur en se retirant du TNP. De ce point de vue, sa situation est beaucoup moins scandaleuse que celle d’Israël. Car cet Etat non-signataire du TNP détient 300 têtes nucléaires avec la bénédiction des puissances occidentales, alors qu’il bombarde ses voisins et colonise des territoires qui ne lui appartiennent pas.

Les dirigeants nord-coréens ont beau user d’une rhétorique grandiloquente, ils ont les pieds sur terre. La puissance militaire de cet Etat de 25 millions d’habitants représente 2% de celle des USA, et sa seule ambition est de prévenir une agression extérieure dont la perspective n’a rien d’irréel. Réduits à l’impuissance au Moyen-Orient, les docteurs Folamour du Pentagone rêvent d’en découdre avec ce pays récalcitrant. Ils ont installé un bouclier anti-missiles en Corée du Sud, dépêché dans la région un puissant groupe aéro-naval, et largué dans la montagne afghane la méga-bombe anti-bunker « MOAB » en guise d’avertissement.

Malgré les réticences du nouveau président sud-coréen, qui s’est déclaré prêt à « renvoyer » le bouclier anti-missiles, les « neocons » de Washington envisagent ouvertement une opération militaire contre les installations nucléaires nord-coréennes. Car l’affrontement avec la Corée du Nord présenterait deux avantages. Il constituerait un puissant dérivatif à l’échec de l’impérialisme au Moyen-Orient, où il se heurte à l’axe Moscou-Téhéran-Damas-Bagdad. Et il fournirait un banc d’essai pour le bombardement des installations souterraines du complexe nucléaire nord-coréen avec la bombe « MOAB ». En cas de succès, une telle prouesse technologique priverait la Corée du Nord de son outil de dissuasion et administrerait une leçon de choses à l’Iran, cible préférée de l’administration Trump.

Pari hasardeux, bien sûr. Dans l’immédiat, cette agressivité a pour seul effet de conforter Pyongyang dans sa détermination. Farouchement attachée à sa souveraineté, fidèle à l’idéologie du « juché » (autonomie) héritée de Kim-Il-Sung, la Corée du Nord n’aime pas qu’on lui marche sur les pieds. Contrairement aux USA dont la doctrine prévoit la possibilité d’une attaque préventive, son programme nucléaire indique clairement à ceux qui voudraient l’attaquer qu’ils s’exposent à de sévères représailles. Décidée à résister à toutes les pressions, adossée au géant chinois, la République populaire démocratique de Corée est un « domino » que Washington n’est pas près de faire tomber.

Bruno GUIGUE

Chercheur en philosophie politique et géo-politologue, Professeur à l’Université de la Réunion, M. Bruno Guigue, ancien haut fonctionnaire français (sous-préfet), dénonce depuis de nombreuses années la politique israélienne et milite pour l’application du droit international au Moyen-Orient. Ses articles et ouvrages incisifs, traduits en 10 langues, lui valurent d’être démis de ses fonctions en 2008 par l’ancienne ministre de l’Intérieur, Michelle Alliot-Marie.

(Afrique-Asie, juillet 2017, version actualisée)

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🔞Les SAOUDS versent le sang des Yéménites à l’AÏD (images choquantes)

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Voilà comment les monarques, archaïques, dégénérés terroristes al Saoud souhaitent la bonne fête de l’Aïd aux Yéménites !!!

De quelle nature êtes-vous donc faits ? Qu’est-ce qui vous motive à commettre ces innommables horreurs ???

Comment pouvez-vous vaquer à vos occupations, vivre dans vos familles sachant que vous détruisez la vie de tellement d’innocents dont des enfants ???

Le plus important, comment l’opinion publique internationale peut-elle garder le silence et laisser commettre ces génocides sans broncher ???
Le danger est imminent pour toute l’humanité…

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Saturday, July 1, 2017

NO COMMENT!

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La normalisation entre le régime des saouds et l’entité sioniste au grand jour

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Golan occupé : Israël soutient Daesh et se prépare à entrer en guerre contre la Syrie

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Alors que depuis le début de la guerre contre la Syrie les grands médias internationaux font mine d’ignorer le fait qu’Israël est partie prenante du conflit, nous apprenons désormais officiellement que l’entité criminelle soutient les groupes terroristes de « Daesh and Co » dans la région du Golan occupé.

En effet, un rapport des Nations Unies, publié le mois dernier, décrit une série de rencontres entre militaires israéliens et dirigeants terroristes près de la frontière syrienne, qui ont été observées par des soldats de la paix de l’ONU.

Le rapport datant du mois de mai de la Force des Nations unies chargé d’observer le dégagement (FNUOD) indique qu’il y a eu une augmentation significative de « l’interaction » entre des militaires israéliens et des terroristes dans la région de Quneitra et dans les hauteurs centrales du Golan occupé.

En guise de défense, le régime de Tel-Aviv prétend que toutes les relations avec des représentants terroristes agissant en Syrie l’ont été pour des raisons humanitaires, mais évidemment cela ne trompe personne.

Le secrétaire général de l’ONU a défini la région du Hermon, lieu de ces rencontres, comme un endroit d’importance stratégique et s’est inquiété de la situation.

“ Les réunions entre les forces israéliennes et les terroristes dans les monts du Hermon, pourraient déboucher sur des affrontements entre des éléments armés et les forces armées arabes syriennes. Je réitère mon appel aux deux parties à l’Accord de désengagement des forces concernant la nécessité de maintenir la stabilité dans la région. Toutes les activités militaires dans cette zone représentent un risque pour le cessez-le-feu et pour la population civile locale, et le personnel des Nations Unies sur le terrain ”, a déclaré le secrétaire général dans le rapport.

Aujourd’hui, l’information sort également dans les médias mainstream, comme le fameux « Wall Street Journal » qui a rapporté la semaine dernière qu’ « Israël avait mis en place une unité spéciale de l’armée pour conseiller, former, soutenir et contrôler les « rebelles » dans la région du Golan ».

Évidemment, la presse occidentale parle de soutien aux « rebelles syriens » et non pas aux « terroristes takfiristes » qu’ils sont. Un vocabulaire à géométrie variable auquel nous sommes désormais habitués…

Mais la question à se poser est : pourquoi ces informations sortent-elles aujourd’hui alors qu’elles étaient un secret de polichinelle ?

On sait de notoriété publique que depuis le début du conflit, l’entité sioniste criminelle apporte un soutien logistique et militaire aux terroristes dans la région du Golan.

En effet, l’armée coloniale israélienne a bombardé à plusieurs reprises les positions de l’armée syrienne en prétextant des tirs sur son territoire.

 

En octobre 2014, la Force des Nations Unies pour l’observation du dégagement (FNUOD), qui couvrait encore la zone, avait écrit ceci au Conseil de sécurité de l’ONU : « Le 23 juin [2014], Israël a ciblé neuf postes de l’armée syrienne avec des tanks et des avions après qu’un tir de mortier provenant du côté syrien a tué un civil israélien, la veille. Selon Israël, la plupart de ces incidents sont dus à des tirs égarés résultant des combats en Syrie. Israël a déclaré que les groupes d’opposition armés en étaient probablement les auteurs, mais que ses forces avaient tiré sur les positions militaires syriennes pour souligner que la Syrie était responsable de la sécurité de son côté de la ligne de cessez-le-feu ».

Pour résumer, les terroristes tirent au mortier sur le territoire sioniste, ne faisant comme par hasard jamais aucun dégât, et en représailles, l’armée israélienne bombarde les positions de l’armée syrienne.

Aucun expert sérieux ne saurait accepter cette thèse plus que farfelue, et tout le monde est bien conscient qu’il s’agit clairement d’un soutien militaire coordonné avec et pour les terroristes.

On sait que le régime israélien a procédé à plusieurs frappes aériennes d’envergure contre l’armée syrienne et ses alliés sur le sol syrien, essentiellement pour soutenir ses propres alliés terroristes.

En effet, ces dernières années, les avions israéliens ont assez souvent frappé les positions de l’armée gouvernementale syrienne, soi-disant en réaction à la chute d’obus sur des territoires contrôlés par Israël. Le dernier incident de ce type remonte à samedi dernier 24 juin, où l’aviation sioniste a pris pour cible les troupes et l’artillerie syriennes suite à la chute d’une dizaine d’obus sur le Golan occupé, détruisant deux chars et tuant deux militaires syriens.

En réalité, à chacun de leurs revers militaires face aux forces syriennes, les terroristes reçoivent l’appui de l’aviation et des unités d’artillerie de l’armée israélienne qui bombardent les positions de l’armée syrienne et du Hezbollah dans la région de Quneitra.

De plus, on remarque la parfaite coordination entre les frappes israéliennes et les attaques de Daesh contre l’armée syrienne, ce qui ne résulte certainement pas du hasard.

 

Mais si aujourd’hui ce soutien est révélé par les médias de masse, et que ces opérations militaires israéliennes s’intensifient, c’est qu’Israël prépare probablement l’opinion à une intervention directe sur le théâtre d’opération syrien. Pour se défendre, évidemment…

Ainsi, le journal israélien « Haaretz » titrait il y a quelques jours, et pour la première fois : « La lente et sinueuse ingérence d’Israël dans la guerre civile en Syrie ». Doux euphémisme pour parler d’un soutien total aux groupes terroristes dès le début de ce conflit meurtrier frappant le peuple syrien.

Il est clair que quelque chose se prépare. Pour preuve : sous prétexte de préserver la vie des civils menacée par des roquettes, le régime israélien vient d’annoncer lundi 26 juin, la fermeture du Golan occupé à la circulation.

De ce fait, certaines sources évoquent une confrontation militaire directe qui éclaterait prochainement entre l’armée israélienne et l’armée syrienne.

Le Parti Anti Sioniste voit une fois de plus ses dires confirmés par la vérité qui se dévoile aujourd’hui, à propos des liens désormais avérés entre l’entité sioniste criminelle et les groupes terroristes de Daesh and Co sévissant en Syrie. En effet, il est clair que Tel-Aviv agit de concert avec les terroristes en vue d’anéantir la Syrie et affaiblir ses alliés.

Aujourd’hui, face aux victoires de l’Axe de la Résistance, l’entité coloniale voit s’ouvrir un nouveau front à sa frontière nord, alors que la zone tampon qu’elle avait mise en place au Golan, et qui était contrôlée par les terroristes, est en train de fondre comme neige au soleil.

Sa dernière solution est l’intervention directe et totale en Syrie. Cependant, cela comporte beaucoup de risques pour l’entité criminelle, qui vient d’être prévenue par le chef de la Résistance, Seyyed Hassan Nasrallah, qui a été très clair dans son dernier discours du 23 juin dernier en affirmant en substance qu’ « en cas de guerre israélienne contre la Syrie ou le Liban, des centaines de milliers de combattants venant de tout le monde musulman déferleront pour participer à la bataille ».

Il a été conforté dans ses propos par ceux du Guide Suprême Iranien Seyyed Ali Khamenei, qui a affirmé à l’occasion de son discours de l’aïd que : « le combat contre l’entité sioniste était un devoir islamique ».

À bon entendeur. L’ennemi est prévenu.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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