Friday, February 5, 2016

« La Science » – Vendredi 5 Février 2016

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Vu sur « La Science » – Vendredi 5 Février 2016

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Louange à Dieu, nous Le louons, nous cherchons Son secours et nous comptons sur Lui. Nous cherchons refuge en Dieu contre les maux de nos âmes et nos mauvaises actions....

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Nouvelle stratégie US en Syrie

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obama

obamaAlors que le gouvernement légitime de Damas aborde en position de force les négociations de Genève concernant l’avenir du pays, il semblerait que les États-Unis tentent de reprendre la main dans le dossier syrien.

En effet, le succès de l’intervention russe oblige Washington à réajuster sa stratégie, sachant qu’il est désormais improbable de voir les hordes de Daesh et consorts faire chuter le régime du Président élu Bachar Al Assad.

Ainsi, au moment où l’armée loyaliste continue de gagner du terrain, on apprend que les forces américaines aménagent une base aérienne militaire dans le nord-est de la Syrie, en zone contrôlée par les kurdes. Il est inutile de préciser que cela se déroule en violation de la souveraineté du pays.

De son côté, l’armée russe étend sa présence à l’aéroport international de Kameshli près de la frontière turque, dans une région contrôlée par les forces gouvernementales syriennes.

Les deux bases n’étant séparées que d’environ 50 km, la situation est potentiellement explosive…

Il semblerait donc que les deux parties préparent le terrain à l’après-guerre, chacun plaçant ses pions : d’un côté, Assad et Poutine souhaitent éviter la partition du pays, alors que de l’autre, Washington désire au contraire diviser la Syrie, à défaut de pouvoir prendre le contrôle de la totalité du territoire.

Dans tous les cas, le grand perdant est la Turquie, qui devra faire une croix sur toute intervention dans le nord syrien. Son allié américain a tenté néanmoins de la rassurer, comme semblent le montrer les propos du vice-président américain Joe Biden qui s’est dit prêt à une option militaire en cas d’échec des négociations, lors d’une rencontre avec le ministre turc des affaires étrangères.

 

Les Etats-Unis semblent donc s’orienter, selon la stratégie du « diviser pour régner », vers une tentative de partage du pays. Stratégie qu’ils souhaitent d’ailleurs élargir à toute la région avec le fameux concept de « nouveau Moyen-Orient ». Leur intention est d’y rester en tant que puissance militaire principale, et ne pas céder à la Russie l’initiative dans la région, alors que celle-ci y est redevenue un acteur de premier plan, faisant contrepoids à la puissance américaine.

Le plan de partition de la Syrie vise ainsi à éviter le renforcement de la position russe dans la région, mais aussi à affaiblir l’un des piliers de l’axe de la résistance au sionisme, en le transformant en un état non viable et faible, à l’image de l’Irak actuel.

Pour mieux saisir cette volonté de partager la Syrie, il suffit de lire ce qu’en pense Richard Haas, le président du très influent Concil on Foreign Relations (CFR), principal inspirateur de la politique étrangère US :

« Une Syrie, constituée d’enclaves ou cantons, est probablement la meilleure des options disponibles, à la fois aujourd’hui et dans l’avenir prévisible. Ni les Etats-Unis ni personne d’autre n’ont un intérêt national vital dans la restauration du gouvernement syrien, qui dirigerait tout le pays. Il est seulement nécessaire d’arrêter l’ « Etat islamique » et les autres groupes ».

On aura deviné que le « personne d’autre » dont il est question n’est autre que l’entité sioniste criminelle israélienne, qui serait la principale bénéficiaire du démembrement de la Syrie.

 

Le Parti Anti Sioniste s’insurge contre toute tentative de partition de la Syrie. Cela coûterait très cher au peuple syrien, qu’il appelle à l’unité face aux semeurs de discorde et de division que sont les américains et leurs alliés.

Nul doute que cette partition entrainerait la prolongation de la guerre civile et créerait un «effet domino» dans toute la région.

Seul le retour à une Syrie unifiée et débarrassée de toute ingérence étrangère pourrait garantir un retour à la paix.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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Thursday, February 4, 2016

Sourate 14 Ibrahim Versets 24-25

Sourate 14 Ibrahim Versets 24-25

Vu sur Sourate 14 Ibrahim Versets 24-25

Sourate 14 Ibrahim Versets 24-25

N’as tu pas vu comment Allah propose un exemple une bonne parole semblable à un belle arbre dont les racines sont fermes et les branches s’élancent dans le ciel ?...

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Destruction de l’armée française en faveur des États-Unis et de l’OTAN

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hollande

hollandeDepuis des décennies, nos gouvernements successifs acquis aux intérêts euro-atlantistes ont lancé une mécanique qui réduit considérablement notre marge d’indépendance sur le plan politique, militaire et stratégique.

Un nouvel acte de soumission vient s’ajouter au sombre tableau de la France, province de Washington : un projet de loi a été déposé discrètement par le gouvernement le 4 janvier dernier, au Conseil des ministres.

Il autorise « l’accession de la France au protocole sur le statut des quartiers généraux militaires internationaux créés en vertu du traité de l’Atlantique Nord ».

Cette démarche se veut donc répondre à la problématique actuelle du « statut » des QG internationaux en France. Le texte du projet de loi dit à ce sujet :

« En 2009, la France a décidé de réintégrer la structure de commandement de l’OTAN. En conséquence, elle a recommencé à accueillir du personnel de l’Organisation dans ses quartiers généraux militaires sans que ses QG ne bénéficient toutefois d’aucun statut international. Seuls des arrangements de circonstance ont permis jusqu’ici l’accueil de personnels de l’OTAN dans les QG situés sur le sol français.»

En d’autres termes, sous l’impulsion maladive d’Hollande, sous préfet de Washington en France, le projet de loi officialise discrètement le retour de militaires de l’OTAN sur le sol français, cinquante ans après que la France ait quitté cette organisation et que les militaires de l’OTAN soient expulsés par le général de Gaulle du sol français.

Est-ce que ça sous entend l’installation de bases militaires américaines en France, comme sous la IVe République ?

Pourtant, on a souvenir en 2008 d’un Hollande qui, en « bon » chef de l’opposition s’insurgeait contre Nicolas Sarkozy dont la volonté était de lier le sort de nos armées à celui de l’OTAN. Hollande s’opposait alors à la réintégration de la France dans le commandement intégré de l’OTAN. Il déclara à l’assemblée nationale :

« Dans toute démocratie digne de ce nom, de tels arbitrages auraient été rendus après un vaste débat dans le pays. » Il s’inquiétait alors : « Il faut éclairer les Français sur la dangereuse rupture que sont en train d’opérer le président de la République et son gouvernement avec le consensus national qui prévalait sur les principes d’indépendance militaire et stratégique de notre pays. »

La girouette Hollande n’a plus à cœur aujourd’hui de défendre les mêmes positions. Pire, le travail que Sarkozy a commencé, il l’achève insidieusement en bradant notre indépendance militaire et stratégique à l’OTAN. Politique politicienne, quand tu nous tiens…

En effet, au sein de l’OTAN, le partenariat et l’intégration se résument à la subordination, quand ce n’est pas à l’alignement automatique. L’OTAN est une machine de guerre américaine, contrôlée par les Américains et destinée à asseoir leur hégémonie sur des alliés réduits en réalité au rang de simples vassaux exécutant les ordres. L’OTAN n’a qu’un seul commandement opérationnel suprême, le SACEUR, qui reste entre les mains du général américain, le général Philip M. Breedlove, actuel commandant suprême des forces alliées en Europe.

Glissement stratégique de la France pour intégrer l’OTAN :

Il fut un temps où la France était éclairée et autonome sur la question de la défense nationale. Dès la fin des années 50, elle avait mis en place une politique industrielle de défense orientée vers la recherche de l’autonomie stratégique et technologique. Celle-ci s’est structurée autour de grands projets et s’est appuyée sur de grands groupes étatiques. La France était autonome en termes de production d’armement, de logistique, etc. Depuis les années 90, notre autonomie a été peu à peu détruite en faveur de l’hégémonie américano-sioniste.

C’est toute l’infrastructure de la défense qui a subi de profonds changements, avec des privatisations successives d’entreprises françaises d’armement, réduction des effectifs de militaires en fonction, suppression du service national, réduction des budgets de la défense d’année en année, non renouvellement d’un armement vieillissant mais dont l’entretien coûte extrêmement cher. Cette spirale descendante visait principalement à favoriser l’intégration de la France au sein de l’OTAN.

De hauts-gradés de l’armée témoignent :

Régis Chamagne, anciennement colonel de l’armée de l’air, fit des déclarations édifiantes sur cette question sur le média libre Meta TV.

Ce qui ressort de son discours c’est que « le but des EU est d’asservir les nations européennes, y compris la France ». Or, pour asservir un pays, il faut détruire l’armée, corps défendant de la nation, car « L’armée est à la nation ce que le système immunitaire est au corps », disait-il très justement. Il ajouta : « La stratégie des EU consistait donc à faire croire aux nations européennes que seules, isolées, elles sont incapables de se défendre contre une menace potentielle ».

Les EU cherchaient donc à fragiliser tous ce qui a trait à la souveraineté militaire des nations européennes, en transformant leurs infrastructures de défense nationale.

De l’autosuffisance dans tous les domaines de la défense en terme de recherche, de savoir faire, de production d’armement, de logistique, etc…, on est passé, il y a 20 ans, toujours sous l’impulsion stratégique des EU, au développement d’un système plus spécialisé, « un pôle d’excellence », mis à la disposition des États-Unis et, plus largement, d’une coalition politique occidentale conforme à la doctrine américaine du « choc des civilisations ».

Ainsi, chaque pays européen qui a négligé l’ensemble des domaines spécifiques à la défense nationale pour privilégier essentiellement un pole d’excellence, a vu ses institutions militaires se fragiliser et devenir dépendantes des EU et de pays européens.

Quant au général Pinard Legry, ancien chef de corps du 4e Régiment étranger, qui termina sa carrière à la Direction du Renseignement Militaire, il déclara sur TV Liberté :

« La France a perdu une part importante de son indépendance dans la mesure ou son armée est obligée de solliciter l’aide de pays européens ou américaine  pour la logistique et le renseignement grâce notamment aux drones ».

Il ajoute que « la France fait également appel à des sociétés russes privées et ukrainiennes. Cette dépendance est assez surprenante et ce pour toutes les opérations même en Afrique ! (…) La contrepartie à ses prêts n’est jamais évoquée dans les médias, c’est à dire les accords commerciaux, les pressions exercées de type l’affaire BNP » (On peut citer également l’affaire PSA , le Mistral, … ). « Sommes-nous libres de vendre des BPC aux russes ? On perd en liberté d’action parce qu’on est asservi à ce qu’on appelle un « allié », mais un allié n’est pas un ami. À un moment donné, sur un objectif donné, pour un moment déterminé, des alliés sont devenus adversaires.(…) Certains pays ont sous-traité leur défense à l’OTAN , c’est-à-dire aux EU ».

Cette liberté de parole n’est pas permise aux militaires en fonction. On se souvient qu’un groupe d’officiers généraux et supérieurs des trois armées (terre, air, mer), regroupés anonymement dans le groupe « Surcouf », avait ouvertement critiqué les nouvelles orientations officielles décrites dans le livre blanc de la défense en 2008. Un texte publié sous ce nom dans Le Figaro (19 juin 2008) parlait d’« absence de critères politico-militaires d’intervention », de « flou des priorités géopolitiques », de « dépense publique considérable pour une utilité opérationnelle faible », de « véritable déclassement militaire de notre pays, dans un monde bien plus dangereux qu’hier ». En réponse, Sarkozy a tenté de faire identifier les contestataires afin de les sanctionner, à un moment où ses relations avec l’armée s’étaient particulièrement dégradées (affaire du 3e RPIMA de Carcassonne, démission du général Cuche).

Le Parti Anti Sioniste constate que les conflits d’intérêts, la non séparation des pouvoirs et les abus de pouvoirs sont aujourd’hui le mode opératoire du gouvernement.

Notre alignement sur la politique américaine, notre soumission aux systèmes financiers, à l’OTAN, à toutes ses institutions qui menacent la souveraineté de notre pays sont inacceptables. Les contestations de hauts-gradés dans l’armée sont source d’espoir.

Le Parti Anti Sioniste encourage ces initiatives compte tenu de la fonction principale de l’armée : être au service de la nation et du peuple souverain dont il doit assurer la sécurité.

Étant donné que les dirigeants de la Nation mènent une politique qui compromet gravement l’intérêt public, nous pouvons rêver d’une armée qui destitue le gouvernement de ses fonctions pour haute trahison.

Est-ce que ça restera un doux rêve ? L’avenir nous le dira…

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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Wednesday, February 3, 2016

Tuesday, February 2, 2016

Les pays arabes affichent leur soutien au sionisme

Publié sur Les pays arabes affichent leur soutien au sionisme

o-FORGED-IN-BLOOD-facebook

o-FORGED-IN-BLOOD-facebookAlors que leurs opinions publiques restent farouchement opposées à toute normalisation avec l’entité sioniste criminelle, certains pays musulmans, notamment les États du Golfe, semblent se diriger sur la voie d’un établissement de relations diplomatiques avec Tel Aviv.

Jusqu’à présent, ces derniers maintenaient officiellement une position d’hostilité envers l’entité israélienne, pour ne pas froisser leurs populations solidaires avec le peuple palestinien opprimé. Cependant, nul n’était dupe des excellentes relations qui étaient entretenues en coulisses entre le maitre sioniste et ses vassaux arabes, notamment sur le plan commercial.

Aujourd’hui, il semblerait que les pays du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) soient prêts à rendre public leur rapprochement avec Israël.

Deux phénomènes ont précipité ce « coming out » géopolitique: Les « printemps arabes », qui ont tétanisé les dictateurs du Golfe, et le retour au premier plan de la République Islamique d’Iran, fer de lance de la Résistance face à l’entité sioniste et ses supplétifs régionaux.

Dernièrement, un certain nombre de déclarations de responsables du régime sioniste ont confirmé cette évolution, comme celle du premier ministre et criminel de guerre B. Netanyahu, affirmant, lors du forum économique de Davos, que

« l’Arabie et certains pays arabes de la région considéraient Israël comme leur allié et non comme leur ennemi».

De son côté, le directeur général du ministère israélien des Affaires Etrangères, Dory Gold, s’est targué de déclarer qu’ « Israël était désormais capable de contacter presque tous les Etats arabes» et annonçait l’ouverture prochaine d’une représentation diplomatique à Abu-Dhabi (Emirats Arabes Unis) tout en l’envisageant aussi dans d’autres pays arabes.

Ainsi, au Soudan, le ministre des Affaires étrangères, Ibrahim Ghandour a révélé que son pays « ne refusait pas d’étudier l’éventualité de normaliser les liens avec Israël », alors qu’en Tunisie, M. Jhinaoui, nouveau chef de la diplomatie, n’est autre que l’ancien chef de bureau des intérêts de la République tunisienne à Tel Aviv.

Le Maroc ne fait plus mystère de ses relations économiques très importantes avec l’entité criminelle dont il est le 5ème client africain, alors que l’Egypte et la Jordanie entretiennent des relations diplomatiques avec le régime sioniste depuis les accords de Camp David (1979). On se souvient d’ailleurs, que le président égyptien Al Sissi avait, en septembre dernier, exhorté les pays arabes à faire la paix avec Israël.

De son côté, la Turquie appelle aussi à une normalisation avec l’entité sioniste avec laquelle elle était brouillée depuis 2010, suite à l’incident de la flottille. Ainsi, le Président Erdogan, dont les sorties antisionistes avaient été médiatisées à outrance afin d’apparaitre comme le sauveur musulman, vient de révéler son hypocrisie en déclarant que « la Turquie avait besoin d’Israël », tout en appelant à une reprise des relations diplomatiques avec l’Etat terroriste.

Chef de file des pétromonarchies du Golfe, l’Arabie Saoudite ne cache plus sa coopération avancée avec l’État hébreu, tant sur le plan politique que militaire, avec l’appui probable de son parrain américain.

Les raisons de ce rapprochement sont multiples : hostilité commune envers l’Iran et son industrie nucléaire, hostilité commune envers Assad en Syrie et volonté de le renverser, hostilité commune envers la vague des révolutions arabes, désaccord commun avec la nouvelle politique américaine qui accepte de réintroduire l’Iran dans le jeu régional et mondial.

On comprend cette animosité du royaume saoudien à l’égard de la République Islamique, qui apparaît comme son parfait contre-exemple, constituant à ce titre une menace existentielle pour la dynastie wahhabite et ses consœurs des pétromonarchies du Golfe.

Ainsi, tous ces signaux sont annonciateurs d’une normalisation imminente des relations entre l’Etat sioniste illégitime et la plupart des pays musulmans, qui, allant à contre-sens de leur opinion publique, relèguent la cause palestinienne aux oubliettes.

 

Le Parti Anti Sioniste dénonce depuis de nombreuses années la traitrise de la plupart des régimes musulmans et leur compromission avec l’entité sioniste criminelle, qui est aujourd’hui dévoilée au grand jour. Ces pseudos musulmans ne se cachent plus pour afficher leurs liens avec l’État illégitime et meurtrier. Cette alliance désormais quasi-officielle, et qui est en réalité une soumission, va à contre-courant du mouvement inéluctable de libération des peuples opprimés de la région.

Avec cette normalisation des relations avec l’entité terroriste israélienne, l’expression de « musulmans sionistes » prend désormais tout son sens.

 

Yahia Gouasmi Président du Parti Anti Sioniste
Yahia Gouasmi
Président du Parti Anti Sioniste

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Monday, February 1, 2016

PAS L’ INFO : SAISON 6 ÉPISODE 20

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National : Portrait de Jean-Jacques Urvoas : nouveau ministre de la justice ; Aéroport Charles de Gaulle : des explosifs dans un emballage déchiré en transit des États-Unis vers la...

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